1 , Piémontais et Siciliens, ou encore entre pâtres catholiques de l’Appenzell et banquiers protestants de Genève n’ont pas empêché l

2 olitique, Louis Salleron, Professeur à l’Institut catholique de Paris, président des « Amitiés européennes », Jacques Enoch, Secré

3 spectaculaires qu’il a obtenus dans tous les pays catholiques . La seule limite qu’il ait rencontrée étant bien sûr celle que l’isla

4 get de la viticulture en France, Espagne, Italie, catholiques et romands, et dans les pays de l’islam (Algérie exceptée) ; comparez

5 roisième correspondant à l’Italie et à l’Espagne, catholiques romaines, — alors qu’il n’en existe aucune qui se soit développée en

6 perficiel que face à ces dogmatiques conquérantes catholiques et protestants se rameutent sur leurs origines doctrinales — néo-thom

7 réaction vitale, fondamentale : ni le modernisme catholique , ni le libéralisme protestant ne pouvaient constituer les noyaux durs

8 r la manière de les assumer. Sur les quatre « nés catholiques  », Dandieu, Daniel-Rops, Jardin et Dupuis, seul le premier se référai

9 andis que l’autre, Alexandre Marc, allait devenir catholique , à la suite des déclarations chrétiennes prononcées par Dandieu sur s

10 ramener à « la foi de leurs pères » un Dandieu né catholique , un Chevalley né protestant, et finalement Robert Aron né juif. « Spi