1 ’intégrer par la suite des apports germaniques et celtes , mais aussi slaves et arabes, tout différents des premiers. L’apport

2 ives et communautaires, ou « libertés ». L’apport celte est sensible d’une part dans l’évangélisation de plusieurs régions de

3 me et de Jérusalem, puis des Germains et puis des Celtes , puis des Arabes par l’Espagne puis des Slaves au xixe siècle. C’est

4 ques, sociales et religieuses des Germains et des Celtes , des Vikings et des Ibères réordonnées et composées bon an mal an sou

5 ugemont (13-14 juin 1981)cm cn Nous sommes des Celtes , me dit Denis de Rougemont. Il habite une ancienne ferme dans le pays

6 oubli ? Par méconnaissance de notre histoire. Les Celtes ont occupé tout le territoire européen de Gibraltar à la Roumanie, du

7 ncé par Athènes et par Rome est un Européen : les Celtes et les Germains manquent à cette définition. Or, je crois que la vie

8 on. Or, je crois que la vie de l’esprit, chez les Celtes , leur sensibilité, leur affectivité sont beaucoup plus riches et raff

9 e du Graal Réjouissons-nous donc : nous sommes Celtes , comme l’affirme avec force Jean-Pierre Vouga, dans son livre L’Europ

10 erre Vouga, dans son livre L’Europe à l’heure des Celtes (Galland) qui contient un hommage à Denis de Rougemont. Quelles sont,

11 . Tout d’abord, évidemment, les vieilles légendes celtes adaptées par le christianisme, au xiie siècle. Or, à cette époque se