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politique, dans ce sens. C’est, par exemple, les
choix
. Quelles options est-ce qu’on se donne dans la vie ? À quoi doit serv
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enir qui désormais, dépend essentiellement de nos
choix
présents. Face à la crise dont nous menacent les Vendeurs d’énergies
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ur le nucléaire, nous sommes au nœud du véritable
choix
. Quand on nous dit qu’il n’y a que le nucléaire pour nous tirer d’aff
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société nouvelle. 8. C’est là qu’interviennent le
choix
et la responsabilité de l’homme, de la personne ? L’homme ne peut pas
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prendre son destin en main. Et il a la faculté de
choix
pour autant qu’il soit responsable. Que voulons-nous ? Un certain niv
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notre avenir et qui seront les révélateurs de nos
choix
… Au fond, si j’ai tant parlé des centrales nucléaires dans mon livre,
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s nationales », c’est-à-dire de la rhétorique. Le
choix
est simple : ou nous périrons un à un, ou nous survivrons fédérés. Te
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épreuve. Le couple de 1980 n’est plus soumis à un
choix
déterminé par les familles ou par l’intérêt. Vouloir se marier, avoir
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lement ? Quoique toute mon œuvre débouche sur des
choix
proprement politiques et suppose l’engagement civique de la personne
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déralisme ? 1. On l’a dit de divers côtés : le
choix
des formes d’énergie est un choix politique par excellence. Je le tie
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vers côtés : le choix des formes d’énergie est un
choix
politique par excellence. Je le tiens même pour le choix du siècle. C
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olitique par excellence. Je le tiens même pour le
choix
du siècle. Car selon que ce choix se portera sur le nucléaire ou sur
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ns même pour le choix du siècle. Car selon que ce
choix
se portera sur le nucléaire ou sur le solaire, nous aurons soit une s
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e de l’État ou l’importance de l’Homme ? 2. Ce
choix
ne dépend pas de « nécessités objectives », « d’impératifs technologi
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mmunauté. Qui décidera ? 3. Qui va faire ce
choix
? Si nous ne bougeons pas, il sera fait pour nous par des experts, ce
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techniciens — qu’au surplus, nous n’avons pas le
choix
, le nucléaire étant seul capable actuellement de remplacer le pétrole
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it très loin ». ag. Rougemont Denis de, « Le
choix
du siècle », Panda nouvelles, Genève, novembre 1978, p. 5-6. ah. Pré
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e de l’énergie suisse. Nous sommes à la veille du
choix
du siècle. Pour nous il n’y a pas de tabou nucléaire, nous voulons à
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ement aux discours, dit la vérité vraie quant aux
choix
authentiques d’une assemblée et les impose. Avec ou sans compétences
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ntrairement aux discours, dit la vérité quant aux
choix
authentiques d’une assemblée et les impose. Avec ou sans compétences
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ique où nous sommes aujourd’hui, confrontés à des
choix
probablement irréversibles, sans pouvoir être entièrement assuré ni d
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t les hommes de notre temps, dont dépendent leurs
choix
politiques et, conjointement, le choix qu’ils font entre les types d’
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dent leurs choix politiques et, conjointement, le
choix
qu’ils font entre les types d’énergie qu’on leur propose. Dans les an
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re de ces classes. Je pense que les hommes ont le
choix
entre deux grandes finalités : la puissance et la liberté. J’entends
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ple qui vaut, je crois, pour tout le débat sur le
choix
énergétique. Il s’agit d’une interview donnée à une revue économique,
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liers d’années s’agissant des transuraniens) ; le
choix
des sites d’implantation et la programmation du nombre des centrales…
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i-là, Robert Jungk, écrit dans le même sens : Le
choix
de l’énergie nucléaire est la conséquence logique d’une politique tec
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ps après la fin de l’histoire humaine. Tel est le
choix
que notre génération doit faire maintenant pour toutes celles de dema
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maintenant pour toutes celles de demain. C’est le
choix
même de l’avenir, du seul « progrès » digne du nom. Qui va faire ce c
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du seul « progrès » digne du nom. Qui va faire ce
choix
? Si nous ne bougeons pas, il sera fait pour nous par des experts, ce
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hniciens » ; — qu’au surplus, nous n’avons pas le
choix
, le nucléaire étant seul capable actuellement de remplacer le pétrole
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il rechercha en revanche l’exercice de son libre
choix
. Mais il fut joueur en politique aussi, et dans l’amour, quêta la lib
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es mêmes que ceux de Creys-Malville. En effet, le
choix
des surgénérateurs ferait entrer l’humanité entière dans l’ère de l’é
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ue dans le cas du Léman, c’est de l’attitude, des
choix
, et de l’action des citoyens que tout dépend. Comme le fait voir d’un
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que nous référons comme « hérétique », c’est tout
choix
exclusif d’un seul des termes d’une antinomie fondamentale, c’est-à-d
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doxie est la « droite opinion » et l’hérésie le «
choix
personnel d’une opinion », rien n’empêche en principe le « choix pers
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d’une opinion », rien n’empêche en principe le «
choix
personnel » de se porter sur la « droite opinion ». Mais en fait, « l
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culation est uniformément réglée, tandis que le «
choix
personnel » est un sentier imprévisible ; et ce n’est pas aux Ponts e
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i s’annoncent dans nos rêves et que déclarent nos
choix
concrets, comme le vote d’un budget par exemple. ⁂ Ce n’est pas l’inn
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chemins. Oui. Et vous êtes optimiste quant à leur
choix
? Je n’ai jamais été optimiste. J’ai toujours été, depuis mes tout pr