1 ité grecque, dans la polis. C’est le même mot que civisme , qui est dérivé du latin et pas du grec. Polis, civitas, c’est l’État

2 gions au sein d’une fédération, d’éducation et de civisme protestant ne jouent aucun rôle dans son œuvre. Il saisit la réalité

3 t, en Europe, à celle que l’on vient de donner du civisme . En effet, la culture pour un Européen, c’est sa participation au tré

4 conscience commune — condition préalable de tout civisme européen — c’est le nationalisme ; et chacun sait que le nationalisme

5 ions possibles aux problèmes du lien social et du civisme , de la coopération entre régions et entre nations pour le salut de l’

6 iculières, mais s’inscrirait dans la tradition du civisme helvétique, fondée sur des siècles d’autonomie locale et de gestion c

7 ys d’Europe. Cela les amènerait à développer leur civisme , c’est-à-dire à fonder leur défense sur la conscience de leurs raison

8 y aura pas de régions s’il n’y a pas un réveil du civisme et ce réveil du civisme, il doit se faire à tous les échelons et d’ab

9 il n’y a pas un réveil du civisme et ce réveil du civisme , il doit se faire à tous les échelons et d’abord dans la commune. Il