1 financières. Personne ne peut dire ce que cela va coûter  ! Ce qui vaut pour Superphénix vaut ailleurs. Aux États-Unis on a cal

2 éoriquement acceptés par les gouvernements, il en coûterait à peu près la moitié de toutes les sommes disponibles à travers le mo

3 guère possible d’acheter du pétrole. Parce qu’il coûtera trop cher. On aura également des problèmes avec l’énergie nucléaire,

4 « Que fera-t-on quand l’essence coûtera 25 fr. le litre ? » (22 février 1978)q Denis de Rougemont est un e

5 e ans. Eh oui ! Car que fera-t-on quand l’essence coûtera 25 fr. le litre ? À cette question, le TCS ne répond pas. Pourtant la

6 s de, « [Entretien] Que fera-t-on quand l’essence coûtera 25 fr. le litre ? », La Liberté, Fribourg, 22 février 1978, p. 5.

7 ici cinq ans, il est très possible que le pétrole coûte trois à quatre fois plus cher qu’aujourd’hui — et comment voulez-vous

8 r la politique des transports : « Quand l’essence coûtera 25 francs le litre, que ferez-vous de votre auto ? » Accessoirement :

9 bsolument pareilles, sans une contrainte qui leur coûte beaucoup plus qu’elle ne leur vaut. […] On voit le patriotisme qui na

10 . À quoi serviront les autoroutes quand l’essence coûtera vingt fois plus qu’aujourd’hui ? La mise à l’étude immédiate de formu

11 ets d’armements qui ne serviront à rien, mais qui coûteront très cher, et qui, naturellement, rapporteront de l’argent à certains