1 haite que les pouvoirs purement économiques de sa Commission soient élargis aux domaines du social, de la culture, et finalement d

2 iellement intégrée de neuf pays ne prépare pas la Commission de Bruxelles à décider des grandes options morales et politiques de l

3 s qui leur servent de dortoir. On a donc créé une Commission franco-suisse régionale comprenant sept représentants français et sep

4 changé ; ils avaient étudié leurs dossiers. Cette commission , la première du genre en Europe, a des compétences par délégations de

5 ille la main dans la main et à chaque réunion, la commission se donne un peu plus de compétence en matière d’économie, de fiscalit

6 nvention entre les gouvernements intéressés d’une Commission bipartite aux compétences limitées mais réelles. Bien plus, la région

7 et Bâle-Campagne. Cette région s’est dotée d’une commission tripartite établie par convention entre la RFA, la République françai

8 tion tripartite définissant les compétences de sa commission régionale gouvernementale. Que tout cela ait commencé à Genève n’est

9 lus restreinte, le champ d’opération assigné à la Commission franco-suisse et à ses comités de travail. Dans le même temps, la Co

10 nnées, qu’on en est venu à constituer la première Commission régionale transfrontalière reconnue par des gouvernements — en l’occu

11 s, Berne et Genève. Dès ses premières séances, la Commission s’est donné un programme qui déborde le problème des frontaliers et s

12 à la fois, les efforts tardifs et dispersés d’une Commission internationale qui ne peut que transmettre ses vœux à Berne et à Pari

13 ion générale de la politique régionale, à la CEE, Commission des pouvoirs locaux et régionaux au Conseil de l’Europe) prennent de

14 tous les pays de l’Europe de l’Ouest comporte une commission culturelle où l’on débattra de la conception européenne de l’homme, d

15 ux de l’Institut de Braunschweig, et de plusieurs commissions d’historiens qui au lendemain de la dernière guerre mondiale, se sont

16 Ce qui sera, vraisemblablement, le travail d’une Commission de rédaction, celle-ci n’étant que de première approche et de prépara

17 très souvent actif. On m’a chargé d’organiser la commission culturelle du congrès, à côté de ses deux autres commissions, la poli

18 culturelle du congrès, à côté de ses deux autres commissions , la politique et l’économique. J’ai demandé qu’on me donne une preuve

19 n’est pas un simple ornement. J’ai proposé que la commission que je formerai rédige le message initial ou final du congrès, en for

20 te ans, leur vitalité créatrice. Pour composer la commission culturelle, j’ai écrit à une centaine « d’intellectuels » d’Europe, j

21 dor de Madariaga : « Je donnerai volontiers (à la commission ) un temps qui, à dire vrai, me manque ! » À La Haye, notre commission

22 qui, à dire vrai, me manque ! » À La Haye, notre commission est la moins nombreuse du congrès (150 personnes au plus, contre 300

23 la Faculté des sciences de Paris, président de la Commission nationale française pour l’éducation, la science et la culture, Wladi

24 Le Conseil d’État de Genève a désigné en 1978 une Commission de 64 personnes pour étudier le projet d’une nouvelle constitution fé

25 et cyniquement manipulées, serait d’instituer des commissions d’enquête sur les besoins réels d’une population en nourriture, énerg

26 , transports, formation professionnelle, etc. Ces commissions devraient se composer non seulement d’agronomes, d’ingénieurs, d’écon

27 s, à ne plus trouver de membres « sérieux ».) Les commissions ayant terminé leur enquête adresseraient leurs conclusions aux gouver

28 isé en quatre sujets principaux, examinés par des commissions individuelles : Maîtrise sociale des besoins, Développement rural, Po

29 té. Nous publions l’introduction aux débats de la commission sur “la maîtrise sociale des besoins” par Denis de Rougemont, et la “

30 pêcheurs, scientifiques, et un représentant de la Commission internationale du Léman) ; de la discussion qui a suivi, à l’allocuti

31 . La pénurie d’eau potable. Selon une étude de la Commission économique pour l’Europe, l’eau des rivières et des nappes souterrain

32 la fois pour urgentes et pour réalisables : 1. La Commission des communautés a demandé à ses services d’établir un plan européen d

33 on entre les deux gouvernements intéressés, d’une Commission bipartite aux compétences limitées mais réelles (formule déjà reprise

34 ait réelle. J’ai travaillé avec Defferre dans une commission européenne à Londres ; nous nous sommes fort bien entendus. Il a comp