1 ours assemble un peuple de fidèles et suscite une communauté . Celle-ci réclame un cadre et des institutions. Or, au plan politique

2 e dans la masse, mais en même temps le relie à la communauté de ses prochains. Le dogme de l’Incarnation, d’autre part, selon lequ

3 cellule prise dans la masse, il tend à former des communautés où sa liberté et sa responsabilité puissent être réelles. Le christia

4 calvinistes (assemblées de notables élus par les communautés locales ou paroisses) sont devenus les prototypes de nos parlements m

5 de passage à l’axe chrétien, personnaliste. Cette communauté des conceptions fondamentales de l’homme et du monde est beaucoup plu

6 uropéen le sens de l’Europe ! D’autre part, cette communauté profonde est masquée à nos yeux depuis un siècle et demi par une esti

7 de plus complexe mais aussi de plus humain : les communautés locales et régionales : celles qui ont été les bases du fédéralisme s

8 t peut donc manifester sa vocation unique dans la communauté , hors de laquelle elle ne saurait subsister bien longtemps, ni physiq

9 velle d’inventer un modèle d’avenir : celui d’une communauté non étatique et pluraliste ; non définie par ses contours bornés mais

10 dans la vie ? À quoi doit servir une société, une communauté  ? Quelle est sa fin ? Est-ce que c’est la puissance ou est-ce que c’e

11 , c’est-à-dire du pilotage, du gouvernement d’une communauté dans une certaine direction en tâchant de la rendre acceptable par le

12 accomplir concrètement que dans la cité, dans la communauté  : on ne devient pas une personne tout seul mais on ne le devient pas

13 s non plus si l’on est totalement immergé dans la communauté et déterminé par elle. C’était aussi à quelques nuances philosophique

14 uez même qu’il est impossible d’espérer bâtir une communauté libre si nous commençons par « rater le couple ». Votre exemple de l’

15 apables de devenir les éléments d’une cité, d’une communauté libre. L’État, de nos jours, est comparable à la passion parce qu’il

16 — ne fût-ce que quelques jours — un sentiment de communauté . À l’heure actuelle, face à ce laminage des États centralisés conduis

17 nverser, mais le créer par en bas : revenir à des communautés de petites tailles, à des municipalités, à des entreprises, à des rég

18 ons-nous ? et marque la nécessité de reformer les communautés à l’échelle humaine où le citoyen serait libre, parce que responsable

19 auver leur autonomie que lorsqu’il s’agit de leur communauté . 9. Sans parler de la fin de ces fameux États-nations, où va-t-on ? S

20 ne peut pas décuire un œuf dur ». On recréera des communautés , on abandonnera toutes ces grandes villes qui ne sont plus rentables

21 que je préconise, c’est de créer des régions, des communautés , de refaire sur leur base une Europe, celle de la culture et des écha

22 ociété d’hommes creux. Il n’y a plus de véritable communauté et cela favorise notamment la délinquance. Il a été vérifié, avec des

23 l’échelle de l’homme, c’est-à-dire basée sur les communautés , les régions et les rapports personnels que l’on sauvera notre monde

24 dans L’Avenir est notre affaire que seules les communautés permettraient à l’homme de reprendre en main ses pouvoirs, et vous mo

25 comment l’État-nation détruit les bases de toute communauté vivante. C’est un cercle vicieux. Comment lutter ? Certains disent :

26 conditions du xxe siècle, qui sont celles de la communauté , afin d’ouvrir au monde la voie qu’il cherche, la voie des libertés o

27 ésir d’y conduire les Européens. Dira-t-on que la Communauté de Bruxelles a repris le flambeau ? On voit bien qu’elle en a quelque

28 ois la preuve dans le récent Rapport annuel de la Communauté , qui exprime la crainte que l’élargissement de celle-ci à trois pays

29 s de l’Europe : non, pas même pour les Neuf de la Communauté . Ni Parlement européen élu, légitimé, législatif ; ni Sénat des États

30 qu’elle a lancées dans le monde entier et que les communautés les plus traditionnelles adoptent ou subissent aujourd’hui. L’Europe

31 les idées de liberté et de responsabilité dans la Communauté , de foi jurée et de pacte fédéral, puis d’internationalisme et d’arbi

32 détruirait les bases mêmes de toute guerre : les communautés humaines. Devant les grands défis mondiaux que j’ai évoqués, nous ne

33 t. Si nous nous sentions Européens, membres d’une communauté fédérale d’environ 400 millions d’habitants à l’Ouest, en attendant q

34 , détruit les équilibres naturels, et les petites communautés de base dans lesquelles seules le citoyen pourrait devenir une person

35 recherche nucléaire). Vous avez également créé la Communauté des guildes et clubs du livre européen. Vous présidez l’Association e

36 n, dans les rapports interhumains créateurs de la communauté . Entre le personnalisme du jeune Marx et le Goulag, il n’y a pas seul

37 nique, ou d’un grand mythe dans l’existence d’une communauté . Le diable s’installe chez les habitants d’un village (Le Règne de l’

38 abilité, on se donne consistance. Sinon, point de communautés , ni donc de régions, ni d’Europe, ni de paix, ni de futur. Commençons

39 ppose l’engagement civique de la personne dans la communauté , je n’ai jamais adhéré à aucun parti. Cette simple constatation répon

40 nois, etc. Il est certes très important que toute communauté linguistique dans le monde soit assurée du droit à son identité, du d

41 vers lui-même et de ses responsabilités envers la communauté . Tout homme est unique. Tout homme doit donc inventer sa voie vers le

42 sa vocation et responsable de l’accomplir dans la communauté . M. Denis de Rougemont, nous vous remercions. ai. Rougemont Denis

43 eau pressurisée), soit une fédération de petites communautés autonomes. Importance de l’État ou l’importance de l’Homme ? 2.

44 développement des personnes responsables dans la communauté . Qui décidera ? 3. Qui va faire ce choix ? Si nous ne bougeons

45 u’elle vient d’en bas, des sources mêmes de toute communauté digne du nom, qui sont le refus de la violence, le souci de répartir

46 ’initiative confiant les décisions nucléaires aux communautés locales et aux régions. Et n’oublions jamais de rappeler que l’argume

47 ment par la santé d’un peuple, par son sens de la communauté , et par son niveau d’éducation. » Vers la vraie qualité de la vie

48 ions, on tente d’élaborer des modèles nouveaux de communauté . La seconde possibilité étant ouverte ou suggérée par les difficultés

49 t, parmi les fonctions nécessaires à la vie d’une communauté de type européen, celles qui souffrent le plus du fait de la frontièr

50 personne isolée par sa vocation, mais reliée à la communauté par les conditions mêmes de l’exercice concret de cette vocation. Cha

51 de la personne sont les formes et les formules de communauté fédéraliste. Car ces formes sont celles des unités locales, où la voi

52 nte ne peut conduire qu’à la dissolution de toute communauté , parce qu’elle exclut en fait et par avance l’idée de concertation et

53 éclairées » ou un peu folles, sociétés de pensée, communautés de travail, etc. Des noms ? Padoue, Mantoue, Sienne et Venise, Naples

54 mble qu’une vision écologique et conviviale de la communauté renaissante puisse induire une éthique de l’amour qui signifierait li

55 de l’Assemblée parlementaire des neuf pays de la Communauté , personne ne s’est encore soucié d’informer le peuple européen sur l’

56 oissement sextuplé du chômage dans les pays de la Communauté  ? Cette question me paraît fondamentale, décisive. Personne encore ne

57 ’Athènes, de Rome et de Jérusalem, mais aussi des communautés germaniques et du rêve celtique, a formé les désirs et les besoins de

58 onstitution de l’Espagne garantit l’autonomie des communautés existantes ou à créer. Le projet de constitution belge suppose des co

59 es et déjà la compétence de voter le budget de la Communauté . Voilà qui suffit bien à décider d’une politique, car le budget, cont

60 de l’Assemblée parlementaire des neuf pays de la Communauté , personne ne s’est encore soucié d’informer le peuple européen sur l’

61 oissement sextuplé du chômage dans les pays de la Communauté  ? Cette question me paraît fondamentale, décisive. Personne encore ne

62 ’Athènes, de Rome et de Jérusalem, mais aussi des communautés germaniques et du rêve celtique, a formé les désirs et les besoins de

63 constitution de l’Espagne garantit les droits des communautés autonomes existantes ou à créer. Le projet de constitution belge supp

64 es et déjà la compétence de voter le budget de la Communauté . Voilà qui suffit bien à décider d’une politique, car le budget, cont

65 a double opération d’initiation (à l’acquis de la communauté ) et d’initiative individuelle, tournée vers l’avenir à créer, qui car

66 ports avec Dieu, avec le monde, avec l’État et la communauté . Toute notre histoire illustre ce débat, qui se livre en chacun de no

67 tous ces découpages arbitraires, il y a la grande communauté de créations et d’influences mutuelles qui s’appelle l’Europe dans l’

68 éatrice sans le libre dialogue entre personnes et communautés , sans la libre circulation des hommes, des idées et des biens entre f

69 ouvertes, et sans la restauration d’une véritable communauté des esprits. 5. Éléments constituants de la culture européenne, au

70 té dernière soit la liberté des personnes dans la communauté des responsables. Ces principes paraissent les plus aptes à guider le

71 yen responsable, à la fois autonome et relié à la communauté . VI. L’enseignement de l’histoire doit être soustrait aux mythologie

72 re qu’est l’Europe, et de la mise en valeur de la communauté fondamentale plutôt que des rivalités nationales entre Européens. VII

73 issantes de pouvoir aux dépens de l’autonomie des communautés locales et régionales et de la participation des citoyens à leur gest

74 responsabilité de l’homme et de la femme dans la communauté . L’homme n’est pas libre s’il n’est pas responsable. Et il n’est pas

75 pagnole vient de les reconnaître sous le nom de «  communautés autonomes ». Le projet de constitution belge va très loin dans le sen

76 États-nations ne l’aiment pas. Voilà pourquoi les Communautés de Bruxelles dans leur budget 1978 prévoyaient 66 millions d’unités d

77 ment par la santé d’un peuple, par son sens de la communauté , et par son niveau d’éducation. L’idée que le renforcement des struc

78 part d’ailleurs ne sont pas des ethnies, mais des communautés culturelles et civiques, liées par un passé ou un avenir commun. Et v

79 e, qui consiste à confier telle tâche donnée à la communauté — municipale, régionale, fédérale, voire mondiale dans quelques cas —

80 ui va dire les paroles créatrices du sentiment de communauté . Dans son traité Sur la chute de Constantinople et la guerre contre l

81 ore plus attaquable. « Sachant que la force d’une communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres. » Mais qu’est-c

82 es membres. » Mais qu’est-ce que « la force d’une communauté  ? » Qu’est-ce que « le bien-être du plus faible de ses membres ? » C’

83 ions ridicules. Ex. : « Quelle est la force de la communauté de l’URSS ? La force du plus faible de ses membres, c’est-à-dire l’un

84 d’esclaves du Goulag ? » Alors, la force de la «  communauté  » de l’URSS tendrait pratiquement vers zéro — sauf si l’esclave s’app

85 çant : somme toute, l’actualisation d’un idéal de communauté . Pour moi, le succès d’hommes comme Mussolini, Staline ou Hitler étai

86 neur venu qui lui offrirait un sens recréateur de communauté , une raison de vivre et d’espérer ensemble. Contre les dictateurs qui

87 ux : l’arrangement des relations humaines dans la communauté , cette communauté que je veux régir par le même principe que celui du

88 des relations humaines dans la communauté, cette communauté que je veux régir par le même principe que celui du couple, à savoir

89 ie de l’existence, et même de l’existence dans la communauté . Finalement, je me sentais très proche de lui dans mes réactions au t

90 individu humain d’âge moyen (dans telle ou telle communauté ) varient en quantité et en qualité selon les temps, les lieux, les co

91 ’effacement de soi au service du prochain dans la communauté , et les besoins deviennent pratiquement nuls, ou pour mieux dire : ch

92 t l’environnement (28 juin 1980)bx Aqua Viva, communauté nationale d’action pour la protection des cours d’eau et des lacs, a

93 gentes et pour réalisables : 1. La Commission des communautés a demandé à ses services d’établir un plan européen de l’eau qui perm

94 oupes qui fondent les premières thiases grecques, communautés comparables à la cité moderne, et basées non plus sur le sacré, le sa

95 if. Mais ce mouvement centrifuge par rapport à la communauté d’origine, s’il se confond d’abord avec l’intelligence et la raison,

96 sorte d’angoisse diffuse d’où naît l’appel à une communauté nouvelle et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes

97 liberté. La Grèce individualiste a triomphé de la communauté barbare du sang. Mais plus tard elle a sombré dans l’anarchie. Rome a

98 ctive sociologique où nous nous plaçons ici ? Une communauté spirituelle formée de communautés locales ou « cellules ». Celles-ci

99 laçons ici ? Une communauté spirituelle formée de communautés locales ou « cellules ». Celles-ci ne se fondent pas sur le passé ni

100 recourir directement à l’Éternel, au-dessus de la communauté . Et la communauté est liée par sa fidélité à l’Éternel. Ainsi les dro

101 nt à l’Éternel, au-dessus de la communauté. Et la communauté est liée par sa fidélité à l’Éternel. Ainsi les droits et les devoirs

102 ble vis-à-vis d’autrui. En retour, ce qui unit la communauté est aussi ce qui l’oblige à respecter les vocations individuelles. La

103 lle de l’individu et l’engagement concret dans la communauté y devient donc possible. Dans la petite congrégation, on se connaît,

104 uple de frères amis que forment la personne et la communauté fédérale. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’œcuménisme, ce serai

105 tre temps. Il nous rend les vraies formules de la communauté vivante, celle qui rassemble les personnes, et non pas celle qui font

106 e sans le soutien d’une catholicité réelle, d’une communauté humaine fondée dans la communion des saints. Cette communauté ne se r

107 umaine fondée dans la communion des saints. Cette communauté ne se révélera pas dans des congrès, mais se manifestera dans une act

108 sies qui se constituent en doctrine imposée à une communauté dont elles deviennent alors l’orthodoxie ; et les systèmes dogmatique

109 te cohérente m’incite à tenir balance égale entre communauté et vocation, entre universel et unique. Mais ce n’est peut-être qu’un

110 era porté à privilégier soit la personne, soit la communauté . Il existe au surplus certaines correspondances entre ces types psych

111 des sens du Livre qui est le bien fondement de la Communauté religieuse. » Je prends cette phrase dans un travail intitulé (ce qui

112 aient les raisons de notre convergence dans cette communauté de pensée en vue de l’action ? « De toutes croyances et de toutes inc

113 étiques, alors que la personne appelle et crée la communauté véritable, seul antidote des totalitarismes. D’où la recherche passio

114 assionnée que nous menions tous, d’une formule de communauté qui ne fût ni de classe, ni de race, ni de sang, ni de terre natale (

115  » de Barrès, le Blut und Boden des nazis), d’une communauté qui ne fût pas fondée sur « les vieilles choses qui sont passées », c

116 ’institution d’un service civil, restauration des communautés de base — communes, régions — où la voix de l’homme en tant que citoy

117 on espagnole introduisant la reconnaissance des «  Communautés autonomes, existantes ou à créer », telle la Generalitat catalane, dé

118 nstitution espagnole reconnaît expressément les «  communautés autonomes, existantes et à créer ». Mais les terroristes basques font

119 ses dimensions, indique la nécessité de créer une communauté . Les regroupements ne seront pas toujours les mêmes. J’ai lancé l’idé

120 ssantes de pouvoir, aux dépens de l’autonomie des communautés locales et régionales et de la participation des citoyens à leur gest

121 ssantes de pouvoir, aux dépens de l’autonomie des communautés locales et régionales et de la participation des citoyens à leur gest