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en avons la liberté, donc la responsabilité… J’ai
confiance
cependant. Ce n’est pas de l’optimisme. Non, je suis comme Martin Lut
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pommier ! C’est une sorte de vitalité, de foi, de
confiance
profondes sans laquelle on ne peut agir. l. Rougemont Denis de, «
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ns ce dernier ouvrage en particulier, vous faites
confiance
à l’homme, rien qu’à l’homme, c’est bien optimiste, non ? C’est un op
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première condition à tout. Si on ne lui fait pas
confiance
, on n’obtient rien de toute manière. En disant cela, je me fonde auss
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cette Apocalypse que vous nous décrivez, ou cette
confiance
obstinée en un avenir différent, un avenir qui deviendrait enfin notr
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le Rhône. Ou alors ils disent « qu’il faut faire
confiance
à l’infinie ingéniosité de l’homme ». Mais c’est un constat de démiss
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vant un danger pressant, se contenterait de faire
confiance
à l’infinie ingéniosité de l’esprit humain ? Devant les risques à peu
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perdu dans les nuages ? Qui écouter ? À qui faire
confiance
? À un Jörg Zumstein ? À un Denis de Rougemont ? L’enquête s’achève,
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inateur, on en devient dépendant et l’on place sa
confiance
en un système qui est très vulnérable. Vulnérabilité croissante
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nt d’exercer leur mémoire : mettant en effet leur
confiance
dans l’écrit, c’est du dehors, grâce à des empreintes étrangères, non