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des régions, de l’économie industrielle en pleine
crise
, finalement de la paix, et donc très concrètement, dans notre ère ato
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essentiellement de nos choix présents. Face à la
crise
dont nous menacent les Vendeurs d’énergies infernales, et que leur pl
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cataclysme que vous évoquiez tout à l’heure ? La
crise
du pétrole nous a réveillés. Soudain nous avons senti le vent du boul
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donc un déficit de 50 %. Autrement dit ce sera la
crise
totale. Nous sommes donc contraints de ne pas continuer. Alors que fa
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ne conversion qu’il s’agit d’opérer au cœur de la
crise
où nous sommes plongés. Pas moyen d’en sortir autrement. Notre généra
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ndustrielle ! Cette fuite en avant qui aggrave la
crise
. On sait que, dans vingt ans, il ne sera plus guère possible d’achete
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s. Il y a un exemple typique : au lendemain de la
crise
du pétrole de 1973, le conseiller fédéral Brugger déclarait que le pe
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êter. 10. Et comment ? Pour cela, la toute petite
crise
du pétrole de 1973 nous a appris beaucoup de choses. Cette crise n’a
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e de 1973 nous a appris beaucoup de choses. Cette
crise
n’a pas été grave, mais les gens se sont soudain rendu compte que l’o
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te de l’espoir du xxe siècle”, il s’attaque à la
crise
de l’Avenir, de cet avenir avec un grand A, dont nous n’osons parfois
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rts personnels que l’on sauvera notre monde d’une
crise
qui le mène tout droit à sa perte. Pour une fois, on nous parle de l’
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sité, de fatalité. On se chauffait à 23° avant la
crise
du pétrole, on se chauffe à 20° aujourd’hui. Qui s’en plaint ? Contra
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s… La vérité, c’est que nous sommes en face d’une
crise
absolument inévitable, et pourtant tout semble continuer comme si nou
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gions, qui tenterait de faire l’économie de cette
crise
industrielle qui nous guette, en remplaçant la technique dure par la
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que ce serait là des solutions possibles à cette
crise
que nous connaissons aujourd’hui ? Oui, je crois que notre groupe per
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ense commune ; ni plan commun pour faire face aux
crises
énergétiques comme celle de 1973 ; ni politique commune contre l’infl
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e nos sources extérieures d’approvisionnement. La
crise
du pétrole en 1973 a montré combien notre économie était devenue vuln
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rses d’asservissement économique, puis politique,
crise
de civilisation laissant prévoir des désastres désormais calculables
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tes et libéraux ? Mais si cela doit nous mener de
crise
en crise et de pénuries en famines au désastre final de la guerre nuc
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béraux ? Mais si cela doit nous mener de crise en
crise
et de pénuries en famines au désastre final de la guerre nucléaire, n
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de reproduire chez lui les causes mêmes de notre
crise
; il nous accuse de vouloir l’en frustrer dès que nous tentons de l’a
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que tous ensemble. Nous ne pourrons survivre aux
crises
inévitables en nous bornant à leur opposer fermement nos prétendues «
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seur de notre écologie. Plus de cent ans avant la
crise
déclarée sous nos yeux, alors que les villes, au sens actuel de la Ch
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onde Guerre mondiale, la pollution des océans, la
crise
du pétrole, etc. Maintenant, en analysant ce qui se passe dans les pa
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re aux enfants qui auront à affronter, demain, la
crise
de notre civilisation. Il faudra qu’ils apprennent que small is beaut
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la guerre). Et les réalités se vengent, d’où les
crises
actuelles. 4. Tel étant le conflit, l’alternative est simple : ou bie
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uveraineté, et non pas de résoudre telle ou telle
crise
concrète. Mais à cause de cela même, ces régions prennent conscience
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issance historique, ou seulement révélées par une
crise
socioéconomique ; des régions naturelles homogènes, des régions ethni
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de s’approprier les causes mêmes de notre propre
crise
… Je le répète, les États-nations sont condamnés puisqu’ils ne peuvent
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le de l’Europe d’aujourd’hui, sur la nature de sa
crise
, mais aussi sur les solutions que l’union européenne serait seule cap
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à la guerre nucléaire, après une brève période de
crises
violentes, économiques, énergétiques, sociales ou politiques, voire r
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sociales ou politiques, voire religieuses. À ces
crises
et à ces défis, parfois mortels, aucun de nos pays ne peut répondre s
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ses voisins n’en profitent et n’en abusent. À une
crise
de civilisation comme celle que nous vivons, il n’est de solution qu’
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nde implique l’union sincère de tous nos pays. La
crise
mondiale est née de la passion qu’a le tiers-monde de copier les trai
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le de l’Europe d’aujourd’hui, sur la nature de sa
crise
, mais aussi sur les solutions que l’union européenne serait seule cap
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à la guerre nucléaire, après une brève période de
crises
violentes, économiques, énergétiques, sociales ou politiques, voire r
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ociales ou politiques, voire religieuses. ⁂ À ces
crises
et à ces défis, parfois mortels, aucun de nos pays ne peut répondre s
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ses voisins n’en profitent et n’en abusent. À une
crise
de civilisation comme celle que nous vivons, il n’est de solution qu’
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nde implique l’union sincère de tous nos pays. La
crise
mondiale est née de la passion qu’a le tiers-monde de copier les trai
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justes raisons peut-être, — l’Europe est mise en
crise
par le monde qu’elle a fait, qui est né de ses œuvres. Cette crise es
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e qu’elle a fait, qui est né de ses œuvres. Cette
crise
est de nature foncièrement culturelle, pour ne pas dire spirituelle,
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urope porte la plus lourde responsabilité dans la
crise
actuelle de civilisation, et qu’elle doit au monde de lui montrer un
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n du problème nucléaire dans la perspective d’une
crise
de civilisation occidentale désormais propagée à la planète entière —
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ts ce que je voudrais appeler le système de notre
crise
, c’est-à-dire : …les rapides et profonds bouleversements qui ont aff
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tes, non pas à flatter les vanités nationales, la
crise
actuelle est sans issue. III Quelles sont alors les solutions
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en savants écologistes. Ce qui est requis par la
crise
actuelle, impérieusement, c’est que les femmes et les hommes d’Europe
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: le tertiaire. Aujourd’hui, l’un des noms de la
crise
industrielle, c’est justement la pléthore du tertiaire : selon Jacqu
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s contredit. Quelle est la part du diable dans la
crise
? Il se cache. Il n’est jamais là, comme dans le récit de la Genèse :
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s économiques et politiques. Qu’il s’agisse de la
crise
de l’auto, du pétrole ou de l’énergie, de la percée japonaise, de l’I
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oins capable d’autonomie, d’autogestion en cas de
crise
. Je citerai là-dessus Joël de Rosnay : « Il est un fait que la comple