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d’être étudiés par les meilleurs esprits. Si l’on
croit
au contraire que le corps, la matière et le cosmos sont autant de pri
2
n sens. Alors que toutes les autres civilisations
croyaient
— et croient encore — au retour éternel et cyclique des mêmes événeme
3
ue toutes les autres civilisations croyaient — et
croient
encore — au retour éternel et cyclique des mêmes événements, donc à u
4
érences de mœurs et de manière de penser que nous
croyons
exister entre Allemands et Français, Anglais et Italiens, voire entre
5
itisée » ? Dépolitisé veut dire pour moi « qui ne
croit
pas que c’est très important d’être de gauche ou de droite, d’être du
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premier tour, selon Baudelaire, est de nous faire
croire
qu’il n’existe pas. Rien de plus facile que d’en convaincre un peuple
7
plus facile que d’en convaincre un peuple qui ne
croit
pas tellement au tragique, et le considère plutôt comme exagération.
8
s… Le deuxième tour du diable a été de nous faire
croire
, à partir de 1933, puis durant la Seconde Guerre mondiale, qu’il étai
9
que par cynisme, car il sait bien que nous ne le
croirons
pas ! C’est ainsi qu’à l’automne de 1974, le conseiller fédéral Willy
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z : Les États cèdent avec une docilité dont j’ai
cru
voir qu’elle est directement proportionnelle au degré d’autoritarisme
11
s autres. Grâce au nucléaire… Mais vous, vous n’y
croyez
pas. Vous lui êtes même farouchement opposé. Expliquez-moi. Avec le d
12
n et que nous allons à la catastrophe. Alors, qui
croire
? Écoutez. Un prix Nobel américain, George Wald, et Lew Kowarski, un
13
nt tous les deux cette réponse simple : « Il faut
croire
ceux qui n’ont aucun intérêt à dire ce qu’ils disent ! » Kowarski me
14
é la futurologie, la prospective ? En feignant de
croire
que l’avenir était davantage l’affaire de l’ordinateur que celles des
15
que les gouvernements européens, eux, n’y ont pas
cru
. Qui aurait pu prévoir que le club de Rome ferait ces prévisions et q
16
de Rome ferait ces prévisions et que les Arabes y
croiraient
? Cet exemple, parmi d’autres, montre bien qu’il est vain de croire q
17
le, parmi d’autres, montre bien qu’il est vain de
croire
que l’avenir puisse être prévu scientifiquement. Trop de facteurs ent
18
ande, depuis dix ou quinze ans, tend à nous faire
croire
que ce sera concurrentiel, inoffensif et indispensable. Là encore, c’
19
ncez dans une utopie. Mais vous vous défendez, je
crois
, d’être un utopiste ? Je suis utopiste dans la mesure où j’ai besoin
20
nergie nucléaire ? Voyez-vous, quand on nous fait
croire
que l’énergie nucléaire sera à même de tout résoudre, on ne met pas e
21
’appelle la « pédagogie des catastrophes ». Je ne
crois
pas comme Rousseau que l’homme est naturellement bon. Non, comme il e
22
il ne suffit pas de dire : c’est du vent ! 11. Et
croyez
-vous que l’on pourra s’en sortir ? Oui, on peut s’en sortir en se pos
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énomènes de société. Dès la montée du nazisme, je
crois
? J’ai étudié le nazisme in vivo, parce qu’à l’époque un jeune respon
24
n refermant son livre, il est difficile de ne pas
croire
avec Denis de Rougemont que “tout est possible encore et même plus qu
25
1978)o p C’est le philosophe E. M. Cioran, je
crois
, qui a défini L’Avenir est notre affaire comme la « méditation apoc
26
rtains disent : « Faites la révolution ! » Je n’y
crois
pas. La Révolution, avec un grand R, est un mythe populaire qui consi
27
un grand R, est un mythe populaire qui consiste à
croire
qu’un beau jour, on va se dresser tous ensemble dans la rue, tuer les
28
ine différentes. Disons-le autrement : si vous ne
croyez
pas aux gouvernements, aux partis politiques, à la jeunesse en tant q
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des personnes, l’épanouissement de l’individu. Je
crois
que nous devons, tout de suite, favoriser, dans la mesure de nos poss
30
crise que nous connaissons aujourd’hui ? Oui, je
crois
que notre groupe personnaliste rassemblé autour des revues Esprit e
31
llution n’est pas arrêtée par les douaniers. Vous
croyez
, en somme, à la possibilité d’une renaissance de notre civilisation.
32
res… Suis-je pour autant une exception ? Je ne le
crois
pas. Il existe nombre d’esprits, dans le monde d’aujourd’hui, qui son
33
ire ce livre. À l’origine, il voulait publier, je
croyais
, un livre sur l’Europe de l’an 2000. J’avais donné, peu auparavant, u
34
onomique. C’est la question la plus pressante. Je
crois
que l’on peut y obtenir des succès. Mais je suis sûr aussi qu’au poin
35
PNB et de la consommation d’énergie, comme l’ont
cru
depuis le siècle dernier, identiquement, capitalistes et communistes,
36
ut « rattraper l’Amérique », laquelle continue de
croire
, dans sa majorité, que plus c’est grand et mieux cela vaut. Reste alo
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hez les intellectuels. Or ce levier, tout porte à
croire
que le fédéralisme européen vient de le trouver, du côté où on l’atte
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son avènement puissant mais sans violence, et de
croire
de nouveau à notre avenir commun. Écologie – régions – Europe : même
39
ats parce qu’elles sont un élément de pouvoir. Je
crois
néanmoins que dans cette affaire, certains gouvernements cherchent dé
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arce que nous n’aurons pas fait les régions ». Je
crois
aux jeunes pour faire l’Europe dans la mesure où on leur apprendra qu
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le monde moderne tout entier agit comme s’il n’y
croyait
pas. Voilà qui est grave. Voilà qui nous amène à pousser plus duremen
42
uel, ce ne serait pas encore le bonheur, comme le
croient
tous les technocrates de droite ou de gauche et, avec eux, l’immense
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seulement Staline, comme on a voulu nous le faire
croire
; il n’y a pas seulement le Lénine de mars 1918, déclarant au congrès
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ivait comme parlent les paysans vaudois. Je ne le
crois
pas. Personne ne peut écrire réellement comme on parle, à moins de re
45
n14 : c’est un peuple « nuque raide » qui ne veut
croire
qu’à ce qu’il touche et voit et qui se ferme avec méfiance à l’invisi
46
e et voit — qui va finir. Ce qu’on ne pouvait pas
croire
, et qu’on savait pourtant inévitable — comme la mort — mais plus tard
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earl Harborad. On devait s’y attendre et l’on n’y
croyait
pas. C’était vrai et ce n’était pas possible. Et nous avons tous fait
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adiz » ne devait pas couler, n’est-ce pas ? Je ne
crois
pas à la vertu du discours mais à la leçon des faits : seule une cata
49
ssent relever d’une impénétrable technicité ? Qui
croire
, lorsque trente-deux savants parmi lesquels onze prix Nobel, signent
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lutôt que comme des juges ? Et il conclut : « Qui
croire
? On ne peut le dire en toute certitude. Mais il est utile de savoir
51
nationalismes stupides qui essaient de nous faire
croire
que l’Europe est l’addition de 25 cultures nationales, alors qu’elle
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orts convergents vers l’Europe des régions. J’ose
croire
que les travaux menés à Genève sous la conduite quotidienne de Charle
53
bversive : elle se voudra négatrice des tabous et
croira
remplacer le sacré par la science, rationaliste jusqu’à la profanatio
54
u fédéralisme. Sa tolérance n’est pas ce que l’on
croit
d’ordinaire, n’est pas manque de rigueur, n’est pas flou dans le juge
55
si de mieux pénétrer les motifs de l’erreur qu’on
croit
déceler chez l’autre. Je ne puis guère imaginer plus belle déclaratio
56
ours, donc de l’amour tel qu’on le parle et qu’on
croit
le sentir en Occident ? Et l’apport slave dès la fin du xixe siècle
57
x coutumes civiques, qu’ils nous interdiraient de
croire
à l’existence d’une unité de culture, du moins assez consistante pour
58
formés par les colonisateurs européens) leur font
croire
qu’ils désirent, en Iran se manifeste d’emblée une résistance totalem
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ine. Il est la liberté même. (Et quand à ceux qui
croient
que c’est la haine qui libère, ils croient aussi sans doute que la po
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ux qui croient que c’est la haine qui libère, ils
croient
aussi sans doute que la police crée l’ordre ?) Les seuls obstacles ré
61
’elle le fasse. Le tiers-monde ne commencera à la
croire
que si elle montre l’exemple réalisé d’une autre société, à partir d’
62
lement ! une illusion de « marxisme vulgaire » de
croire
que l’infrastructure domine nécessairement la superstructure. Une ill
63
s optimiste. On est beaucoup plus avancé qu’on ne
croit
sur le chemin de la régionalisation en Europe. La constitution espagn
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sible à l’échelle mondiale et simultanément. Tous
croient
que le « développement » matériel est synonyme de « progrès », alors
65
e classes, entre nations, entre Nord et Sud. Tous
croient
encore que le bonheur des hommes dépend de la « santé de l’Économie »
66
sible à l’échelle mondiale et simultanément. Tous
croient
que le « développement » matériel est synonyme de « Progrès », alors
67
e classes, entre nations, entre Nord et Sud. Tous
croient
encore que le bonheur des hommes dépend de la « santé de l’Économie »
68
e semaine. C’est Consuelo qui l’a trouvée et l’on
croirait
qu’elle l’a même inventée : c’est immense, sur un promontoire emplumé
69
t (notamment les privations alimentaires) qu’elle
croyait
être celui des plus privés des Français sous l’occupation. ⁂ « La
70
ar le chauvinisme culturel — les Français de 1914
croyaient
défendre la civilisation contre les Allemands qui croyaient défendre
71
défendre la civilisation contre les Allemands qui
croyaient
défendre leur Kultur — elle se dissipe comme brume au soleil à la lum
72
ngé, qu’on se rassure, et même à 180°, comme on a
cru
pouvoir me le reprocher dans la presse de cette ville. Et c’est cela,
73
inir. Je vous en donnerai un exemple qui vaut, je
crois
, pour tout le débat sur le choix énergétique. Il s’agit d’une intervi
74
l’industrie nucléaire française, donnant ainsi à
croire
que « l’énormité » (à leur point de vue) proférée dans un moment de s
75
hevée. Vogue la galère. 6 janvier. Travaillé. Je
crois
que je devancerai mon imprimeur, pourvu que les événements ne me deva
76
Toutes mes relations à Paris sont brisées. Je ne
crois
pas qu’il y ait rien à faire. 5 mai. Visites sans fin chez moi. (Le
77
conquête !) 31 mai. Folies d’imagination. Je me
crois
dédaigné de tout le monde et personne n’y pense. C’est moi qui ne pre
78
ense. C’est moi qui ne prends pas ma place, et je
crois
qu’on me la refuse. 12 août. Dispute avec Guizot. Le plus petit pouv
79
que la nation m’appuie, mais en récompense, je le
crois
, elle exigera la liberté. Elle en aura. Ni l’empereur ni Constant n’
80
rojet précis de fédération de l’Europe. A-t-il pu
croire
un seul instant que la France napoléonienne, « réparant ses longues e
81
enir.45 De là, l’invitation du 14 avril. Je ne
croyais
point — écrit Constant dans son Mémoire sur les Cent-Jours — à la con
82
are, il n’a pas affecté la vie de son auteur, qui
croyait
tout risquer sur cette centaine de pages, et pourtant note en 1814 :
83
L’Esprit de conquête : L’auteur de cet ouvrage a
cru
que les circonstances n’étaient pas favorables à l’examen d’une foule
84
es doigts d’une main : 5 ou 6 sur 36 orateurs, je
crois
bien. Certes, leurs thèses principales ont été reprises un peu partou
85
rd elle parvient à le vivre. Autrement, on ne la
croira
pas. Car ainsi que le disait le bon Dr Schweitzer, « l’exemple n’est
86
Voilà encore un démagogue, et qui probablement ne
croit
pas en Dieu, mais ne veut pas renoncer au bénéfice de l’invoquer — af
87
agogie intellectuelle au xxe siècle. Il y a, je
crois
, les plus grandes chances pour que les auteurs d’aujourd’hui qui surv
88
ont crié par la voix de leur chef religieux. On a
cru
que la révolte éclatait contre les exactions de la Savak, police d’Ét
89
de l’affrontement sans merci entre une nation qui
croit
aux lois internationales et un chef religieux qui n’y voit qu’hypocri
90
colonisateurs européens ou soviétiques) leur font
croire
qu’ils désirent, en Iran se manifeste d’emblée une résistance totalem
91
’inverse quelques saints comme il s’en est trouvé
croit
-on au Tibet, dans les Andes ou dans les Alpes suisses, ont eu le secr
92
sation des armements classiques et nucléaires. b)
croire
aux prétendus « impératifs » de l’économie, de la technique, ou de la
93
dio-Télévision d’autre part, essaie de nous faire
croire
, à longueur de journée, que nous ne pouvons plus vivre sans tel produ
94
ts du commerce des produits « exotiques » (qu’ils
croient
devoir exiger selon leur TV spot) que dépendra l’issue de la lutte co
95
us ! Cela seul peut convaincre. Le tiers-monde ne
croit
pas nos sermons. Il ne croira que notre exemple, et encore : à condit
96
e. Le tiers-monde ne croit pas nos sermons. Il ne
croira
que notre exemple, et encore : à condition que ce soit une réussite !
97
tte doctrine, dès lors que nous prononçons : « Je
crois
la sainte Église universelle ». Et je me bornerai ici à en souligner
98
f, elles savent qu’il règne et crée pour ceux qui
croient
la possibilité de faire ce qu’il demande. Dans l’état d’impuissance a
99
sera suffisante. Aussi bien certaines raisons de
croire
que l’Église peut agir, raisons que je vais énumérer, sont-elles moin
100
e de la prudente considération des forces dont il
croyait
pouvoir disposer, mais de ce que Dieu voulait qu’il fit. C’est toujou
101
Maritain, néo-calvinisme de Barth. C’était ce que
croyaient
voir les journalistes, quand il leur arrivait de regarder de ce côté.
102
rais dire convertissante. (Pour moi, s’il faut en
croire
les tests que j’ai passés, je me verrais plutôt entre deux pentes, so
103
ation technique qui fait l’Histoire, comme on l’a
cru
au début de ce siècle, mais nos désirs, dont la technique n’est que l
104
isions qui seront faites demain, et de qui va les
croire
, dans quels délais, à quels taux d’efficacité… ⁂ L’obstacle méthodolo
105
», phrase citée dans le n° 5 de L’ON et que je
croyais
inventer en écrivant quarante ans plus tard L’Avenir est notre affai
106
on civique, condition d’une démocratie réelle. On
croyait
que c’était du folklore. Et voilà que cela fait tomber des ministères
107
ustrielle, un modèle neuf de développement. J’ose
croire
que les travaux menés à Genève par Charles Ricq, avec la rigueur, la
108
e peut rien dire, il n’y a pas de précédent. » Je
crois
que les hommes ont obscurément conscience qu’une guerre atomique sera
109
à empêcher les autres de faire la guerre. Je n’en
crois
pas moins qu’un accident est fatal. Ou que certaines « raisons », si
110
éloignés apparemment de la chose, qu’on pourrait
croire
à un plan d’ensemble non pour faire la guerre, mais pour la « prépare
111
u à peu, comme poussés par un mot d’ordre qui, je
crois
, n’existe pas, mais qui correspondrait à une certaine attitude mental
112
gées dans le nucléaire. On a essayé de nous faire
croire
que le nucléaire militaire et le nucléaire civil n’avaient aucune esp
113
fierait qu’on trompe la population en lui faisant
croire
qu’elle est protégée. Oui. Vous allez jusque-là ? Absolument. Des ami
114
mment nos milieux gouvernementaux et militaires y
croient
encore. La guérilla organisée Mais je voudrais insister ici sur
115
énéral et de la petite Suisse en particulier ? Je
crois
qu’il y a une réponse à trouver dans les chiffres de population. L’Eu
116
Éducation civique Il est absolument vain de
croire
, qu’on peut défendre un peuple malgré lui, lui mettrait-on en main le
117
udget militaire et non pas de santé civique. Vous
croyez
que les jeunes, sceptiques comme ils sont, se laisseraient mobiliser
118
sibilité d’avenir, d’avenir encore ouvert. Vous y
croyez
, vous, à leur avenir ouvert ? Si la Suisse se lançait dans la bataill
119
les Germains manquent à cette définition. Or, je
crois
que la vie de l’esprit, chez les Celtes, leur sensibilité, leur affec
120
engagé assez loin, ce qui m’a surpris, car je le
croyais
plutôt tiède. Rocard est tout à fait régionaliste. C’est un Méridiona
121
t du premier Conseil des communes d’Europe. Je le
crois
tout à fait sincère. Il emploie le terme « décentraliser » parce que
122
ours pas, et même de moins en moins, s’il faut en
croire
le rapport américain Globe 200077. Les déchets s’accumulent inexorabl
123
ntiellement nos modes de penser, de sentir, ni de
croire
. L’informatique peut aller beaucoup plus loin d’ici à l’an 2000. En p
124
ours pas, et même de moins en moins, s’il faut en
croire
le rapport Globe 2000. Les déchets s’accumulent inexorablement. Arrêt
125
ntiellement nos modes de penser, de sentir, ni de
croire
. L’informatique peut aller beaucoup plus loin d’ici à l’an 2000. En p
126
à se pourvoir d’une information abondante, ils se
croiront
compétents en une quantité de choses, alors qu’ils sont, dans la plup