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xistence même des grandes villes, comme celle des
déchets
nucléaires, limite nos possibilités d’avenir. 14. Vous vous attaquez
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dez : « On vous les laisse, elles sont pleines de
déchets
radioactifs. » Et il y en a d’autres ! J’ai un ami qui a dit de mon l
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vous les laisse, car vous allez y entreposer les
déchets
radioactifs des centrales atomiques. » Le directeur de l’Agence atomi
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tissent la mer, l’eau douce, l’air, les sols. Les
déchets
radioactifs que nous sommes obligés de stocker (mais où ? pour l’inst
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ne fait rien sans risques ; — que le problème des
déchets
a été résolu, puis qu’il va l’être demain, puisqu’il ne peut manquer
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la formation et la surveillance et la gestion des
déchets
radioactifs entreposés dans les centrales ; le transport des matières
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e et la gestion des dépôts terminaux stockant les
déchets
pour des siècles (des centaines de milliers d’années s’agissant des t
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remier bateau apportant à l’usine de La Hague des
déchets
nucléaires du Japon a provoqué une manifestation tout à fait pacifiqu
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nombre de leurs élus locaux. Le débarquement des
déchets
n’a pu s’opérer que sous la protection de 600 policiers casqués et ar
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ne fait rien sans risques ; — que le problème des
déchets
a été résolu, puis qu’il va l’être demain, puis qu’il ne peut manquer
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e », déverse dans la mer du Nord 60 000 tonnes de
déchets
par jour. 4. Les produits nocifs dans l’alimentation, qui la dénature
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ble : les surgénérateurs créeraient des tonnes de
déchets
radioactifs à traiter et à surveiller sans relâche jusqu’à l’extincti
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Bretagne des pétroliers et des cargos chargés de
déchets
radioactifs, ou le bassin de la Méditerranée, c’est un accord de type
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ales, puis on s’est demandé comment réduire leurs
déchets
radioactifs. On ne le sait toujours pas, et même de moins en moins, s
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en croire le rapport américain Globe 200077. Les
déchets
s’accumulent inexorablement. Arrêter les centrales créerait, dit-on,
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ales, puis on s’est demandé comment réduire leurs
déchets
radioactifs. On ne le sait toujours pas, et même de moins en moins, s
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s, s’il faut en croire le rapport Globe 2000. Les
déchets
s’accumulent inexorablement. Arrêter les centrales créerait, dit-on,