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économies « nationales » et les entraîne dans une
dépendance
obsédante et angoissée vis-à-vis d’une énergie incontrôlable. Déjà, s
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e de l’économie d’un pays ou du continent, et une
dépendance
trop étroite soit de puissances politiques, soit de ressources incont
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es dans la solidarité, qui est le contraire de la
dépendance
d’une capitale dans la discipline militaire. Tout cela va vers la pri
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ne vulnérabilité excessive de l’industrie par une
dépendance
trop étroite soit de puissances politiques nationales, soit de ressou
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la complexité croissante des systèmes augmente la
dépendance
à l’égard des rares spécialistes. De même que les calculettes permett
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ne vulnérabilité excessive de l’industrie par une
dépendance
trop étroite soit de puissances politiques nationales, soit de ressou
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la complexité croissante des systèmes augmente la
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à l’égard des rares spécialistes. » De même que les calculettes perme
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la complexité croissante des systèmes augmente la
dépendance
à l’égard des rares spécialistes. On est ainsi en droit de se demande
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des réseaux. Il suffit d’apprécier leur degré de
dépendance
vis-à-vis des calculatrices de poche pour comprendre qu’ils ne se rap