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était en train de se faire. Nous pressentions les
désastres
auxquels la productivité sans limites devait nous conduire, non seule
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en était jeté : l’Europe désunie glissait vers le
désastre
, la Deuxième Guerre mondiale devenait inévitable. Était-ce la fin des
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tique, crise de civilisation laissant prévoir des
désastres
désormais calculables si l’on continue dans le même sens et au même r
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er de crise en crise et de pénuries en famines au
désastre
final de la guerre nucléaire, ne serait-il pas temps de changer de ca
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e fois de plus, c’est l’angoisse, la menace et le
désastre
qui ont suscité la prise de conscience de quelque chose de grand qui
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e et du même coup de l’homme qui en vit, rend ces
désastres
probables à court terme. C’est l’avenir de l’Humanité qui n’est plus
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Renoir, à frôler à la fois le chef-d’œuvre et le
désastre
financier. Enfin, il crée avec Antonin Artaud et Roger Vitrac le Théâ