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par la non-violence… Ceux qui prétendent hâter la
destruction
du système qu’ils réprouvent par la violence justifient telle opposit
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ssion joue le rôle de l’impérialisme et tend à la
destruction
de l’autre. Mon livre était une description de l’amour-passion dont l
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civilisation industrielle, les grandes villes, la
destruction
de toute solidarité. Nous préconisions des solutions comme le service
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a base de la grande industrie, plus ce progrès de
destruction
s’accomplit rapidement. La production capitaliste ne développe donc l
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% ou 90 % par notre environnement industriel ; la
destruction
des forêts et du plancton des océans qui fabriquent l’oxygène que nou
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qui fabriquent l’oxygène que nous respirons ; la
destruction
des sols par la progression du béton et la culture mécanisée ; la pén
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° ou 90 % par notre environnement industriel ; la
destruction
des forêts à 25 % dans le monde et du plancton des océans, qui fabriq
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qui fabriquent l’oxygène que nous respirons ; la
destruction
des sols par la progression du béton et de la culture mécanisée ; la
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cientifiques tendant à favoriser la vie et non sa
destruction
, c’est-à-dire la paix et non la guerre. Certes, ce n’est pas aux gouv
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és en aéroports et en docks pour pétroliers, d’où
destruction
de la faune marine, etc.) 2. La lutte contre l’accroissement de la co
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lternative sont également improbables, et que les
destructions
en cours et à venir supprimeront pratiquement toutes possibilités de
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accroissement presque sans limites des dangers de
destruction
de la Nature et du même coup de l’homme qui en vit, rend ces désastre
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ice de ses passions de puissance sur autrui et de
destruction
, si l’on n’augmente pas en même temps les pouvoirs de l’esprit au ser
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ns irréversibles des lacs, rivières et océans, et
destruction
des forêts de la planète (déjà à 40 %) pouvant entraîner une diminuti
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ice de ses passions de puissance sur autrui et de
destruction
, si l’on n’augmente pas en même temps les pouvoirs de l’esprit au ser
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ns irréversibles des lacs, rivières et océans, et
destruction
des forêts de la planète (déjà 40 %) pouvant entraîner une diminution