1 la terre est pillée, le pétrole, les minerais, l’ eau s’épuisent, le nucléaire menace et avec lui le totalitarisme des État

2 ’existence. Il ne se contente pas d’apporter de l’ eau au moulin des écologistes, mais propose des solutions. Parce qu’il es

3 enouvelables — hydrocarbures et uranium, oxygène, eau potable, etc. — si l’on continue au même rythme, ou si l’on accélère

4 lable. Déjà, ses retombées investissent la mer, l’ eau douce, l’air, les sols. Les déchets radioactifs que nous sommes oblig

5 assure en France la construction des réacteurs à eau pressurisée), soit une fédération de petites communautés autonomes.

6 passer que la pollution elle-même — des airs, des eaux , des ondes et des tempêtes ; fiscalité prélevée dans la région, mais

7 au cours des âges — voler très haut, aller sous l’ eau et sur la lune, parler à grande distance, tuer de même et sans risque

8 n du béton et la culture mécanisée ; la pénurie d’ eau potable et l’extinction de centaines et de milliers d’espèces animale

9 u béton et de la culture mécanisée ; la pénurie d’ eau potable et l’extinction de centaines et de milliers d’espèces animale

10 res, pollution d’envergure mondiale des airs, des eaux (océans, mers, lacs, fleuves), des forêts (détruites à 40 %) et des s

11 truction pour toute la France des centrales PWR à eau pressurisée (licence Westinghouse). Voici ce que dit M. Jean-Claude L

12 de crever », qu’elle « agonise », qu’elle « fait eau de toutes parts », qu’elle est « au plus bas », que « c’est la fin »

13 Lew Kowarski expose sa conception des centrales à eau lourde ou à eau légère, qu’il considère comme un « mal nécessaire »,

14 ose sa conception des centrales à eau lourde ou à eau légère, qu’il considère comme un « mal nécessaire », mais aussi des «

15 sont multiples et les problèmes d’une centrale à eau légère ne sont pas les mêmes que ceux de Creys-Malville. En effet, le

16 nationale d’action pour la protection des cours d’ eau et des lacs, a tenu son assemblée générale le 28 juin 1980 à Lausanne

17 la politique de notre génération. 3. La pénurie d’ eau potable. Selon une étude de la Commission économique pour l’Europe, l

18 tude de la Commission économique pour l’Europe, l’ eau des rivières et des nappes souterraines est déjà insuffisante pour le

19 llemagne et la Belgique sont déjà importatrices d’ eau . Alors que les réserves diminuent, la demande croît : il faudra recou

20 inuent, la demande croît : il faudra recourir à l’ eau salée pour refroidir les centrales nucléaires, d’où accroissement des

21 es grands ensembles, pollués et polluants (air et eaux ), et dévoreurs d’énergie (tours, embouteillages, publicités lumineuse

22 dé à ses services d’établir un plan européen de l’ eau qui permettrait d’intervenir dans certains projets de gestion des eau

23 d’intervenir dans certains projets de gestion des eaux , d’intérêt commun pour plusieurs États. L’une des premières tâches eu

24 é les mesures écologiques contre la pollution des eaux (nappes phréatiques, lacs, rivières), pour la production d’énergie so

25 prendre des mesures drastiques de protection des eaux  ; elle est bien davantage le fait de la population tout entière du « 

26 maternelle. Et cela nous vaudra d’abord Marins d’ eau douce, dont les charmes n’ont pas cessé d’agir sur les adolescents, m

27 tique, les Gessiens n’auront plus qu’une source d’ eau pour leurs réseaux : le Léman. Ils sont donc concernés au même titre

28 (pétrole et uranium dès aujourd’hui, mais demain eaux , forêts, aliments). 7. Avantages de l’informatique Ils crèvent

29 (pétrole et uranium dès aujourd’hui, mais demain eaux , forêts, aliments). 7. Avantages de l’informatique Ils crèvent