1
ssance, de la productivité, du bonheur des hommes
envisagé
selon le nombre d’objets mis à leur disposition. Ce sont des sectes à
2
ne sont pas encore imaginés, ni même sérieusement
envisagés
. Il est clair que les gouvernements n’accepteront jamais, sauf s’ils
3
euve » qu’est la fédération de l’Europe, permet d’
envisager
son avènement puissant mais sans violence, et de croire de nouveau à
4
i. Mais que pourrait bien faire de cela la charte
envisagée
? Comment un gouvernement pourrait-il encourager ce « reste » laissé
5
qu’auront à se poser les rédacteurs de la charte
envisagée
. D’une manière pragmatique et globale appelons « culture » ce qui a f
6
ujourd’hui le kilowatt installé au double du prix
envisagé
. « Alors, que valent des raisonnements fondés sur l’épluchage des déc
7
dernières de l’homme. C’est pourquoi je suggère d’
envisager
le problème de l’informatique dans des perspectives très différentes
8
à contre-fins, mais bien une société qui refuse d’
envisager
les transformations radicales, dans la répartition des profits notamm
9
y a, en Occident, quelque chose comme un refus d’
envisager
, avant toute application industrielle et commerciale d’une invention,
10
rique, cependant que les méthodes de retraitement
envisagées
posent des problèmes de plus en plus inextricables, tant politiques q
11
rt aux fins dernières de l’homme. Je me propose d’
envisager
l’informatique non pas dans sa problématique immédiate — utilité cert
12
à contre-fins, mais bien une société qui refuse d’
envisager
les transformations radicales (dans la répartition des profits notamm
13
Occident, quelque chose comme un refus général d’
envisager
, avant toute application industrielle et commerciale d’une invention,
14
rique, cependant que les méthodes de retraitement
envisagées
posent des problèmes de plus en plus inextricables, tant politiques q