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les mêmes à toute espèce d’union. C’est tenter de
fédérer
des facteurs de division. C’est le type même de l’énoncé contradictoi
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moyen ou la condition nécessaire. Et si l’Europe
fédérée
ne représente pas la réponse au grand appel communautaire qui s’élève
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otre affaire : « Il est donc clair qu’une Europe
fédérée
serait, selon le sens courant du terme “politique”, radicalement dépo
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st de donner l’exemple. C’est de créer une Europe
fédérée
des régions, qui tenterait de faire l’économie de cette crise industr
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vous faire voir, ce soir, que l’idée d’une Europe
fédérée
n’est nullement la lubie de quelques-uns, mais une nécessité qui sera
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par notre état de division, par le refus de nous
fédérer
. Derrière nos représentations exagérément pessimistes, et dans l’atte
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onde ? Tout se tient… Écologie – régions – Europe
fédérée
: même avenir. J’aime cette formule. Les États-nations qui constituen
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s’autogérer, et voient bien qu’elles devraient se
fédérer
à cette fin. Qui pourrait les retenir de le faire ? Les États-nations
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ur diversité et à partir de leur autonomie. C’est
fédérer
, c’est-à-dire indiquer des fins communes à des unités autonomes, — ce
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tionalistes d’aujourd’hui redoutent qu’une Europe
fédérée
fasse à leur France et à sa culture nationale ce que celle-ci fit jad
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ogan par la formule : « Écologie, régions, Europe
fédérée
: même avenir ». Passons sur le problème de la Défense (nous proposon
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proposé la formule : « Écologie, régions, Europe
fédérée
: même avenir ». ⁂ Je voudrais souligner surtout ce grand fait : l’ai
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Lausanne, d’autres thèmes que celui de l’Europe à
fédérer
, plus spécifiques de la doctrine élaborée par notre groupe, n’ont ces