1 1978, Articles divers (1978-1981). Le diable en Suisse (1er janvier 1978)
1 mplement à nous faire prendre ses désirs pour nos fatalités . Quand le diable prépare un gros coup, il s’arrange toujours pour nou
2 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
2 ieux et de nos démons et qu’il ne recèle aucune «  fatalité  ». Hormis les tremblements de terre — et il n’est pas improbable que
3 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
3 pessimiste, ultrapessimiste. Mais il n’y a pas de fatalités . Il ne faut pas se laisser berner par ces fariboles d’impératifs écon
4 veulent nous faire prendre leurs désirs pour nos fatalités . Ils vous diront qu’il est vain de lutter contre le progrès… Ils vont
5 isser s’accréditer ces histoires de nécessité, de fatalité . On se chauffait à 23° avant la crise du pétrole, on se chauffe à 20°
4 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
6 réalité ce sont des Sarrasins, avec ce sens de la fatalité … Vous avez vu comme ils se tiennent immobiles et tout noirs dans leur
5 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
7 e ». Mais c’est un constat de démission devant la fatalité  ! Qui, devant un danger pressant, se contenterait de faire confiance
6 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
8 udraient nous faire prendre leurs désirs pour nos fatalités  : devenons conscients de nos désirs réels, éduquons-les. Cela doit en
7 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
9 comme patrie des hommes libres et du refus de la fatalité . Jamais l’intelligentsia de nos pays n’aura été plus naturellement eu
8 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
10 ses pour nous faire prendre leurs désirs pour nos fatalités . Toute la publicité, dont vit la presse d’une part et la Radio-Télévi
11 au pas de la société) pour nos besoins, voire nos fatalités . Quand un gouvernement éprouve le besoin de justifier par quelques ch
12 ne parle plus de famines comme s’il s’agissait de fatalités  ; — et qu’enfin qu’on ne parle plus de l’avenir humain comme s’il s’a