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mplement à nous faire prendre ses désirs pour nos
fatalités
. Quand le diable prépare un gros coup, il s’arrange toujours pour nou
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ieux et de nos démons et qu’il ne recèle aucune «
fatalité
». Hormis les tremblements de terre — et il n’est pas improbable que
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pessimiste, ultrapessimiste. Mais il n’y a pas de
fatalités
. Il ne faut pas se laisser berner par ces fariboles d’impératifs écon
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veulent nous faire prendre leurs désirs pour nos
fatalités
. Ils vous diront qu’il est vain de lutter contre le progrès… Ils vont
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isser s’accréditer ces histoires de nécessité, de
fatalité
. On se chauffait à 23° avant la crise du pétrole, on se chauffe à 20°
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réalité ce sont des Sarrasins, avec ce sens de la
fatalité
… Vous avez vu comme ils se tiennent immobiles et tout noirs dans leur
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e ». Mais c’est un constat de démission devant la
fatalité
! Qui, devant un danger pressant, se contenterait de faire confiance
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udraient nous faire prendre leurs désirs pour nos
fatalités
: devenons conscients de nos désirs réels, éduquons-les. Cela doit en
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comme patrie des hommes libres et du refus de la
fatalité
. Jamais l’intelligentsia de nos pays n’aura été plus naturellement eu
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ses pour nous faire prendre leurs désirs pour nos
fatalités
. Toute la publicité, dont vit la presse d’une part et la Radio-Télévi
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au pas de la société) pour nos besoins, voire nos
fatalités
. Quand un gouvernement éprouve le besoin de justifier par quelques ch
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ne parle plus de famines comme s’il s’agissait de
fatalités
; — et qu’enfin qu’on ne parle plus de l’avenir humain comme s’il s’a