1
ndu à l’empire hiérarchisé ; la loi commune ; les
grandes
routes de l’Europe ; et la notion de citoyen (un responsable pourvu d
2
u Proche-Orient — et c’est ce qu’exprime avec une
grande
précision le mythe de l’Enlèvement d’Europe, princesse de Tyr en Pale
3
de décisions métaphysiques. Ce sont les premiers
grands
conciles œcuméniques du ive au vie siècle, et en particulier Nicée,
4
is et les Hindous possédaient depuis longtemps de
grands
bateaux bien supérieurs à nos pauvres petites caravelles du xvie siè
5
l’Europe fédérée ne représente pas la réponse au
grand
appel communautaire qui s’élève des masses comme des élites occidenta
6
ières (quand elles sont arbitraires) vers de plus
grandes
régions (qui pourraient englober, selon les fonctions, la Romandie, l
7
nnes ? Ou l’égalité ? N’importe quoie. Enfin, les
grandes
options qu’on peut avoir. Ça, c’est faire de la politique, c’est-à-di
8
on en tâchant de la rendre acceptable par le plus
grand
nombre de citoyens, de créer une espèce de consensus autant que possi
9
on qui a l’approbation des citoyens, de leur plus
grand
nombre. Je dis ça contre la phrase de Pompidou que je cite : « Gouver
10
onc, selon ce qui suit : « N’importe laquelle des
grandes
options… » f. Rougemont corrige le journal, qui a imprimé « que ce s
11
es sociétés anonymes. Chacun se cache derrière un
grand
arroi de nécessités économiques, d’impératifs technologiques calculés
12
s une personne mais bien dans ses effets, dans le
grand
mythe collectif de la puissance et de la richesse, dont pas un de nou
13
ité engendre le désespoir. Dans l’entassement des
grandes
villes, les gens ne se sentent plus responsables et, par conséquent,
14
d’abord, organisées en un ensemble européen : la
grande
idée des fédéralistes européens à laquelle je reste attaché. Une redi
15
a une différence cependant par rapport à hier. Un
grand
nombre de Français — pour ne pas parler des Italiens, des Allemands o
16
pour deux siècles ! » Bien sûr, mais il y a de si
grands
intérêts financiers en jeu ! Pour des intérêts financiers, nous condu
17
d’économie sur l’énergie. 5. Vous ne tenez pas en
grande
estime les mouvements politiques, qu’ils soient de droite ou de gauch
18
créera des communautés, on abandonnera toutes ces
grandes
villes qui ne sont plus rentables — vous connaissez l’exemple de New
19
rs et aux rats ! Évidemment, l’existence même des
grandes
villes, comme celle des déchets nucléaires, limite nos possibilités d
20
ortionnelle au nombre d’étages dans les tours des
grands
ensembles. C’est tout de même significatif. La dépersonnalisation dét
21
ent moins mal qu’ailleurs et l’on y fait de moins
grandes
bêtises. Non parce qu’on est meilleur, mais parce qu’on est plus peti
22
nt : « On l’imaginerait volontiers imposant. Très
grand
et sérieux. Hautain, peut-être. Or, Denis de Rougemont surprend au pr
23
posant, mais forçant naturellement le respect. Ni
grand
ni petit, mais moyen. Jamais hautain, pourquoi le serait-il ? C’est d
24
que à la crise de l’Avenir, de cet avenir avec un
grand
A, dont nous n’osons parfois même plus imaginer l’existence. Il ne se
25
t avant tout d’imposer au pouvoir fédéral un plus
grand
respect des réalités régionales, en donnant aux citoyens et citoyenne
26
ofondie. Alors à quoi sert cette initiative ? Son
grand
mérite, c’est qu’elle force la prise de conscience, elle oblige à réf
27
acrées à supplier les automobilistes d’éviter les
grands
axes pour ne pas renforcer encore des bouchons déjà gigantesques ! Ce
28
e route —, c’est un manifeste. Un manifeste de ce
grand
mouvement dont je sens, dont j’éprouve déjà le soulèvement et qui s’a
29
il ne peut pas faire main basse sur le soleil. Ce
grand
combat entre ces deux systèmes, entre l’option nucléaire et l’option
30
tion ! » Je n’y crois pas. La Révolution, avec un
grand
R, est un mythe populaire qui consiste à croire qu’un beau jour, on v
31
taire créée par la civilisation industrielle, les
grandes
villes, la destruction de toute solidarité. Nous préconisions des sol
32
derniers survivants de la première génération des
grands
physiciens qui se sont penchés sur le nucléaire, Lew Kowarski, l’un d
33
s sous la plume des critiques. La tentation était
grande
, on le comprend, de rencontrer Denis de Rougemont et de parler avec l
34
atique, vous allez le voir. C’est l’alternance de
grands
élans dans l’enthousiasme créateur, et d’enlisements dans le marécage
35
aneuropéen. On peut y lire des phrases simples et
grandes
comme celle-ci : La question européenne, la voici : — Est-il possibl
36
parce que Hitler venait de remporter son premier
grand
succès électoral (14 septembre 1930). Le sort en était jeté : l’Europ
37
uis en Hollande, à Luxembourg, finalement lors du
grand
congrès fédéraliste de Montreux (1947), les résistants d’hier fondent
38
. Les petites nations y compteront autant que les
grandes
et tireront leur honneur de leur contribution au bien commun… Il s’ag
39
ples d’outremer associés à nos destinées, la plus
grande
formation politique et le plus vaste ensemble économique de notre tem
40
chec par un plus formidable adversaire. Entre ce
grand
péril et cette grande espérance la vocation de l’Europe se définit cl
41
idable adversaire. Entre ce grand péril et cette
grande
espérance la vocation de l’Europe se définit clairement. Elle est d’u
42
nfidélités, l’Europe demeure aux yeux du monde le
grand
témoin. La conquête suprême de l’Europe s’appelle la dignité de l’hom
43
ut public, suprême chance de la paix et gage d’un
grand
avenir, pour cette génération et celles qui la suivront. On a reconn
44
pare pas la Commission de Bruxelles à décider des
grandes
options morales et politiques de l’Europe tout entière. J’en vois la
45
érale : c’était pourtant le premier achèvement du
grand
dessein de Jean Monnet, son premier objectif pleinement atteint. Faut
46
tinue de croire, dans sa majorité, que plus c’est
grand
et mieux cela vaut. Reste alors notre « vieille Europe » : elle a été
47
ute guerre : les communautés humaines. Devant les
grands
défis mondiaux que j’ai évoqués, nous ne gardons quelques chances de
48
fut l’origine, cela n’est plus à démontrer — des
grands
États centralisés. Or la croissance illimitée de la production indust
49
nner au monde l’exemple d’une désescalade. Si les
grands
États sont responsables des grandes guerres, il faut diminuer à la fo
50
calade. Si les grands États sont responsables des
grandes
guerres, il faut diminuer à la fois leur taille et leurs pouvoirs d’a
51
ans d’une Europe des régions rassemblées dans une
grande
fédération en reprenant un système prôné par Proudhon qui dénonçait d
52
s. Pourtant le club de Rome a mis en évidence les
grandes
directives qui devraient conduire l’humanité jusqu’au seuil de l’an 2
53
dans l’espace régional. À propos de pollution, la
grande
peur vient de la multiplication des centaines de centrales nucléaires
54
e pas le carrefour de l’Europe occidentale où les
grands
organismes internationaux ont trouvé tout naturellement leur place ?
55
ir « soumis la campagne à la ville » et sauvé une
grande
partie de la population de « l’idiotie de la vie rurale »9. Ce qu’on
56
a population des villes qu’elle agglomère dans de
grands
centres, la production capitaliste, d’une part accumule la force motr
57
rique par exemple, se développe sur la base de la
grande
industrie, plus ce progrès de destruction s’accomplit rapidement. La
58
a Russie au xxe siècle jusqu’au rang de deuxième
Grand
du monde. Tocqueville l’annonçait, en revanche, sur un ton de lucidit
59
llage près de Lausanne — on est reçu par un homme
grand
et maigre qui a l’une des plus belles têtes que je connaisse : on la
60
l sourit derrière sa moustache. Il vous conduit à
grands
pas dans sa chambre de travail, dont les fenêtres à barreaux de fer d
61
races… Non, il avise un petit nid d’oiseau sur sa
grande
table de travail (en sapin blanc, sans peinture ni vernis). « Voyez-v
62
u’il n’a rien dit de lui. Qui est Ramuz ? Le plus
grand
écrivain suisse d’aujourd’hui, auteur d’une trentaine de romans, un r
63
ujours l’irruption d’un événement unique, ou d’un
grand
mythe dans l’existence d’une communauté. Le diable s’installe chez le
64
ement le dessin, en jouant sur le clair-obscur de
grandes
scènes d’où surgit un geste. On l’a souvent comparé à Cézanne. Le lec
65
connais pas d’autre écrivain qui ait su poser les
grandes
questions métaphysiques en termes d’objets, de sensations élémentaire
66
r l’amour. Aux dernières pages, « ayant quitté la
grande
vallée » — souvenez-vous ici encore de l’Évangile, ils montent dans l
67
ervant la ligne bleue des Vosges. Plus l’État est
grand
, plus l’industrie se développe, plus la guerre risque d’être un holoc
68
sur des sujets qui mettent en désaccord même les
grands
experts. Qu’en pensez-vous ? Certes, les « experts » se contredisent
69
tes, les « experts » se contredisent sur tous les
grands
sujets qui passionnent aujourd’hui l’opinion, et notamment sur le suj
70
u’ils apprennent que small is beautiful, que plus
grand
n’est pas nécessairement mieux, et que les espèces géantes, dinosaure
71
ins efficace sur un public mal ou pas informé. Le
grand
mérite des organisations qui ont convoqué cette conférence de presse
72
Trieste, à cheval sur les Pyrénées, enfin dans le
Grand
Nord scandinave. Une quarantaine de régions brochant sur deux et parf
73
e. Qu’elle ait passé pratiquement inaperçue de la
grande
presse et de la RTV des deux pays intéressés paraît étrange, pour dir
74
que nous appelions « lémano-alpine » dans sa plus
grande
extension, et qui allait devenir dans une définition plus restreinte,
75
nergie, rendus insolubles par les prétentions des
grandes
centrales nationales ; lutte contre la pollution — lutte arrêtée par
76
l (à deux exceptions près sur 160 États), et trop
grand
pour animer la vie réelle de ses communes ou même de ses régions (à l
77
on vient de citer varient selon qu’il s’agit d’un
grand
ou d’un petit État, d’un État centralisé ou d’un État plus moins fédé
78
d’années, les gouvernements occidentaux comme les
grandes
firmes se déclarent partisans de la décentralisation. C’est un hommag
79
ses problèmes économiques est insuffisante. c) La
grande
presse s’occupe de temps à autre, à l’occasion d’attentats, de plasti
80
e. Encore que la supériorité du petit État sur le
grand
soit aisément vérifiable aux niveaux les plus variés de l’existence e
81
ants et de prix Nobel par million d’habitants, le
grand
État n’ayant sur le petit qu’un seul avantage certain, celui de pouvo
82
seul avantage certain, celui de pouvoir mener de
grandes
guerres — il est non moins évident que le « mini-État souverain » dan
83
senterait des inconvénients de même nature que le
grand
, sans en avoir les douteux « avantages » (puissance militaire, moyens
84
ient de ses habitants.) Ajoutons que cette « plus
grande
région » est aussi celle de l’horlogerie européenne, et celle de la c
85
n rayon d’environ 40 km autour de Genève. La plus
grande
, celle des universités, qui a ses fondements ethniques et historiques
86
violet.) La « vraie » région sera-t-elle la plus
grande
possible ? (Ici, la région ethno-universitaire et historique, la plus
87
nts » du théâtre de tous les temps. Mais voici le
grand
tournant de l’esthétique moderne : si les conventions sont sérieuses,
88
s mœurs, envoûtante et parfois mortelle. Tous les
grands
opéras, tous les « vrais », voudrais-je dire, sont des émergences du
89
des Dieux. Entre-temps, se sont révélés les deux
grands
mythes annonciateurs des mouvements profonds de la psyché collective
90
Rougemont Denis de, « Le mythe et l’opéra », Le
Grand
Théâtre de Genève, Genève, Fondation du Grand Théâtre de Genève, 1979
91
Le Grand Théâtre de Genève, Genève, Fondation du
Grand
Théâtre de Genève, 1979, p. 16-17.
92
nnée —, j’avais souhaité soumettre au jugement du
grand
juriste Fernand Dehousse un cas pendable d’utopie fédéraliste, dont i
93
ui sont beaucoup plus faciles à conquérir que les
grandes
décisions d’abandons de souverainetés, peut-être sans lendemain, même
94
s haut, aller sous l’eau et sur la lune, parler à
grande
distance, tuer de même et sans risques, voir ce qui n’est pas là, ent
95
’est accepter non seulement que l’autre soit plus
grand
ou plus petit, d’un sexe différent, plus intelligent ou moins, mais q
96
e l’ordinateur. Je disais un jour à Louis Armand,
grand
ingénieur, grand humaniste, directeur des chemins de fer français et
97
e disais un jour à Louis Armand, grand ingénieur,
grand
humaniste, directeur des chemins de fer français et premier président
98
Fourier et Marx en sont les exemples connus. Une
grande
exception : Althusius. À vrai dire, ces idéologies sont réalistes à l
99
excès anarchisants, qui créent le vide social des
grandes
villes hellénistiques, vide social qui appelle les tyrans. Rome, en
100
du rêve, rédemption de l’échec historique, et le
grand
thème de la Quête aventureuse, symbole mystique. Le trésor des symbol
101
ragédie grecque et de la Bible judéo-chrétienne :
grands
textes éducateurs de la psyché individuelle et collective, des désirs
102
niversel, soit avec l’homme d’une seule nation du
grand
complexe continental dont il révèle ainsi qu’il fait partie, par le s
103
tantinople (1453) et plus encore au lendemain des
grandes
découvertes. Ses facteurs d’unité fondamentale, puissamment confirmés
104
nement des foyers locaux, et rouvrir nos pays aux
grands
courants continentaux, foyers et grands courants qui ont toujours été
105
pays aux grands courants continentaux, foyers et
grands
courants qui ont toujours été les deux éléments dynamiques de la cult
106
et Göttingen, et Iéna, et Vienne… Là naissent les
grandes
écoles de musique, de mystique, de peinture, de philosophie. Elles vo
107
x parler de Vienne et de Paris, foyers locaux des
grands
courants de pensée et d’art du xxe siècle. À la faveur de la coutume
108
disciples et successeurs ; — enfin une pléiade de
grands
écrivains dont les seuls noms de Kafka et de Rilke suffisent à rappel
109
, et baptise « École de Paris » une génération de
grands
peintres et sculpteurs venus de toute l’Europe à Montmartre puis à Mo
110
la diastole du cœur de l’Europe. Foyers locaux et
grandes
écoles continentales appellent les régions en deçà et la fédération a
111
: tel est le seul avenir concevable, mais il est
grand
, de ce cap de l’Asie dont dépend le sort du monde. ap. Rougemont
112
finie et que rien au monde ne pourra rendre plus
grande
qu’elle-même, pouvait au contraire être exploitée indéfiniment et en
113
és. Cette évidence saute aux yeux. La plupart des
grands
problèmes auxquels nous sommes confrontés — économiques, énergétiques
114
ne péninsule, cap de l’Asie écrasé entre les deux
Grands
; or la réalité est inverse : l’Europe de l’Ouest, c’est plus de 400
115
est loin encore d’être totalement réalisé mais de
grands
pas ont été faits. Ainsi il y a deux ans sont tombées les dernières b
116
à partir du moment où l’on a évoqué l’idée d’une
grande
fédération européenne. Et je suis persuadé que les régions se dévelop
117
tats-nations auront accepté quelque chose de plus
grand
qu’eux. Sur ce point aussi je suis optimiste. On est beaucoup plus av
118
aduit en réalité par des inégalités toujours plus
grandes
et une escalade de la violence entre classes, entre nations, entre No
119
vivons, il n’est de solution qu’à l’échelle d’une
grande
unité de culture, c’est-à-dire d’un continent au moins, l’Europe dans
120
nations, mais appellent toujours des entités plus
grandes
(continentales, voire mondiales) ou plus petites (régionales, voire l
121
oir. Et d’ailleurs les discours des candidats des
grands
partis français notamment, que l’on entend jour après jour à la TV, n
122
st l’État-nation. En France, tout ce qui est plus
grand
que la France ou plus petit est qualifié de trahison, c’est absurde.
123
aduit en réalité par des inégalités toujours plus
grandes
et une escalade de la violence entre classes, entre nations, entre No
124
vivons, il n’est de solution qu’à l’échelle d’une
grande
unité de culture, c’est-à-dire d’un continent au moins, l’Europe dans
125
nations, mais appellent toujours des entités plus
grandes
(continentales, mondiales) ou plus petites (régionales, locales). S’i
126
même avenir ». ⁂ Je voudrais souligner surtout ce
grand
fait : l’aide que nous pourrions et devrions apporter au tiers-monde
127
rêter de penser. 1er février 1943 Trouvé un
grand
appartement duplex penthouse 29 sur l’East River, au coin de Beekman
128
s charmant dans tout New York : moquettes fauves,
grands
miroirs ternis, bibliothèque vert sombre et vieillotte, une sorte de
129
personne n’en veut plus. (Trop d’entretien.) Les
grandes
maisons les mettent mal à l’aise, parce qu’ils pensent tout de suite
130
voyons St Ex en uniforme de capitaine aviateur —
grande
casquette et galons dorés — assis devant la baie vitrée qui donne sur
131
éologie, mais pour ce qu’il appelle en simplicité
grande
« la qualité des choses que j’aime ». Phrase immense et qui fonde dan
132
iel, entre l’intimité de la vie d’un homme et les
grandes
lois de la Nature, entre la liberté et les limites. Que savons-nous,
133
n se reporte au Brockhaus, équivalent allemand du
Grand
Larousse et de l’Encyclopedia Britannica, on y trouve trois définitio
134
en souvent dramatique, parfois tragique) entre un
grand
nombre de réalités et de tendances antagonistes qui, toutes, ont cont
135
avant tous ces découpages arbitraires, il y a la
grande
communauté de créations et d’influences mutuelles qui s’appelle l’Eur
136
dans chacun de nos pays s’est toujours nourrie de
grands
courants et d’écoles qui ont traversé tout le continent, sans égard p
137
leur possible utilisation pour la guerre). Il est
grand
temps d’établir en Europe une politique de la culture et des recherch
138
e d’un thème ancien, que l’on trouve déjà dans le
Grand
Dictionnaire de L. Moreri (Paris, 1974) : « Quoique l’Europe soit la
139
ut avouer que dans sa petitesse, elle est la plus
grande
en qualité. » En 1816 Mantelle et Brun, dans leur Géographie universe
140
. Je pense que les hommes ont le choix entre deux
grandes
finalités : la puissance et la liberté. J’entends d’une part : la pui
141
s, organisées d’une manière rigoureuse et avec un
grand
sens de la responsabilité… Pour moi, il est essentiel que les central
142
ntrales nucléaires soient peu nombreuses, donc de
grande
taille, implantées dans des sites ad hoc et exploitées de façon quasi
143
ion, et elle avait supprimé aussi la référence au
grand
PDG de l’industrie nucléaire française, donnant ainsi à croire que «
144
économies d’échelle est aujourd’hui dépassée. Le
grand
problème de cette fin du xxe siècle est celui de la décentralisation
145
des régions et finalement des personnes, sera le
grand
mot de la fin du siècle et du commencement du prochain. Le problème i
146
nt le voyait-on ? Si on l’admirait, il était « un
grand
homme, droit, bien fait, blond, un peu pâle, avec de longs cheveux to
147
est vu Quatre passions maîtresses ont animé ce
grand
corps mince de leur contrepoint discordant : les femmes, le jeu, la p
148
ot « travaillé » revient 149 fois (il s’agit d’un
grand
ouvrage « sur la religion ») ; les allusions à l’humeur de sa femme,
149
celle d’un chef de l’opposition libérale, non du
grand
écrivain d’idées, encore moins de l’auteur d’Adolphe, qui ne sera mis
150
es. La chose me paraît superbe. Voyons le succès…
Grande
délibération, si je mettrai mon nom ou non à la brochure. À décider d
151
Dispute avec Guizot. Le plus petit pouvoir est un
grand
corrupteur. 31 août. Dîné au Cercle. Mme Récamier. Ah ça ! deviens-j
152
’un Talleyrand aient contribué à sa réputation de
grand
homme d’État, alors que le jeu subtil des variations de Benjamin au s
153
e organisation sociale. […] Sur tout le reste, le
grand
mot aujourd’hui c’est l’uniformité. » Cet impérialisme stato-national
154
e l’émergence d’une menace générale dont quelques
grands
esprits devinaient seuls l’approche ou ressentaient l’action déjà pré
155
derne, de Vico, Montesquieu et Rousseau jusqu’aux
grands
écrivains européens de la première moitié du xxe siècle. Je retracer
156
ondu en un. » Deux siècles et demi plus tard, le
grand
humaniste Æneas Silvius Piccolomini, devenu pape sous le nom de Pie I
157
uscité la prise de conscience de quelque chose de
grand
qui nous englobe, qui peut périr et qui attend de nous seuls sa renai
158
ous seuls sa renaissance. Et de nouveau, c’est un
grand
clerc, mieux, un homme de l’esprit, un poète, qui va dire les paroles
159
rables appels de celui qui fut sans doute le plus
grand
lyrique de l’idéal d’union européenne dans tous les congrès de la pai
160
go. Et au xxe siècle c’est encore un de nos plus
grands
poètes, Saint-John Perse, qui, sous son nom d’Alexis Léger, écrira le
161
ojet de fédération européenne est défini avec une
grande
rigueur dans ce traité, où le dogme de la souveraineté nationale abso
162
Père des peuples, du Duce et du Führer, les plus
grands
écrivains de nos pays (à l’exception de quelques cas de nationalisme
163
ent personnaliste ne consiste encore, aux yeux du
grand
public et surtout des Pouvoirs, qu’en une poussière de ce qu’on nomme
164
e, il faut qu’elle soit intégrée aux cadres d’une
grande
culture européenne. C’est en visant à une unité de culture européenne
165
ire que l’Europe est « foutue », qu’elle est « en
grand
danger de crever », qu’elle « agonise », qu’elle « fait eau de toutes
166
tuite. Je dénonçais — déjà — les égarements de la
grande
politique nucléaire suivie par la plupart des pays avancés… et la mar
167
qui est un personnage pittoresque, a écrit que la
grande
question qui se poserait à la fin du siècle est de savoir s’il y a qu
168
irecte de cette technologie moderne, en porte une
grande
part de responsabilité ». Devant ce changement de comportement de la
169
é de notre ami, les quelques phrases qui posent à
grands
traits ce que je voudrais appeler le système de notre crise, c’est-à-
170
n au-delà de son savoir de physicien. Adieu Lew !
Grand
homme irremplaçable en sa maîtrise autant qu’en amitié. Vous ne nous
171
l me paraît indispensable de retracer d’abord les
grandes
étapes culturelles du xxe siècle, jusqu’ici. S’il est vrai qu’il com
172
Paul Klee, Max Ernst, Dalí ; de sculpteurs aussi
grands
que Rodin, Brancusi, Arp, Giacometti ; de musiciens qu’on puisse aime
173
ys « libres » de l’Europe de l’Ouest, la dernière
grande
école continentale d’art pictural et de spectacle, de poésie et de pe
174
nt et affectivement proches des préoccupations du
grand
public dues aux dramaturges suisses Dürrenmatt et Frisch. De même, en
175
rt. Et tout cela explose en mai 1968 à Paris : la
grande
fête, la représentation, la politique devenue spectacle — le théâtre
176
théâtre, je me procurai certains des magazines et
grands
hebdomadaires français qui dressaient, en cette fin de 1979, un bilan
177
e a toute l’autorité d’un professeur en Sorbonne,
grand
spécialiste du théâtre contemporain, Bernard Dort, tandis que la seco
178
œuvres nouvelles qui aient fait du bruit, mais le
grand
bruit fait autour de la manière de « mettre en scène » des œuvres anc
179
as vu naître en France, depuis douze ans, un seul
grand
texte mémorable. Les poètes révélés au cours des années 1945 à 1968,
180
paraît — en 1969 son premier livre, qui reçoit le
Grand
prix de l’Académie française, son deuxième recevant un an plus tard l
181
ophes » qui n’avaient rien à dire de plus que ces
grandes
victimes du Goulag, et n’ont rien ajouté à leur témoignage — pas même
182
uelle au xxe siècle. Il y a, je crois, les plus
grandes
chances pour que les auteurs d’aujourd’hui qui survivront dans la mém
183
t plus une « nouvelle ». C’est simplement la plus
grande
catastrophe énergétique du siècle. Personne n’en voit l’issue, ou n’o
184
hommes et à toutes les classes. Faute de quoi, un
grand
vide social se formerait, d’où monterait l’appel aux dictateurs… Votr
185
Comment expliquez-vous cela ? C’est que, dans ses
grandes
lignes, la situation n’a guère changé. J’ai d’abord formulé une criti
186
pâtir, subir » (pati en latin), qui conduit à la
grande
aventure romanesque, illustrée au départ c’est-à-dire au xiie siècle
187
me ferai honte le jour où je ne pleurerai pas au
grand
duo d’amour du deuxième acte de Tristan, surtout au moment sublime où
188
étais pleinement conscient du parallèle entre les
grandes
passions totalitaires et la passion tristanienne, illustré d’ailleurs
189
contradictions qui sous-tendent son œuvre. Et la
grande
contradiction de ma vie pourrait être symbolisée par l’évocation simu
190
oduisaient pas, et qu’il fallût les faire venir à
grands
frais de l’Amérique septentrionale, d’où elles viennent originairemen
191
’écrivain exilé Alexis Remizov : la légende de la
Grande
Baleine. Il y avait une fois une grande baleine que les habitants d’u
192
nde de la Grande Baleine. Il y avait une fois une
grande
baleine que les habitants d’un village avaient prise vivante, et qu’i
193
ectivité. Les mesures prises jusqu’ici contre les
grandes
famines régionales ont été au mieux décevantes et au pire dénoncées c
194
qui ne sont que les tentatives publicitaires des
grandes
et moyennes entreprises pour nous faire prendre leurs désirs pour nos
195
et de ses tactiques bien connues. Ainsi quand une
grande
compagnie nationale comme Électricité de France (EDF) désire augmente
196
itants, livrées à la délinquance produite par les
grands
ensembles, pollués et polluants (air et eaux), et dévoreurs d’énergie
197
uoi n’arrive-t-on pas à les guérir ? Dans la très
grande
majorité des cas de pollution ou de gaspillage, les remèdes ou les mo
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ûts et les délais de production. La politique des
grandes
firmes consiste donc : à nier les dégâts (« Ce sont des bobards de ga
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seules capables de planifier des mesures de très
grandes
dimensions : protection de la couche d’ozone, protection des mers et
200
t sont les États, pour autant qu’ils couvrent les
grandes
compagnies polluantes, ou négligent d’appliquer les règlements auxque
201
de fidélité en partie double : les uns envers le
grand
empereur français et sa descendance, les autres envers la monarchie p
202
ui dans un petit État fait naître et rayonner une
grande
famille, resserrons l’objectif sur l’aventure unique de l’écrivain qu
203
ils unique Raymond sera tué au combat, lors de la
grande
offensive hitlérienne… Au lendemain de la guerre, son œuvre littérair
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isolé, comme l’individu se trouve isolé dans une
grande
ville moderne ou dans un vaste État centralisé. D’autre part, on n’es
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, cependant que Sully, leur chef, concevait son «
Grand
Dessein », c’est-à-dire le premier plan d’une Europe confédérée. Il s
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ons pas que l’on combat, de part et d’autre, sans
grand
espoir mais avec une pathétique sincérité.) Le tableau que nous veno
207
’époque de Hic et Nunc . Lui s’occupait déjà des
grands
mystiques soufis, et surtout de Sohrawardi, dès 1931. Cette même anné
208
espondances entre ces types psychologiques et les
grandes
confessions chrétiennes. Certes, peu d’entre nous choisissent leur co
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ns ses derniers écrits, quand il fait allusion au
grand
œuvre de recueillir en un corpus « les témoignages et les monuments d
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un texte : Bible ou Coran, évangiles et credo des
grands
conciles — tout cela restant vain, trompeur, invérifiable, tant que t
211
ie qu’ils vénéraient pourtant à leur manière, les
grands
mystiques n’ont pas dit autre chose. 64. W. Pauli, « Wahrscheinli
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onard qui décrit et dessine un homme volant et de
grands
oiseaux mécaniques répandant sur nos nuits brûlantes, au pire de l’ét
213
is, souvent silencieux dans nos groupes, avec ses
grands
yeux mélancoliques aux larges cernes, et sa distraction proverbiale —
214
que antichrétienne mais celui de l’adversaire des
grandes
sottises modernes, de l’étatisme au matérialisme en passant par l’his
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l’Europe dans les années 1930. Ce ne sont pas le
grand
élan d’un mouvement de masse ni les fureurs de droite ou de gauche, p
216
’idées neuves que de moyens de les communiquer au
grand
public : l’inverse prévaut aujourd’hui. Un jour, dans les années 1950
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tant de faire une économie de force toujours plus
grande
, il s’agit de trouver les institutions qui permettent de réaliser la
218
’Aoste, le Tessin, le Tyrol du Sud, enfin dans le
Grand
Nord scandinave : une bonne quarantaine de régions brochant chacune s
219
e. Qu’elle ait passé pratiquement inaperçue de la
grande
presse et de la RTV des deux pays intéressés paraît étrange, pour dir
220
uerre générale, mais, au dernier moment, les deux
Grands
ont renoncé à appuyer sur le bouton. S’il n’y a pas encore la guerre,
221
rgir bien d’autres. Même sans choc entre les deux
Grands
d’aujourd’hui, rien ne dit qu’un peu plus tard il n’y aura pas choc a
222
iller les masses et leurs dirigeants avant que la
grande
apocalypse nucléaire ne vienne tout écrabouiller. Il y a eu l’acciden
223
s’emparer des industries européennes dont ils ont
grand
besoin. On ne voit donc pas pourquoi ils anéantiraient la Ruhr ou l’a
224
e d’un soleil (énergie solaire), et sur les trois
grandes
portes, il est écrit : « L’avenir, c’est notre affaire ». Le titre de
225
ute ton âme, et de toute ta pensée. » C’est là le
grand
, le premier commandement. Et voici le second, qui lui est semblable :
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en plus graves, à mesure que nos moyens sont plus
grands
. C’est une question de dimensions. Voilà pourquoi je parle tant des r
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ose, mais que deviennent-elles aujourd’hui ? À ma
grande
joie, je vois qu’on n’en reste pas aux promesses. Mitterrand a déclar
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l, c’est du ressort de la commune. Construire une
grande
route, c’est l’affaire de la région ; une autoroute, l’affaire d’une
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l’union en Europe : Ne confiez jamais à une plus
grande
unité ce qui peut être fait par une plus petite. Ce que la famille pe
230
es que : réforme capitale, projet fondamental, le
grand
problème de la fin du siècle… Demain, l’Europe Si la France évo
231
deux dangers majeurs qui semblent avoir frappé le
grand
public subitement confronté à la « révolution informatique » : les po
232
en fiche de tous les citoyens. On me dira que le
grand
public n’y entend rien, qu’il est mal informé, précisément. Sans dout
233
bsolu, et donc le droit, de poser à son sujet les
grandes
questions, et notamment la question des finalités réelles que l’on po
234
se aux démentis en rafales que subissent les plus
grands
spécialistes de la futurologie dite scientifique dans leurs prévision
235
on ne nous dit pas ce qui est conforme ou non aux
grands
buts que les religions assignent à l’humanité : la paix, la liberté,
236
berté de la personne. Or, l’idée de créer de très
grandes
unités de production est née du seul souci de rationaliser pour augme
237
opérés presque sans papier, d’où le sauvetage de
grandes
forêts ; calcul des impôts ; lancement des fusées spatiales… Pour ne
238
Jusqu’au jour où l’humanité, sur les traces d’un
grand
spirituel, découvrira ce luxe inouï : la lenteur au sein du silence.
239
s, pendant vingt ans — découvre un jour à sa plus
grande
surprise que ce qui reste de son enseignement, c’est ce qui n’était p
240
n plus centralisée par les monopoles d’État ou de
grandes
sociétés. Je citerai là-dessus Joël de Rosnay : « Il est un fait que
241
Il est un fait que la complexité de plus en plus
grande
de la société, l’utilisation de la télématique, des télécommunication
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deux dangers majeurs qui semblent avoir frappé le
grand
public subitement confronté à la « révolution informatique » : les po
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en fiche de tous les citoyens. On me dira que le
grand
public n’y entend rien, qu’il est mal informé, précisément. Sans dout
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bsolu, et donc le droit, de poser à son sujet les
grandes
questions, et notamment la question des finalités réelles que l’on po
245
se aux démentis en rafales que subissent les plus
grands
spécialistes de la futurologie dite scientifique, dans leurs prévisio
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on ne nous dit pas ce qui est conforme ou non aux
grands
buts que les religions assignent à l’humanité : la paix, la liberté,
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berté de la personne. 3. L’idée de créer de très
grandes
unités de production est née du seul souci de rationaliser pour augme
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opérés presque sans papier, d’où le sauvetage de
grandes
forêts. Calcul des impôts. Lancement de fusées spatiales… Pour ne rie
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Jusqu’au jour où l’humanité, sur les traces d’un
grand
spirituel, découvrira ce luxe inouï : la lenteur au sein du silence94
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s, pendant vingt ans — découvre un jour à sa plus
grande
surprise que ce qui reste de son enseignement, c’est ce qui n’était p
251
n plus centralisée par les monopoles d’État ou de
grandes
sociétés, donc de moins en moins capable d’autonomie, d’autogestion e
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Il est un fait que la complexité de plus en plus
grande
de la société, l’utilisation de la télématique, des télécommunication
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n pourtant pas attendre de l’informatique un plus
grand
contrôle, donc une plus grande sécurité ? Il faut bien se rendre comp
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nformatique un plus grand contrôle, donc une plus
grande
sécurité ? Il faut bien se rendre compte que l’informatique est un sy
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Il est un fait que la complexité de plus en plus
grande
de la société, l’utilisation de la télématique, des télécommunication