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de où tout ce qui pense ne saurait le faire qu’en
grec
, j’entends en termes et en concepts élaborés par l’hellénisme. La foi
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ar l’hellénisme. La foi chrétienne va donc parler
grec
, elle aussi. Mais son discours assemble un peuple de fidèles et susci
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st informée dans les catégories de la dialectique
grecque
. La venue du Christ et son message ont ainsi provoqué la combinaison
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es. Entre le monothéisme d’Israël, le polythéisme
grec
, l’État divinisé des Romains ; entre le sacralisme exclusif et ascéti
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permis d’opérer la synthèse entre l’individu des
Grecs
(atome raisonnable, mais isolé) et la persona des Romains (citoyen dé
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és, tantôt vers l’individualisme anarchique (pôle
grec
), tantôt vers le collectivisme étatique (pôle romain), avec certains
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ménagement des relations elles-mêmes dans la cité
grecque
, dans la polis. C’est le même mot que civisme, qui est dérivé du lati
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ot que civisme, qui est dérivé du latin et pas du
grec
. Polis, civitas, c’est l’État, c’est la même chose, c’est la ville, c
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equel règne Zeus. L’une des épithètes de Zeus, en
grec
, était Europos, c’est-à-dire celui qui voit loin, celui à la large vi
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r Ramuz, car elle remplace pour eux la mythologie
grecque
et romaine. Et malgré cela une sorte de résistance profonde au christ
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tion autour d’une place, d’une agora disaient les
Grecs
anciens, ou d’un forum, lieu de rencontres où l’opinion se forme, et
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ences du Mythe, qu’il s’agisse d’abord des mythes
grecs
, dès la Renaissance : de l’Orfeo de Monteverdi à l’Orphée de Gluck, e
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e, magistrat suprême de l’une des premières cités
grecques
, celle d’Éphèse, écrit cette phrase décisive : Ce qui s’oppose coopè
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ès lors un rôle comparable à celui de la tragédie
grecque
et de la Bible judéo-chrétienne : grands textes éducateurs de la psyc
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oyants que soient les contrastes entre Suédois et
Grecs
, par exemple, il n’en reste pas moins qu’un Suédois lisant Kazantzaki
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te pas moins qu’un Suédois lisant Kazantzakis, un
Grec
lisant Selma Lagerlöf, un Français et un Allemand lisant ces mêmes au
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ue nous pouvons dire, c’est It’s romance ! ». Les
Grecs
et les Romains ne nous ont rien laissé qui se puisse comparer à Trist
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ient dans l’énoncé de la question. 27. La langue
grecque
classique utilisait vingt-huit mots différents pour désigner l’amour
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sprit… Europe, qui fut d’abord un mythe sémite et
grec
, plus une définition géographique — l’Ereb hébreux, le pays du coucha
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ennes, mésopotamiennes, indo-européennes, perses,
grecques
, hellénistiques, romaines, germaniques et celtiques, arabes au Moyen
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gondes, jusqu’à la résurgence hellénistique, puis
grecque
classique et hébraïque, de la Renaissance et de la Réforme. Création
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saint Jérôme — deus omnipotens — ou à la version
grecque
des Septante — Pantokrator ? Comment veut-on que l’invocation proposé
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bles de faire image. L’individu est une invention
grecque
, et sa naissance signale la naissance même de l’hellénisme. C’est l’h
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divers groupes qui fondent les premières thiases
grecques
, communautés comparables à la cité moderne, et basées non plus sur le
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es origines communes : « Il n’y a plus ni Juif ni
Grec
». Elles ne se fondent pas sur la classe ou la race, ni sur quelque a
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Cet homme d’un type nouveau n’est pas l’individu
grec
, puisqu’il se soucie davantage de servir que de se distinguer. Il n’e
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es relations constituant la Trinité, les docteurs
grecs
avaient adopté le terme latin de persona (rôle social). C’est ce même
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ux encore, je voudrais appeler ça : Les prophètes
grecs
. Je t’enverrai le schéma si tu le juges utile. Les événements nous i
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à quelques années près de James Watt. Les mythes
grecs
l’avaient annoncée depuis près de trois millénaires. Prométhée, génie