1 sser le dogme des souverainetés nationales, cette hérésie chrétienne que les papes ont souvent dénoncée. Pensez donc, cent-soix

2 oxie ne sera pas retrouvée en faisant une somme d’ hérésies . Du conflit politique et économique, résultent pratiquement la guerre

3 cette foi pouvant être connotée par le rejet de l’ hérésie unitaire. Certes, il n’est pas de pire menace pour le mouvement œcumé

4 l’union au nom de laquelle doit être condamnée l’ hérésie unitaire. Doctrine de la multiplicité des dons accordés par le seul e

5 ne « orthodoxie calviniste ».) En revanche, les «  hérésies  » sont dénoncées, mais non point comme « contraires au dogme » : ce q

6 est unique. Pour entrer dans la dialectique de l’ hérésie et de l’orthodoxie, considérons l’ambiguïté fondamentale de l’express

7 peut donc désigner aussi bien l’orthodoxie que l’ hérésie . On voit ici que ces deux phénomènes radicalement antinomiques sont e

8 sont en relation de complémentarité. Note l. Les hérésies qui se constituent en doctrine imposée à une communauté dont elles de

9 ires, l’orthodoxie est la « droite opinion » et l’ hérésie le « choix personnel d’une opinion », rien n’empêche en principe le «

10 Graal. La complémentarité de l’orthodoxie et de l’ hérésie apparaît désormais homologue d’une série d’autres paires antinomiques

11 le sentiment. Alors seulement, l’orthodoxie et l’ hérésie en leur sens littéral, s’évanouissent : il n’y a plus de contradictio

12 ent ajouté à L’Amour et l’Occident , je parle « d’ hérésies libératrices des âmes et d’orthodoxie conservatrices de la cité ». Un

13 am ; puisque dans celui-ci je connais surtout les hérésies . Mais tout de même il faut maintenir le projet d’un livre sur la Reli