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eurs partagent leurs superstitions, la croissance
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par exemple. On s’en sortira, nous promettent-ils, les uns et les aut
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pas faire ! Nous ne le pouvons pas. La croissance
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dans un monde fini est une aberration. Nous le savons désormais. Le c
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t, au nom d’une vaste mythologie de la croissance
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? Tenez, le but des autoroutes était bien, à l’origine, d’accroître l
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uropéen et industriel, fondé sur un développement
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, est devenu complètement utopique. Saint Thomas pourtant nous avait p
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rsonne ne devrait oser promettre un développement
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dans ce monde fini. Or, on continue. Simplement, parce que le raisonn
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ulement axé sur la perspective d’un développement
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. À l’image de ce qui attend les Russes blancs ! Quand il parle
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ns appris que le bonheur dépend de l’augmentation
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du produit national brut, ou PNB. Le tiers-monde va donc se révolter
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ns appris que le bonheur dépend de l’augmentation
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du produit national brut, ou PNB. Le tiers-monde va donc se révolter
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ientôt proche de l’angoisse, de relier des séries
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d’effets imprévisibles, et dont les divergences babéliques s’accélère
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du réalisme moderne, l’idéologie de la croissance
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dans le monde fini étant reléguée du même coup au décrochez-moi-ça de
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litaire, stalinien, fasciste ou nazi ; croissance
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du PNB… Si à l’inverse quelques saints comme il s’en est trouvé croit