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er de l’être un jour ou l’autre, vu l’inépuisable
ingéniosité
de nos techniciens — qu’au surplus, nous n’avons pas le choix, le nuc
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s disent « qu’il faut faire confiance à l’infinie
ingéniosité
de l’homme ». Mais c’est un constat de démission devant la fatalité !
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t, se contenterait de faire confiance à l’infinie
ingéniosité
de l’esprit humain ? Devant les risques à peu près infinis du nucléai
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de l’être un jour ou l’autre, vu « l’inépuisable
ingéniosité
de nos techniciens » ; — qu’au surplus, nous n’avons pas le choix, le