1 tre l’individu des Grecs (atome raisonnable, mais isolé ) et la persona des Romains (citoyen défini par son rôle, sa fonction

2 ui fait d’ailleurs aucun mal, il est complètement isolé de la population. Pourtant, tous nos maux ne sont que le résultat de

3 en plus envahissant et le citoyen de plus en plus isolé . Aujourd’hui, nos démissions vont encore plus loin. Les centrales nuc

4 Paris, d’instituts sans pouvoir et de chercheurs isolés , risquent bien de ne pas suffire à enrayer le mal avant le point de n

5 uement unique, au régime spirituel de la personne isolée par sa vocation, mais reliée à la communauté par les conditions mêmes

6 ux assurer sa cohésion humaine, devient à la fois isolée et génératrice de schismes. Son attitude est donc doublement antiœcum

7 communauté nouvelle et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent, et où l’État reprend sa pu

8  ; et l’individualisme, l’impérialisme d’un homme isolé . De même que l’État cesse d’être un vrai État dès qu’il se veut souve

9 s, on peut changer de groupe. L’on n’est donc pas isolé , comme l’individu se trouve isolé dans une grande ville moderne ou da

10 n’est donc pas isolé, comme l’individu se trouve isolé dans une grande ville moderne ou dans un vaste État centralisé. D’aut

11 le nommerai la nostalgie fédéraliste. Des auteurs isolés l’ont fait entendre. Des groupes d’intellectuels ont tenté de formule