1 C’est le même mot que civisme, qui est dérivé du latin et pas du grec. Polis, civitas, c’est l’État, c’est la même chose, c’

2 innombrables pays d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine dans la misère. Pas facile tout de même pour un citoyen moyen de se f

3 asiatique et dans certaines parties de l’Amérique latine , tandis que dans les pays industrialisés de l’Europe le taux de crois

4 ue la survie abusive (en Europe comme en Amérique latine ) de régimes dictatoriaux, militaires ou cléricaux, expressément antid

5 tés non intellectuelles et permanentes de sa race latine , vaudoise et savoyarde. Les idéaux proprement suisses de coopération

6 ule langue officielle dans son royaume (contre le latin de l’Église et des traités, mais aussi contre les langues différentes

7 entre 3 et 3,5. Un taux plus fort qu’en Amérique latine . L’Europe, c’est plus de 400 millions d’habitants Inévitablemen

8 oser la « Kultur » à la « civilisation » dont les Latins étaient les représentants les plus fins et subtils. Et en effet, si l

9 que bouddhiste, Indonésie, Chine, Japon, Amérique latine ). Encore plus vain de rabâcher à propos des considérations précédente

10 commettent donc pas l’erreur due à la traduction latine de saint Jérôme — deus omnipotens — ou à la version grecque des Septa

11 passion », c’est-à-dire « pâtir, subir » (pati en latin ), qui conduit à la grande aventure romanesque, illustrée au départ c’

12 inité, les docteurs grecs avaient adopté le terme latin de persona (rôle social). C’est ce même terme qui servira aux premier

13 mais pour la « préparer », selon l’imbécile adage latin qui affirme, n’est-ce pas, que préparer la guerre est le sûr moyen d’

14 cosse à l’Asie Mineure, sauf la Grèce et l’Italie latine , où n’ont eu lieu que des raids de commando. Paul Valéry se trompe lo