1
nc l’homme à la fois distinct et relié, à la fois
libre
et responsable. En effet, la vocation qu’il reçoit d’un Dieu transcen
2
ure vivante a toujours été le résultat d’échanges
libres
et d’influences fécondantes, non pas entre nations comme telles, mais
3
Le Jura
libre
à l’heure des régions (1978)b Si l’on n’est pas né Jurassien, si l
4
constituées aux siècles précédents non point par
libre
adhésion et confédération de leurs habitants, mais par le moyen de tr
5
Ce qui n’était pas conforme à la loi organique de
libre
formation des Ligues suisses, ce qui devait être rectifié en vertu d’
6
opéen par les nécessités de l’union politique, du
libre
essor culturel des régions, de l’économie industrielle en pleine cris
7
ution de 1848. b. Rougemont Denis de, « Le Jura
libre
à l’heure des régions », Oui au canton du Jura, Berne, Nouvelle Socié
8
onsables et, par conséquent, ils se sentent moins
libres
. L’architecture elle-même détermine ces appels à la violence : on a c
9
ir comme un essai de morale traitant de l’homme «
libre
» et responsable ? Cette conception de l’homme « libre » n’est pas no
10
» et responsable ? Cette conception de l’homme «
libre
» n’est pas nouvelle. Je l’ai déjà exprimée dans la Politique de la
11
’il est impossible d’espérer bâtir une communauté
libre
si nous commençons par « rater le couple ». Votre exemple de l’amour-
12
devenir les éléments d’une cité, d’une communauté
libre
. L’État, de nos jours, est comparable à la passion parce qu’il n’aime
13
s en temps à nos réunions surréalistes, à l’École
libre
des hautes études, que nous avions créée là-bas. Avec André Breton, n
14
munautés à l’échelle humaine où le citoyen serait
libre
, parce que responsable. »
15
soit notre affaire n’implique pas que nous soyons
libres
de faire à notre guise n’importe quoi, car en fait l’avenir est peupl
16
ait de l’Europe, en peu d’années, une terre aussi
libre
et heureuse que celle de la Suisse d’aujourd’hui. Quel est ce remède
17
’aura connu un si puissant rassemblement d’hommes
libres
. Jamais la guerre, la peur et la misère n’auront été mises en échec p
18
e Europe unie, rendue dans toute son étendue à la
libre
circulation des hommes, des idées et des biens. 2) Nous voulons une C
19
pensée, de réunion et d’expression, ainsi que le
libre
exercice d’une opposition politique. 3) Nous voulons une Cour de just
20
e citoyen pourrait devenir une personne à la fois
libre
et responsable. Mouvement de base, spontané et pacifique, dans lequel
21
ctive. Nous étions communalistes, partisans de la
libre
entreprise gérée par l’autogestion, partisans d’une Europe des région
22
uisse revendiquer sans nier les conditions de son
libre
exercice. Et que veut dire la phrase célèbre des Thèses sur Feuerbach
23
» Une seule réponse : « Toi-même ». On ne devient
libre
que si, par sa propre responsabilité, on se donne consistance. Sinon,
24
nfants, est devenu un acte responsable autant que
libre
, dont les partenaires ne fusionnent pas, ne sont pas subordonnés l’un
25
ient de la personne qu’il peut devenir, à la fois
libre
d’accomplir sa vocation et responsable de l’accomplir dans la communa
26
et prestige de l’État national — ou au contraire,
libre
développement des personnes responsables dans la communauté. Qui d
27
type, démocratiques et fédéralistes, et vraiment
libres
non point parce qu’elles appellent à la révolte mais parce qu’elles s
28
d plus à rien d’utile mais qui gêne tout, sauf la
libre
circulation des nuisances. 2. La région franco-genevoise ici décrite,
29
solidarité des solitaires, c’est celle des hommes
libres
, non pas du troupeau, du clan, de la classe, ou de la nation. Elle ve
30
n fait et par avance l’idée de concertation et le
libre
débat, seul capable de créer l’union. Gouverner c’est coordonner l’a
31
c.) et elle la fonde sur le paradoxe du citoyen :
libre
parce qu’il est responsable, et réciproquement. Elle invente aussi l’
32
c voudrait-on le libérer ? L’amour a toujours été
libre
. Bien plus, l’amour est le principe actif de toute libération humaine
33
que de sa vie la « raison de vivre » d’une Suisse
libre
. Débat sans fin et que l’Histoire ne tranchera pas, malgré le cliché
34
ls d’histoire, de la liberté d’information, de la
libre
circulation des idées, des personnes et des œuvres, et de la nécessit
35
que) mais le conduire vers son autonomie, vers le
libre
exercice de ses responsabilités au sein de la société — donc vers son
36
sa culture. Mais pas de culture créatrice sans le
libre
dialogue entre personnes et communautés, sans la libre circulation de
37
dialogue entre personnes et communautés, sans la
libre
circulation des hommes, des idées et des biens entre foyers locaux et
38
s légaux ou les gênes partisanes s’opposant à son
libre
développement, c’est-à-dire à la liberté d’expression des créateurs e
39
tats garantira sans restriction d’aucune sorte la
libre
circulation des idées, des publications et des œuvres d’art dans tout
40
xiger la suppression immédiate des obstacles à la
libre
circulation des personnes, des œuvres, et des instruments de travail
41
r. Quant à la liberté, conçue comme la formule du
libre
développement non pas des collectivités ou des nations, mais des pers
42
de la femme dans la communauté. L’homme n’est pas
libre
s’il n’est pas responsable. Et il n’est pas tenu pour responsable, de
43
ribunal, si l’on peut démontrer qu’il n’était pas
libre
en commettant tel ou tel acte. Si maintenant nous avons à choisir ent
44
iture, il rechercha en revanche l’exercice de son
libre
choix. Mais il fut joueur en politique aussi, et dans l’amour, quêta
45
nt de la liberté, accordons-en. L’autre veut être
libre
, et si cela n’est possible, pour un temps, que sous certaines conditi
46
et surtout, sur l’Europe comme patrie des hommes
libres
et du refus de la fatalité. Jamais l’intelligentsia de nos pays n’aur
47
. Ainsi la phrase : « Conscients que seul restera
libre
celui qui use de sa liberté », ne me paraît pas évidente à première l
48
e, aux États-Unis puis dans la plupart des pays «
libres
» de l’Europe de l’Ouest, la dernière grande école continentale d’art
49
sormais les « sciences de l’homme ». « L’homme
libre
et responsable » La philosophie de l’absurde trouve son théoricien
50
t de l’écrivain au service d’un homme « à la fois
libre
et responsable » : dès 1948, ces deux mots d’ordre (datant de 1932-19
51
me L’Homme révolté. Mais le théâtre de l’absurde,
libre
de toute idéologie (« existentialiste » chez Sartre, rationaliste che
52
ertolt Brecht s’impose dans la plupart des pays «
libres
» de l’Europe de l’Ouest : il sert la propagande d’un système politiq
53
s décors.) Le théâtre se confondait ici avec un «
libre
» reportage sur une actualité encore brûlante, reconstituée d’après l
54
mont, votre assertion que « l’homme est à la fois
libre
et responsable » constitue le fondement de toute votre œuvre, en part
55
« peser sur » et que la pensée qui agit n’est pas
libre
, mais bien plutôt libératrice. En même temps, je le disais responsabl
56
e fut canonisé qu’en 1946. Nicolas de Flue, homme
libre
de la Suisse primitive, avait été guerrier dans sa jeunesse, puis jug
57
e du chômage, de la nature du travail et du temps
libre
, problème que La Révolution nécessaire posait dès 1933 dans ces terme
58
, allait s’approprier notre définition de l’homme
libre
parce que responsable et réciproquement, mais sans voir que cela n’au
59
lus à rien d’utile mais qui entrave tout, sauf la
libre
circulation des nuisances. Elle présente l’intérêt historique d’avoir
60
es humains peuvent encore agir comme des citoyens
libres
et responsables. ck. Rougemont Denis de, « [Entretien] L’avenir es
61
ciété actuelle, ceux qui devraient jouir du temps
libre
gagné par la machine, ne voient que le côté néfaste de l’automatisati