1 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
1 nc l’homme à la fois distinct et relié, à la fois libre et responsable. En effet, la vocation qu’il reçoit d’un Dieu transcen
2 ure vivante a toujours été le résultat d’échanges libres et d’influences fécondantes, non pas entre nations comme telles, mais
2 1978, Articles divers (1978-1981). Le Jura libre à l’heure des régions (1978)
3 Le Jura libre à l’heure des régions (1978)b Si l’on n’est pas né Jurassien, si l
4 constituées aux siècles précédents non point par libre adhésion et confédération de leurs habitants, mais par le moyen de tr
5 Ce qui n’était pas conforme à la loi organique de libre formation des Ligues suisses, ce qui devait être rectifié en vertu d’
6 opéen par les nécessités de l’union politique, du libre essor culturel des régions, de l’économie industrielle en pleine cris
7 ution de 1848. b. Rougemont Denis de, « Le Jura libre à l’heure des régions », Oui au canton du Jura, Berne, Nouvelle Socié
3 1978, Articles divers (1978-1981). Réfléchir à ce que le terrorisme signifie (4 janvier 1978)
8 onsables et, par conséquent, ils se sentent moins libres . L’architecture elle-même détermine ces appels à la violence : on a c
4 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
9 ir comme un essai de morale traitant de l’homme «  libre  » et responsable ? Cette conception de l’homme « libre » n’est pas no
10  » et responsable ? Cette conception de l’homme «  libre  » n’est pas nouvelle. Je l’ai déjà exprimée dans la Politique de la
11 ’il est impossible d’espérer bâtir une communauté libre si nous commençons par « rater le couple ». Votre exemple de l’amour-
12 devenir les éléments d’une cité, d’une communauté libre . L’État, de nos jours, est comparable à la passion parce qu’il n’aime
13 s en temps à nos réunions surréalistes, à l’École libre des hautes études, que nous avions créée là-bas. Avec André Breton, n
14 munautés à l’échelle humaine où le citoyen serait libre , parce que responsable. »
5 1978, Articles divers (1978-1981). 20 questions à Denis de Rougemont (22 février 1978)
15 soit notre affaire n’implique pas que nous soyons libres de faire à notre guise n’importe quoi, car en fait l’avenir est peupl
6 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
16 ait de l’Europe, en peu d’années, une terre aussi libre et heureuse que celle de la Suisse d’aujourd’hui. Quel est ce remède
17 ’aura connu un si puissant rassemblement d’hommes libres . Jamais la guerre, la peur et la misère n’auront été mises en échec p
18 e Europe unie, rendue dans toute son étendue à la libre circulation des hommes, des idées et des biens. 2) Nous voulons une C
19 pensée, de réunion et d’expression, ainsi que le libre exercice d’une opposition politique. 3) Nous voulons une Cour de just
20 e citoyen pourrait devenir une personne à la fois libre et responsable. Mouvement de base, spontané et pacifique, dans lequel
7 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
21 ctive. Nous étions communalistes, partisans de la libre entreprise gérée par l’autogestion, partisans d’une Europe des région
8 1978, Articles divers (1978-1981). Paradoxes marxiens (septembre 1978)
22 uisse revendiquer sans nier les conditions de son libre exercice. Et que veut dire la phrase célèbre des Thèses sur Feuerbach
9 1978, Articles divers (1978-1981). L’amour, pas la guerre (19-25 octobre 1978)
23 » Une seule réponse : « Toi-même ». On ne devient libre que si, par sa propre responsabilité, on se donne consistance. Sinon,
24 nfants, est devenu un acte responsable autant que libre , dont les partenaires ne fusionnent pas, ne sont pas subordonnés l’un
10 1978, Articles divers (1978-1981). Dialogue-interview avec Denis de Rougemont (novembre 1978)
25 ient de la personne qu’il peut devenir, à la fois libre d’accomplir sa vocation et responsable de l’accomplir dans la communa
11 1978, Articles divers (1978-1981). Le choix du siècle (novembre 1978)
26 et prestige de l’État national — ou au contraire, libre développement des personnes responsables dans la communauté. Qui d
27 type, démocratiques et fédéralistes, et vraiment libres non point parce qu’elles appellent à la révolte mais parce qu’elles s
12 1979, Articles divers (1978-1981). Genève et l’Europe : un exemple de coopération transfrontalière [préface] (1979)
28 d plus à rien d’utile mais qui gêne tout, sauf la libre circulation des nuisances. 2. La région franco-genevoise ici décrite,
13 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
29 solidarité des solitaires, c’est celle des hommes libres , non pas du troupeau, du clan, de la classe, ou de la nation. Elle ve
30 n fait et par avance l’idée de concertation et le libre débat, seul capable de créer l’union. Gouverner c’est coordonner l’a
14 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
31 c.) et elle la fonde sur le paradoxe du citoyen : libre parce qu’il est responsable, et réciproquement. Elle invente aussi l’
15 1979, Articles divers (1978-1981). Cet amour qui nous rendrait la liberté (mars 1979)
32 c voudrait-on le libérer ? L’amour a toujours été libre . Bien plus, l’amour est le principe actif de toute libération humaine
16 1979, Articles divers (1978-1981). « La qualité des choses que j’aime » (18 octobre 1979)
33 que de sa vie la « raison de vivre » d’une Suisse libre . Débat sans fin et que l’Histoire ne tranchera pas, malgré le cliché 
17 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
34 ls d’histoire, de la liberté d’information, de la libre circulation des idées, des personnes et des œuvres, et de la nécessit
35 que) mais le conduire vers son autonomie, vers le libre exercice de ses responsabilités au sein de la société — donc vers son
36 sa culture. Mais pas de culture créatrice sans le libre dialogue entre personnes et communautés, sans la libre circulation de
37 dialogue entre personnes et communautés, sans la libre circulation des hommes, des idées et des biens entre foyers locaux et
38 s légaux ou les gênes partisanes s’opposant à son libre développement, c’est-à-dire à la liberté d’expression des créateurs e
39 tats garantira sans restriction d’aucune sorte la libre circulation des idées, des publications et des œuvres d’art dans tout
40 xiger la suppression immédiate des obstacles à la libre circulation des personnes, des œuvres, et des instruments de travail
18 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
41 r. Quant à la liberté, conçue comme la formule du libre développement non pas des collectivités ou des nations, mais des pers
42 de la femme dans la communauté. L’homme n’est pas libre s’il n’est pas responsable. Et il n’est pas tenu pour responsable, de
43 ribunal, si l’on peut démontrer qu’il n’était pas libre en commettant tel ou tel acte. Si maintenant nous avons à choisir ent
19 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
44 iture, il rechercha en revanche l’exercice de son libre choix. Mais il fut joueur en politique aussi, et dans l’amour, quêta
45 nt de la liberté, accordons-en. L’autre veut être libre , et si cela n’est possible, pour un temps, que sous certaines conditi
20 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
46 et surtout, sur l’Europe comme patrie des hommes libres et du refus de la fatalité. Jamais l’intelligentsia de nos pays n’aur
21 1980, Articles divers (1978-1981). L’avis de Denis de Rougemont [sur Invocation du nom de Dieu et Constitution fédérale] (1980)
47 . Ainsi la phrase : « Conscients que seul restera libre celui qui use de sa liberté », ne me paraît pas évidente à première l
22 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
48 e, aux États-Unis puis dans la plupart des pays «  libres  » de l’Europe de l’Ouest, la dernière grande école continentale d’art
49 sormais les « sciences de l’homme ». « L’homme libre et responsable » La philosophie de l’absurde trouve son théoricien
50 t de l’écrivain au service d’un homme « à la fois libre et responsable » : dès 1948, ces deux mots d’ordre (datant de 1932-19
51 me L’Homme révolté. Mais le théâtre de l’absurde, libre de toute idéologie (« existentialiste » chez Sartre, rationaliste che
52 ertolt Brecht s’impose dans la plupart des pays «  libres  » de l’Europe de l’Ouest : il sert la propagande d’un système politiq
53 s décors.) Le théâtre se confondait ici avec un «  libre  » reportage sur une actualité encore brûlante, reconstituée d’après l
23 1980, Articles divers (1978-1981). Un précurseur de l’engagement politique (1er mai 1980)
54 mont, votre assertion que « l’homme est à la fois libre et responsable » constitue le fondement de toute votre œuvre, en part
55 « peser sur » et que la pensée qui agit n’est pas libre , mais bien plutôt libératrice. En même temps, je le disais responsabl
24 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
56 e fut canonisé qu’en 1946. Nicolas de Flue, homme libre de la Suisse primitive, avait été guerrier dans sa jeunesse, puis jug
25 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
57 e du chômage, de la nature du travail et du temps libre , problème que La Révolution nécessaire posait dès 1933 dans ces terme
58 , allait s’approprier notre définition de l’homme libre parce que responsable et réciproquement, mais sans voir que cela n’au
26 1981, Articles divers (1978-1981). Charles Ricq, Les Travailleurs frontaliers en Europe [préface] (1981)
59 lus à rien d’utile mais qui entrave tout, sauf la libre circulation des nuisances. Elle présente l’intérêt historique d’avoir
27 1981, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire (mai 1981)
60 es humains peuvent encore agir comme des citoyens libres et responsables. ck. Rougemont Denis de, « [Entretien] L’avenir es
28 1981, Articles divers (1978-1981). L’informatique vue par Denis de Rougemont (2 décembre 1981)
61 ciété actuelle, ceux qui devraient jouir du temps libre gagné par la machine, ne voient que le côté néfaste de l’automatisati