1 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
1 donne un sens à l’existence, au travail comme aux loisirs , et aux relations entre les hommes. Elle n’est pas seulement un hérit
2 , de l’éducation. 37. Jeux, sports, industrie des loisirs . 38. Vêtements, modes, ameublement. 39. Voyages. 40. Dialogue des cu
2 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
3 n surcroît d’énergie permette plus de liberté, de loisir , d’autodétermination ? On nous raconte que nous disposons, en Occiden
4 ? Nous les voulons pour quoi ? Pour avoir plus de loisir , pour travailler moins ; pour une moindre dépense d’énergie personnel
5 consacrons plusieurs heures par jour à gagner des loisirs dont nous ne jouissons pas, et à travailler dur pour gagner ces escla
6 âce aux machines et à l’automation, de gagner des loisirs accrus du « temps vide » comme disait l’Encyclopédie, au lieu de tend
3 1981, Articles divers (1978-1981). Quelques maximes de prospective (1981)
7 logique, qui dans le régime actuel ne crée pas du loisir mais du chômage. Ce ne sont pas seulement les effets évidemment nocif
4 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre 1981)
8 technique de l’automation devait amener l’ère des loisirs et nous sommes dans l’ère du chômage ; — la productivité sans cesse a
9 ux qui permettraient de transformer le chômage en loisirs , ou la productivité en moyens de faire vivre, et non de tuer, c’est-à
5 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre-décembre 1981)
10 technique de l’automation devait amener l’ère des loisirs , et nous sommes dans l’ère du chômage. — La productivité de l’indust
11 ux qui permettraient de transformer le chômage en loisirs , ou la productivité en moyens de faire vivre, et non de tuer, c’est-à
6 1981, Articles divers (1978-1981). L’informatique vue par Denis de Rougemont (2 décembre 1981)
12 ’appliquerait à une société qui admettrait que le loisir est quelque chose de sérieux et qui reconnaîtrait que le temps épargn