1
piège, bien sûr, mais qui n’est pas de moi. C’est
Lui
sans aucun doute qui l’a soufflé aux rédacteurs de ce journal. Car je
2
pour être vrai ! », a-t-il pensé d’abord quand on
lui
parlait des camps de la mort nazis ou du Goulag, aujourd’hui de la to
3
jamais imaginé. C’est une partie perdue, mais que
lui
importe ? Il sait qu’il a le temps pour lui, si Dieu garde l’éternité
4
s que lui importe ? Il sait qu’il a le temps pour
lui
, si Dieu garde l’éternité. J’écrivais trois ans avant que la chose n
5
te. À mon avis, le révolutionnaire doit porter en
lui
le modèle du nouvel homme : cela peut-il être un assassin ? Parlons a
6
menté son pouvoir par la guerre à l’extérieur qui
lui
permet de trouver la tranquillité qu’il n’a plus au-dedans. La guerre
7
u nucléaire… Mais vous, vous n’y croyez pas. Vous
lui
êtes même farouchement opposé. Expliquez-moi. Avec le débat sur le nu
8
r rapport au nucléaire. D’un côté des savants qui
lui
disent que tous les risques sont maîtrisés, de l’autre autant de sava
9
is, l’eau s’épuisent, le nucléaire menace et avec
lui
le totalitarisme des États-nations… Denis de Rougemont nous a longuem
10
st le serpent qui me l’a donnée. » Or le serpent,
lui
, il n’est plus là… De nos jours, c’est la même chose. Les « impératif
11
ion de mon livre Lettres sur la bombe atomique .
Lui
aussi était contre « l’État-nation ». Dans votre ouvrage, L’Avenir e
12
vons pas encore su faire à temps, en attendant de
lui
toujours plus de subventions, de facilités, de garanties… alors que p
13
e cessons de le maudire et de l’accabler. Cela ne
lui
fait d’ailleurs aucun mal, il est complètement isolé de la population
14
uis, c’est la première condition à tout. Si on ne
lui
fait pas confiance, on n’obtient rien de toute manière. En disant cel
15
de l’action fédéraliste européenne, il n’y a pour
lui
aucun doute : c’est en refaisant une société à l’échelle de l’homme,
16
un soir une longue conversation avec Einstein. Je
lui
ai posé la question : « Pensez-vous qu’une guerre atomique signifiera
17
e rencontrer Denis de Rougemont et de parler avec
lui
de L’Avenir est notre affaire , des thèmes qu’il aborde et des échos
18
à l’unité. ! Et des voix fraternelles sourdement
lui
répondent, du fond des camps d’otages de la Hollande, des ténèbres où
19
os pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que
lui
pose l’économie moderne. À défaut d’une union librement consentie, no
20
nées la plupart des journaux de nos pays, tout en
lui
consacrant de plus en plus de place dans leurs colonnes ? Ou plutôt q
21
inante paraît être aujourd’hui de reproduire chez
lui
les causes mêmes de notre crise ; il nous accuse de vouloir l’en frus
22
culte profond et raisonné, mais peut-on vraiment
lui
attribuer une nationalité lorsqu’on sait que sa famille originaire de
23
gens à décider sur ce qu’ils n’entendent pas”. Et
lui
d’ajouter : “Il convient désormais d’inciter les gens à se mêler de c
24
ments de fertilité, des ingrédients chimiques qui
lui
sont enlevés et usés sous forme d’aliments, de vêtements, etc. … Cha
25
pas été suivi par les partis qui se réclament de
lui
au xxe siècle. Je vois des responsables communistes animés d’une pro
26
rapport de l’homme avec lui-même ne devient pour
lui
objectif et réel que par ses rapports avec les autres hommes. (Manusc
27
vous offre une cigarette de tabac noir — le blond
lui
fait mal au cœur, dit-il – et il commence à poser des questions. Peut
28
hoses — on s’aperçoit aussi qu’il n’a rien dit de
lui
. Qui est Ramuz ? Le plus grand écrivain suisse d’aujourd’hui, auteur
29
lle surgit lentement, difficilement, comme malgré
lui
, d’une prise étroite sur les réalités les plus brutes, les moins poét
30
ques et de coups de pioches ou de marteau ». Pour
lui
, les glaciers de la Suisse ne sont pas « sublimes », comme on le chan
31
montagnards. Un groupe d’amis se réunit autour de
lui
pendant la guerre : quelques peintres, quelques musiciens, dont Strav
32
iciens, dont Stravinsky13. Claudel venait parfois
lui
apporter le témoignage d’une chaleureuse admiration. Mais un groupe d
33
amuz parle à un public qui l’aime, il engage avec
lui
un dialogue et l’on découvre un homme curieux de tout, qui perçoit to
34
”, les aspirations naturelles de l’homme ». Il ne
lui
suffit pas, comme tant d’autres, de clamer son inquiétude. Il propose
35
ous avons rendu visite à Denis de Rougemont. Nous
lui
avons demandé de résumer ce qui le tourmentait et ce qu’il proposait
36
décisif à la construction des régions destinées à
lui
succéder. Or, cet État-nation ne correspond plus aux réalités du xxe
37
ours et du Roman breton jusqu’à Wagner. C’est par
lui
que la passion est entrée dans nos mœurs, envoûtante et parfois morte
38
l’opéra, impatiemment interrogé par la jeunesse,
lui
dira-t-il peut-être un jour : vois ton image et reconnais ton rêve ?
39
eût pas ignoré que j’étais l’auteur. Le destin ne
lui
a pas permis de me répondre. Je ne cesserai pourtant pas de l’interro
40
e bloque plus l’évolution fédérative et peut même
lui
servir, le cas échéant, de relais de planification écologique ou cult
41
ui me fascine… Si le rêve des régions se réalise,
lui
aussi, on dira dans dix ans, dans vingt ans, que c’était si facile à
42
glo-saxonne sous le nom de logical positivism que
lui
donnera son autre père, Bertrand Russell ; — la musique dodécaphoniqu
43
matériels immédiats et du « niveau de vie » qu’on
lui
promettait, oui, c’est bien tout un peuple dans sa profondeur qui vie
44
eter la modernisation que son souverain entendait
lui
imposer « pour son bien » et par pur amour du progrès. Phénomène d’au
45
iècle, et fonde la dynastie des Pahlavi. Son fils
lui
succède en 1941, sous la pression des Alliés. C’est un jeune homme un
46
cole du Roseyat. L’Europe et l’Amérique sont pour
lui
le modèle indiscuté de tout progrès. L’Iran, comme on appelle désorma
47
cela d’un œil favorable : l’Iran représente pour
lui
beaucoup de pétrole, mais surtout une digue (à surveiller sans relâch
48
à son gendre Ali, mari de sa fille Fatima, et par
lui
aux 11 imams ou chefs spirituels qui se sont succédé jusqu’à l’époque
49
tant en Syrie, au Liban, au Pakistan, en Inde. De
lui
s’est détaché, à partir du septième imam, l’ismaélisme dont Karim Aga
50
é renversé par un religieux qui n’avait rien pour
lui
que son autorité. Voilà qui va compter devant l’Histoire, bien plus q
51
il fédéral suisse, en réponse aux questions qu’on
lui
posait à propos de la construction d’une centrale nucléaire sur le Rh
52
re notre niveau de vie matériel, et pourtant nous
lui
avons appris que le bonheur dépend de l’augmentation indéfinie du pro
53
Denis de Rougemont, que nous avons rencontré chez
lui
, à Saint-Genis-Pouilly près de Genève. Les mouvements fédéralistes eu
54
re notre niveau de vie matériel, et pourtant nous
lui
avons appris que le bonheur dépend de l’augmentation indéfinie du pro
55
je viens de vous exposer les vues. N’est-ce pas à
lui
que s’adressait Victor Hugo, le visionnaire, lorsqu’il écrivait il y
56
ction et qu’ils tiennent donc pour un traître. Je
lui
ai répondu que la Suisse a fait une option inverse de celle de Vichy,
57
ropter vitam vitae perdere causas…28 Au reste, ni
lui
ni moi ne sommes sur place. C’est bien cela qui lui est le plus amer.
58
i ni moi ne sommes sur place. C’est bien cela qui
lui
est le plus amer. Westport (Connecticut), 15 août 1942 Huit jou
59
ssemble à Bismarck et qu’il a baptisé Annibal. Je
lui
apprends à marcher en laisse sur la plage. (Robert Tenger a fait un f
60
liqué les possibilités de la fission atomique que
lui
avait révélées Joliot-Curie. Dès 1942, il me parlait d’expériences pr
61
petit nombre des initiés au Manhattan Project. Il
lui
arrive de m’en parler par allusions assez précises, toujours données
62
appelle ce matin pour me dire que Tonio sera chez
lui
à l’heure du déjeuner et que je pourrai venir lui dire au revoir. Mat
63
lui à l’heure du déjeuner et que je pourrai venir
lui
dire au revoir. Matinée au bureau de l’OWI, puis avec Lazareff et Bea
64
risent dans l’homme cette plénitude, délivrent en
lui
un grand seigneur qui s’ignorait, c’est que cette échelle des valeurs
65
ns du roi la funeste culture… N’avait que trop en
lui
corrompu la nature. » Le Petit Larousse en 1948 s’en tient à la défi
66
utation d’être un mot vague. Et il est vrai qu’on
lui
attribue des contenus assez divers. Mais si nous négligeons les dispu
67
et animal qui tire de la Nature tout ce qui, sans
lui
, serait demeuré virtuel, et qui par lui devient le domaine de l’humai
68
qui, sans lui, serait demeuré virtuel, et qui par
lui
devient le domaine de l’humain ; domaine du sens et de l’opération ;
69
on esprit mais l’alerter ; ce n’est pas seulement
lui
donner des réflexes mais lui apprendre à réfléchir ; et ce n’est pas
70
n’est pas seulement lui donner des réflexes mais
lui
apprendre à réfléchir ; et ce n’est pas seulement l’introduire dans l
71
tion des centrales nucléaires. Il faut dire qu’on
lui
a bien expliqué que ces centrales permettront de réduire les postes d
72
utobiographique. Les femmes et le jeu furent pour
lui
tyranniques. Dans l’action politique et l’écriture, il rechercha en r
73
novembre. Le Béarnais veut de moi. Je m’attache à
lui
… Mais son propre terrain est mouvant. 15 novembre. Je vais à tâtons.
74
Charlotte pour suivre le Béarnais et tenter avec
lui
sa chance politique : Mme de Staël l’y pousse, elle imagine une régen
75
conversation. C’est un homme étonnant. Demain je
lui
porte un projet de constitution… L. v. d. D. s. f. Dîné chez la duche
76
d’autres sujets. Il est clair que ma conversation
lui
plaît. Annonce de ma nomination au Conseil d’État. Lu mon roman, fou
77
drame dans lequel Benjamin tout d’un coup, malgré
lui
, tient un rôle décisif. L’empereur, notera-t-il plus tard dans son Mé
78
te prétende « octroyer » au peuple des droits qui
lui
appartiennent, mais c’est assez pour lui qu’elle apparaisse compatibl
79
oits qui lui appartiennent, mais c’est assez pour
lui
qu’elle apparaisse compatible avec la liberté. 2°. Aurait-il dû se fa
80
c la liberté. 2°. Aurait-il dû se faire harakiri,
lui
seul, quand le roi a quitté Paris ? « On m’a reproché de ne pas m’êtr
81
ne de son temps. D’où le malentendu profond entre
lui
et la classe politique. Il a servi la liberté, dans un pays et un siè
82
au service de la Liberté, son thème constant, ne
lui
aient valu que le blâme très moral des partisans du pouvoir, quel qu’
83
tions abstraites. Il a extrait46 seulement ce qui
lui
a paru d’un intérêt immédiat… Mais il a voulu conserver avec scrupule
84
onserver avec scrupule ce qu’un profond sentiment
lui
avait dicté. Or, c’est cela qui assure la durée d’un ouvrage : qu’il
85
ée, et, le forçant à mentir à sa conscience, elle
lui
ravit la dernière consolation qui reste encore à l’opprimé.48 Le de
86
la nation : Marchons à la conquête du monde. Elle
lui
répondrait d’une voix unanime : Nous ne voulons pas de la conquête du
87
prévenus : s’ils avaient le temps et la force de
lui
résister, vous le voyez, s’écrierait-il, ils voulaient la guerre puis
88
elle de civilisation, et qu’elle doit au monde de
lui
montrer un autre modèle de civilisation que celui de la croissance in
89
. Il a commencé par notre collègue communiste, en
lui
disant à peu près : « Monsieur X, cette invocation doit probablement
90
victoire à chacune des armées qui se réclament de
lui
: il faut bien qu’il y en ait une qui perde. » Le Dieu « puissant »,
91
ersonne humaine prosternée qu’une personne divine
lui
parle, la domine par son ascendant et l’étreint de son amour créateur
92
dizaine d’années plus tôt, son ami Alvin Weinberg
lui
a déclaré « la voix tremblante d’enthousiasme » qu’une compagnie amér
93
ue l’homme puisse faire et pas l’ordinateur. Pour
lui
, la réponse n’était pas évidente. Il me semble, à moi, qu’elle ne fai
94
t de comportement de la société, quatre attitudes
lui
semblaient possibles pour le scientifique pris entre son métier et la
95
e Déclaration commune ; nous la mettrons au point
lui
et moi et elle sera présentée à la presse le 3 octobre. Bien que la r
96
paraître quelques mois plus tard. Et surtout, il
lui
doit l’essentiel : la position du problème nucléaire dans la perspect
97
ous rendiez pas toujours la vie facile, mais vous
lui
donniez plus de saveur et plus de sens. Et c’est ce qu’il y a de plus
98
en prendre conscience — mais pour cela, les mots
lui
manquent, et la permission de s’en servir… En Allemagne, où Ernst Jün
99
n sûr celle que l’islam ne pouvait pas manquer de
lui
poser en Turquie. Ce qui demeure certain, c’est le retour en force du
100
idées, même si cela devait le mener en prison. Je
lui
rappelais que penser n’est pas seulement soupeser, mais « peser sur »
101
» était prête à suivre le premier meneur venu qui
lui
offrirait un sens recréateur de communauté, une raison de vivre et d’
102
puis dire. En réalité, il était terminé en 1938,
lui
aussi. Gallimard venait de m’envoyer un premier jeu d’épreuves lorsqu
103
’action », a-t-il écrit. Et puis Kierkegaard qui,
lui
, est la passion transportée dans le christianisme, au mépris de toute
104
munauté. Finalement, je me sentais très proche de
lui
dans mes réactions au totalitarisme, au capitalisme, à l’individualis
105
pétrole ? d’uranium ? Quand la maîtresse d’un roi
lui
adresse l’apostrophe fameuse : « La France ! Ton café fout le camp !
106
et qu’ils aimaient beaucoup. Elle avait faim. Ils
lui
apportèrent tout ce qu’ils pouvaient trouver, elle mangea tout, et di
107
it qu’elle avait encore faim. N’ayant plus rien à
lui
donner, ils la transportèrent dans une ville voisine, beaucoup plus r
108
aucoup plus riche. Là, sur une place publique, on
lui
apporta des quantités énormes de nourriture, elle mangea tout, et dit
109
avaient plus comment la satisfaire. À la fin, ils
lui
demandèrent : « Qu’as-tu ? » Elle dit : « J’ai faim ». Ils lui dirent
110
nt : « Qu’as-tu ? » Elle dit : « J’ai faim ». Ils
lui
dirent : « Nous t’avons donné toute la nourriture du pays. » Elle dit
111
is et mille fois plus, j’aurai encore faim. » Ils
lui
dirent : « Que veux-tu donc ? » et elle dit enfin : « Je veux Dieu !
112
intérêts immédiats et du « niveau de vie » qu’on
lui
promettait, du rejet de la modernisation que son souverain entendait
113
t de la modernisation que son souverain entendait
lui
imposer « pour son bien » et par pur amour du progrès. Évoquant le
114
invoquerait l’habeas corpus pour interdire qu’on
lui
arrache une dent cariée ou qu’on lui impose une quarantaine avant qu’
115
erdire qu’on lui arrache une dent cariée ou qu’on
lui
impose une quarantaine avant qu’il aille porter sa contagion chez le
116
rémie est créé comte d’Empire en 1809, mais c’est
lui
qui va fonder la branche allemande de la famille tandis que ses deux
117
oute, le frère d’un officier suisse ! Clemenceau,
lui
dit-on, risque fort d’être interpellé à la Chambre sur ce sujet… Inci
118
unique de l’écrivain qui en résulte, la résume et
lui
donne son sens. Né à Berlin, d’un officier neuchâtelois au service de
119
n seul et même corps : quel que soit le nom qu’on
lui
donne, en aucun cas elle ne manquera de fondements bibliques indiscut
120
me dans un monde christianisé. Car cet homme est,
lui
aussi, à la fois autonome et en relation. Ainsi, le mot personne avec
121
ofondeur nos écrits de l’époque de Hic et Nunc .
Lui
s’occupait déjà des grands mystiques soufis, et surtout de Sohrawardi
122
chacun une voie, une vérité qui ne vaut que pour
lui
seul, particulière et subjective. La « voie unique » peut encore évoq
123
ulement en chemin vers le vrai but de tous, et en
Lui
seul. D’ici là, l’Église véritable ne saurait exister que dans l’atte
124
témoignage de gratitude pour tant d’occasions par
lui
offertes — conférences et groupes d’études — de mieux imaginer le pro
125
s — de mieux imaginer le problème de l’avenir, je
lui
dédie cette mise au point, provisoire par définition, de mes réflexio
126
stes. Il venait du surréalisme, disait-on, ce qui
lui
valait à mes yeux une sorte d’aura d’aventure, s’était occupé de ciné
127
l’avant-guerre, je ne savais que peu de choses de
lui
, de son passé : je les découvre en lisant ces Fragments d’une vie — h
128
in en 1947 à Princeton où nous étions voisins. Je
lui
ai demandé ce qui se produirait en cas de guerre atomique. Il m’a rép
129
à ! Ça signifierait qu’on trompe la population en
lui
faisant croire qu’elle est protégée. Oui. Vous allez jusque-là ? Abso
130
n de croire, qu’on peut défendre un peuple malgré
lui
, lui mettrait-on en main les meilleures armes du monde. La défense d’
131
croire, qu’on peut défendre un peuple malgré lui,
lui
mettrait-on en main les meilleures armes du monde. La défense d’un pe
132
résistance à l’adversaire là où il l’attend, et à
lui
faire perdre ainsi son équilibre, psychologique et militaire. L’ensei
133
n’est pas moi, c’est le serpent. » Et le serpent,
lui
, n’est plus là. Ainsi, nous nous fabriquons des lois derrière lesquel
134
le premier commandement. Et voici le second, qui
lui
est semblable : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » La libert
135
nettement antirégionaliste. J’ai eu l’occasion de
lui
parler des régions et j’ai bien vu qu’il ne voulait pas s’engager sur
136
le qui s’amorce en France. C’est l’occasion, pour
lui
, de réaffirmer les thèmes qui lui sont chers : On ne créera pas les r
137
’occasion, pour lui, de réaffirmer les thèmes qui
lui
sont chers : On ne créera pas les régions à Paris. Elles ne se feront
138
s et il en a rapporté une épaisse enveloppe. Elle
lui
a été adressée par la FondationlLanguedocienne pour le développement
139
aire face — au niveau national ou paneuropéen, je
lui
dis (paraphrasant le mot célèbre de Lénine sur « les soviets plus l’é
140
e madeleine trempée dans du thé79, dont la saveur
lui
restitue dans une lente montée d’émotion presque angoissée toute la m
141
pas utile pour la personne qui interroge, car il
lui
faudra le même temps pour comprendre réellement la réponse, qu’elle n
142
n’aura plus le temps de goûter et qu’on ne pourra
lui
rendre, même au prix de milliards de bits à la seconde. « Jusqu’au jo
143
par cœur des tranches d’écrits historiques. C’est
lui
qui est à la pointe du vrai progrès, non pas l’ordinateur avec sa pré
144
l’homme, de tout l’homme, du bon et du mauvais en
lui
. Mais en fait le mauvais a des chances de profiter un peu plus que le
145
été, et assigner à l’informatique les limites que
lui
posent en vérité sa définition scientifique et son utilité. Nous pouv
146
aire face — au niveau national ou paneuropéen, je
lui
dis (paraphrasant le mot célèbre de Lénine sur « les Soviets plus l’é
147
te madeleine trempée dans du thé90 dont la saveur
lui
restitue dans une lente montée d’émotion presque angoissée toute la m
148
pas utile pour la personne qui interroge, car il
lui
faudra le même temps pour comprendre réellement la réponse, qu’elle n
149
’aura plus le temps de goûter, et qu’on ne pourra
lui
rendre, même au prix de milliards de bits à la seconde. « Jusqu’au jo
150
par cœur des tranches d’écrits historiques. C’est
lui
qui est à la pointe du vrai progrès, non pas l’ordinateur avec sa pré
151
t auprès du roi Thamous qui résidait à Thèbes, et
lui
présenta ses inventions. « Le roi l’interrogea sur l’utilité que chac
152
l’homme, de tout l’homme, du bon et du mauvais en
lui
. Mais en fait le mauvais a des chances de profiter un peu plus que le
153
ociété. Assigner à l’informatique les limites que
lui
posent en vérité sa définition scientifique et son utilité, nous pouv
154
e paru dans La Revue économique et sociale , nous
lui
avons posé quelques questions. »