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rroristes à l’occidentale, il paraît clair que le
mépris
de la vie humaine proféré par les gouvernements dictatoriaux n’est pa
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et de n’importe quoi, du salut par la quantité au
mépris
de la qualité, laquelle ne peut pas être comptabilisée ? Demandons-no
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minimum la centralisation, qui toujours pousse au
mépris
des réalités locales, régionales, communautaires, d’où la dégradation
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occidentale par tout un peuple du tiers-monde. Au
mépris
de ses intérêts matériels immédiats et du « niveau de vie » qu’on lui
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xiété de l’orgueil tourné en méfiance d’autrui et
mépris
de soi-même. Pour libérer l’amour, aimez. C’est le seul moyen, et cel
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la passion transportée dans le christianisme, au
mépris
de toute espèce d’action sociale ou politique. C’est un peu le fou de
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occidental par tout un peuple du tiers-monde, au
mépris
de ses intérêts immédiats et du « niveau de vie » qu’on lui promettai
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uisés en 80 ans par ¼ seulement de l’humanité, au
mépris
du tiers-monde et des générations futures, qui n’en auront plus : Pro