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onflits passagers puis chroniques, on en vint aux
menaces
de divorce, puis au fait, désormais accompli. Ce qui n’était pas conf
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ole, les minerais, l’eau s’épuisent, le nucléaire
menace
et avec lui le totalitarisme des États-nations… Denis de Rougemont no
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nte à la démocratie d’une part, et de tout ce qui
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le milieu vital d’autre part. Dans son dernier livre, L’Avenir est n
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es, ses ressources naturelles qui s’épuisent, ses
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nucléaires, sa démographie galopante et ses pollutions de toutes sort
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t menacée, l’Europe est divisée, et la plus grave
menace
vient de ses divisions. Appauvrie, encombrée de barrières qui empêche
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, plus il est poussé vers la guerre. Devant cette
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totale — née de nos œuvres, ne l’oublions pas —, la vocation de l’Eur
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ent la présence incroyable, pourtant vraie, d’une
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invisible. « Il y a eu comme un coucher de l’astre, intérieur, intéri
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maine dernière, Philippe Saint-Marc disait ici la
menace
que constitue, pour la société, une course au progrès matériel incont
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vant qui le compose. C’est-à-dire nous tous. Sous
menace
de disparaître, le système doit tout contrôler de plus en plus fermem
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pays. Elle a produit d’autre part les plus graves
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contre la survie de l’humanité : armes nucléaires, pollution d’enverg
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social, urbain ou naturel ; d) éviter tout ce qui
menace
d’épuiser à court ou moyen terme les ressources naturelles non renouv
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uccessives, nées chaque fois de l’émergence d’une
menace
générale dont quelques grands esprits devinaient seuls l’approche ou
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ontificat. Une fois de plus, c’est l’angoisse, la
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et le désastre qui ont suscité la prise de conscience de quelque chos
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’un protège un empereur coupable et quand l’autre
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de tuer des innocents dans une partie où se joue la paix, c’est-à-dir
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pénurie générale dans une région, ou seulement de
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de pénurie, certaines erreurs doivent être évitées désormais, et cert
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part. Ce qui nous conduit à la conclusion que les
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accumulées contre la nature et l’environnement humain par la civilisa
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n oublie d’ailleurs d’appliquer quand on crée des
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de pollution contre un pays voisin. Principes qu’oublient les pollueu
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l’hérésie unitaire. Certes, il n’est pas de pire
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pour le mouvement œcuménique que l’utopie et la tentation d’une unité
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milieu social ou naturel, et de même tout ce qui
menace
d’épuiser à court terme les ressources naturelles non renouvelables,
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milieu social ou naturel, et de même tout ce qui
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d’épuiser à court terme les ressources naturelles non renouvelables,