1 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
1 digne d’être cité, mais seulement le nom de leur metteur en scène. Je me mis à lire ou à relire quantité de journaux et de mag
2 e du journal à Giorgio Strehler, très connu comme metteur en scène, avait été en réalité « écrite en dialecte milanais en 1892 
3 , Planchon et les autres qui s’ouvrait. » Noms de metteurs en scène, exclusivement. Quelques citations de cet article56 suffiron
4 théâtre apparus ou affirmés depuis 1968 sont des metteurs en scène … On applaudit « la Tétralogie de Chéreau » comme on admire
5  » comme on admire « le Don Juan… de Losey ». Le metteur en scène devient le « seul et dictatorial ‟créateur” aux dépens de ce
6 eur” aux dépens de celui qu’il prétend servir… Le metteur en scène est roi ». Il faut attendre les derniers alinéas de ce long
7 ique Bernard Dort : Demain, aujourd’hui même, le metteur en scène Meyerhold (1874-1942), par exemple, nous est bien aussi prés
8 s traces nourriront, peut-être, l’imagination des metteurs en scène ou des comédiens, voire des auteurs…57 Et voici, ce qu’écr
9 Paul Claudel (1890), texte sublime repris par le metteur en scène Daniel Mesguich dans un théâtre de la banlieue parisienne :
10 anlieue parisienne : Daniel Mesguich est le seul metteur en scène qui, d’une œuvre à l’autre, ne change pas du tout son fusil
11 au profit des fantasmes plus ou moins œdipiens du metteur en scène ; la quasi-absence d’œuvres nouvelles qui aient fait du brui