1 ndant atteint un seuil critique. Si le risque est mortel (tous les rapports sérieux le répètent), pourquoi le prendre ? Il fau

2 est entrée dans nos mœurs, envoûtante et parfois mortelle . Tous les grands opéras, tous les « vrais », voudrais-je dire, sont d

3 prend pour objet ou prétexte un individu fini et mortel . Et l’amour est la fin suprême, l’accomplissement de la personne tota

4 religieuses. À ces crises et à ces défis, parfois mortels , aucun de nos pays ne peut répondre seul. De même qu’aucun ne peut se

5 ligieuses. ⁂ À ces crises et à ces défis, parfois mortels , aucun de nos pays ne peut répondre seul. Dans leur état actuel de di

6 t des cavernes au sombre rayonnement, qui restera mortel longtemps après la fin de l’histoire humaine. Tel est le choix que no

7 ur les diversités à sauvegarder et la fascination mortelle de nationalismes stupidement vaniteux mais non moins suicidaires. Qu’

8 effets du mal peuvent devenir irréversibles, donc mortels (ce qui ne serait pas le cas de l’irréversibilité du bien, si elle ex

9 effets du mal peuvent devenir irréversibles, donc mortels . (Ce qui ne serait pas le cas, notons-le, de l’irréversibilité du bie