1
récents (roman russe, dès la fin du xixe siècle,
musique
russe au xxe siècle). L’Europe comme telle, création de l’esprit à p
2
ou italienne), non pas comme on parlait jadis de
musique
flamande ou bourguignonne, de peinture rhénane ou siennoise, ou aujou
3
les, individus créateurs, cités d’art, etc. Ni la
musique
pour elle-même (concert), ni la peinture comme fin en soi (tableau),
4
’instituts universitaires et même de festivals de
musique
. On notera que le motif de la défense commune n’était pas mentionné d
5
résidez l’Association européenne des festivals de
musique
et bien d’autres organismes dont le dénominateur commun est l’Europe.
6
nné ses moyens d’expression les plus complets. La
musique
dit ce que nulle parole ne peut traduire. Faut-il penser que les autr
7
su produire à l’expression un mythe nouveau. « La
musique
savante manque à notre désir » (Rimbaud). Mais l’opéra, impatiemment
8
éna, et Vienne… Là naissent les grandes écoles de
musique
, de mystique, de peinture, de philosophie. Elles vont traverser toute
9
i donnera son autre père, Bertrand Russell ; — la
musique
dodécaphonique et sérielle, avec Schönberg, Webern et Alban Berg, qui
10
t de l’histoire des arts, de la peinture et de la
musique
. Qu’il s’agisse de musique, de peinture, d’architecture, de philosoph
11
e la peinture et de la musique. Qu’il s’agisse de
musique
, de peinture, d’architecture, de philosophie ou de science, pour ne r
12
ure, céramique, tapisserie. 17. Photographie. 18.
Musique
, composition, exécution, concerts, festivals. 19. Cinéma. 20. Radio,
13
ique et politique. (Seule absente de la fête : la
musique
à laquelle j’ai pu vérifier que Breton demeurait curieusement insensi
14
nt d’abstraction se manifeste par le cinéma et la
musique
. Des films comme À bout de souffle de Godard, des ballets comme Le Sa
15
Le Sacre du printemps par Béjart, des concerts de
musique
non seulement « concrète » ou « bruiteuse » mais « corporelle » comme
16
n de la féodalité et du droit de cuissage mise en
musique
voici près de deux-cents ans par un certain Mozart, soucieux, selon L
17
ièce de théâtre dont Arthur Honegger a composé la
musique
: Nicolas de Flue . Tout au long de cette année, je m’en souviens, j
18
our fonder une famille nouvelle), les prolonge en
musique
à Bonn, suivant en cela l’expansion familiale vers les Allemagnes, pu
19
issement s’opère en Allemagne, par la grâce de la
musique
, à l’âge où se précise une vocation : ce sera celle d’un sensuel-sent
20
s de Shakespeare jouées par les Pitoëff, avec des
musiques
de scène d’Honegger, et nous aurons reconstitué à la fois l’histoire
21
considéré, comme c’est évidemment le cas pour la
musique
. On nous apprend que l’homme peut absorber normalement 80 000 informa
22
considéré, comme c’est évidemment le cas pour la
musique
. On nous apprend que l’homme peut absorber normalement 80 000 informa