1 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
1 par l’État que l’idée (hégélienne) de « cultures nationales  » s’est répandue. Inculquée à quatre générations, elle nous est deven
2 arxiste » ! En réalité, nos soi-disant « cultures nationales  » sont des découpages arbitraires, opérés sur l’héritage commun des E
3 inventions typiques de l’Europe, n’ont jamais été nationales  ; elles naquirent au sud, se transplantèrent dans les Flandres et la
4 ccidentel de nos frontières présentes. L’illusion nationale concernant la culture s’autorise surtout de nos diversités linguistiq
2 1978, Articles divers (1978-1981). « Quel avenir voulons-nous ? » (1er février 1978)
5 mpératifs économiques », de nécessités de défense nationale , etc., autant de mythes derrière lesquels nous nous retranchons, nous
3 1978, Articles divers (1978-1981). 20 questions à Denis de Rougemont (22 février 1978)
6 me chose : la croissance illimitée et le prestige national . Ils ont perdu le sens de l’homme au profit d’une prétention compétit
7 un merveilleux sens des formules. Le PNB (produit national brut) que vous transformez en « prestige national brutal », le temps
8 national brut) que vous transformez en « prestige national brutal », le temps des cavernes, où l’on vous accuse de vouloir nous
4 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
9 ut entière et l’épanouissement autonome de la vie nationale . Ces buts ne peuvent être atteints que si les divers pays du monde ac
10 ation au-delà des formules d’absolue souveraineté nationale , 3° « l’Europe une dans un monde uni ». Ces vues sont justes mais tro
11 plus pour eux un continent libéré des frontières nationales mais au contraire les marathons nocturnes de Bruxelles sur la surprod
12 ts refuseront de rien céder sur leur souveraineté nationale . S’agirait-il enfin de l’Europe réelle, celle des Européens vivants,
13 urs plus évident, que le dogme de la souveraineté nationale absolue n’a jamais été dépassé, comme le demandaient les résistants.
14 technologiques » au service de « la souveraineté nationale absolue ». Or, aujourd’hui, c’est cette deuxième Europe qui s’oppose
15 nheur de l’homme égale accroissement des dépenses nationales (ou PNB), gaspillage d’énergie, fabrication de la bombe atomique » ?
16 opposer fermement nos prétendues « souverainetés nationales  », c’est-à-dire de la rhétorique. Le choix est simple : ou nous périr
17 l ; 4° enfin dénoncer le dogme de la souveraineté nationale absolue, au profit de l’autonomie des régions et de leurs fédérations
18 l’autonomie des régions et de leurs fédérations, nationales d’abord, puis continentales. Ce serait du même coup se soustraire aux
5 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
19 ions que soit dépassé le dogme de la souveraineté nationale . Quant au Centre européen de la culture, il est né en mai 1948, lors
6 1978, Articles divers (1978-1981). L’amour, pas la guerre (19-25 octobre 1978)
20 baptisée « dissuasive », polarise les économies «  nationales  » et les entraîne dans une dépendance obsédante et angoissée vis-à-vi
7 1978, Articles divers (1978-1981). Dialogue-interview avec Denis de Rougemont (novembre 1978)
21 ain fondamental qui est celui de parler sa langue nationale . Mais la question sérieuse est celle de savoir ce que vont dire les h
22 croire que l’Europe est l’addition de 25 cultures nationales , alors qu’elle est la résultante millénaire des influences combinées
8 1978, Articles divers (1978-1981). Le choix du siècle (novembre 1978)
23 vie : puissance collective et prestige de l’État national — ou au contraire, libre développement des personnes responsables dan
9 1979, Articles divers (1978-1981). Genève et l’Europe : un exemple de coopération transfrontalière [préface] (1979)
24 ’année en année le problème des régions au niveau national dans les pays les plus divers de notre Europe : agitation ethnique et
25 passer outre à l’un des tabous de la souveraineté nationale absolue. C’est en effet à l’initiative du gouvernement de la Républiq
26 16. Certains ont obtenu des subventions du Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNRS) que nous remercions ici un
10 1979, Articles divers (1978-1981). Hypothèses directrices pour la recherche d’un modèle de région transfrontalière (1979)
27 séparation douanière et la différence des régimes nationaux . b) Région virtuelle inscrite dans la géographie, l’histoire, l’écolo
28 aines (sauf le religieux remplacé par l’idéologie nationale au xxe siècle) de la vie publique. Mouvements pendulaires de main-d’
29 olubles par les prétentions des grandes centrales nationales  ; lutte contre la pollution — lutte arrêtée par les frontières, qui n
30 e, ou économique, par deux ou trois souverainetés nationales , comme c’est le cas de la Regio Bâle-Alsace-Bade, ou de la région fra
31 Car les problèmes écologiques, que la bipartition nationale du bassin lémanique a empêché jusqu’ici de traiter convenablement, so
32 des « régionalisations » esquissées dans un cadre national rigide par l’Italie et par la France. Mais il faut voir clairement qu
33 par des instances fédérales de niveau supérieur, national , continental, voire dans certains cas mondial (pollution des mers, at
34 le parlement, indépendamment de toute allégeance nationale , correspond très exactement au Conseil fédéral suisse, qui a fait ses
11 1979, Articles divers (1978-1981). Formule d’une Europe parallèle ou rêverie d’un fédéraliste libertaire (1979)
35 … Je voyais des régions décrétées par la capitale nationale (comme Rhône-Alpes) ou au contraire revendiquées contre la capitale (
36 its subsistant entre chaque région et sa capitale nationale — ce jour-là, la révolution européenne sera virtuellement accomplie.
37 isme quand l’ethnie se voit brimée par une langue nationale , ou encore du régime des assurances sociales quand trois frontières n
38 me des assurances sociales quand trois frontières nationales divisent une même région de main-d’œuvre… Les directives paraissent r
39 isons majeures, vitales, sacrées : l’indépendance nationale et la souveraineté absolue de l’État. Où se situe le pouvoir de décis
12 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
40 a Révolution — les phénomènes de diversifications nationales  : en 1539, par l’édit de Villers-Cotterêts, François Ier impose le fr
41 rançaise doit être le ciment de la nouvelle unité nationale . Elle doit être une comme la République. » Quant aux 13 millions d’in
42 urope fédérée fasse à leur France et à sa culture nationale ce que celle-ci fit jadis à ces propres nationalités. Mais ils se tro
43 ns du fédéralisme et sur la réalité d’une culture nationale . Les cultures nationales La fédération est la forme d’union qui
44 réalité d’une culture nationale. Les cultures nationales La fédération est la forme d’union qui par définition respecte les
45 fédéraliste de la Belgique. Quant aux « cultures nationales  », il m’est arrivé plus d’une fois de nier purement et simplement leu
46 t bel et bien de créer par décrets ces « cultures nationales  » synthétiques et ont parfois marqué certains succès dans cet effort
47 phones. À cela se borne la réalité des « cultures nationales  ». Elles n’existent qu’en tant qu’enseignées. Si elles s’évaporent, r
13 1979, Articles divers (1978-1981). Quand la Perse renverse l’Iran (21 février 1979)
48 occupée par les Turcs : mainteneur de l’identité nationale . Ici, le rôle des Turcs est tenu par les industriels occidentaux, par
14 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
49 n plus insolubles dans le cadre des souverainetés nationales et appellent donc des solutions d’union continentale ou régionale. Au
50 nu où il faut dépasser le dogme des souverainetés nationales , cette hérésie chrétienne que les papes ont souvent dénoncée. Pensez
51 et là, on a essayé de dépasser ces souverainetés nationales . En nouant des accords industriels et économiques… Ce fut l’idée de J
52 d’une nation est censé assurer. Nos souverainetés nationales ne peuvent résister ni à la colonisation économique des États-Unis, n
53 union passe par l’intégration de leurs économies nationales . C’est loin encore d’être totalement réalisé mais de grands pas ont é
54 peut avoir réponse à tout, mais les souverainetés nationales ne peuvent plus avoir réponse à rien. aw. Rougemont Denis de, « [
15 1979, Articles divers (1978-1981). Rapport au peuple européen (9 mai 1979)
55 eur dépend de l’augmentation indéfinie du produit national brut, ou PNB. Le tiers-monde va donc se révolter contre l’Occident, e
56 ctuel de division, nos soi-disant « souverainetés nationales  » ne peuvent en fait : — ni résister à la colonisation économique par
57 t-être pas réponse à tout, mais les souverainetés nationales n’ont sûrement plus réponse à rien. Comme le fait voir tout examen ho
58 u’il faudrait, pour y répondre, dépasser le cadre national et accéder à la notion de fédération continentale. Aucun pays n’osera
59 et les buts de leur Économie. Point de solutions nationales non plus, et c’est encore plus évident, dans le domaine de l’Environn
16 1979, Articles divers (1978-1981). Denis de Rougemont, ou l’Europe contre l’Europe (30 mai 1979)
60 peut avoir réponse à tout, mais les souverainetés nationales ne peuvent plus avoir réponse à rien », telle est la conviction des e
61 ant qu’il n’y ait pas violation des souverainetés nationales . Pas de contradiction Mais n’y a-t-il pas une contradiction à v
62 ar le « progrès » industriel) — n’a une dimension nationale . Ils concernent soit des collectivités locales ou régionales, soit pl
63 isent des gens partout, par-dessus les frontières nationales . C’est ainsi que l’on motivera les gens pour une Europe différente.
17 1979, Articles divers (1978-1981). L’Europe : idéal… et moyen de survie (3 août 1979)
64 eur dépend de l’augmentation indéfinie du produit national brut, ou PNB. Le tiers-monde va donc se révolter contre l’Occident, e
65 , pas une seule de nos soi-disant « souverainetés nationales  » ne peut en fait : — ni résister seule à la colonisation économique
66 être pas réponse à tout, mais les « souverainetés nationales  » n’ont sûrement plus réponse à rien. Faute de concertation à l’échel
18 1979, Articles divers (1978-1981). Une Europe unie et diverse (27 août 1979)
67 u’il faudrait, pour y répondre, dépasser le cadre national et accéder à la notion de fédération continentale. Dans la lutte cont
68 et les buts de leur Économie. Point de solutions nationales non plus, et c’est encore plus évident, dans le domaine de l’Environn
19 1979, Articles divers (1978-1981). « La qualité des choses que j’aime » (18 octobre 1979)
69 opuleuses) pour retirer ses forces dans le Réduit national du Gothard, sauvant au risque de sa vie la « raison de vivre » d’une
70 me qui accepte de donner sa vie non pour un mythe national , ni pour une idéologie, mais pour ce qu’il appelle en simplicité gran
20 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
71 re comme l’addition d’une vingtaine de « cultures nationales  » bien distinctes, autonomes et rivales. Cette conception n’est pas s
72 d’hui que le concert discordant de nos « intérêts nationaux  », et nomme cela « néo-colonialisme ». Mais que dira cette voix, si e
73 tous les découpages successifs de nos frontières nationales , l’union économique et politique de nos peuples peut et doit aujourd’
74 rler, désignant l’addition d’autant de « cultures nationales  » qu’il y a d’États souverains dans l’Europe d’aujourd’hui. 3° Qu’il
75 es définis par la charte, sur les « souverainetés nationales  » ; — que dans la tradition européenne, la liberté consistant dans l’
76 antérieure et supérieure à tous les découpages «  nationaux  » de l’Europe d’aujourd’hui. L’École se doit de rappeler sans cesse c
77 tout le continent, sans égard pour les frontières nationales , lesquelles d’ailleurs n’ont cessé de changer au cours des siècles. (
78 communauté fondamentale plutôt que des rivalités nationales entre Européens. VII. Nos gouvernements doivent s’engager à soutenir
79 les philosophes et les théologiens. Ces conseils nationaux donneraient à l’État des avis que celui-ci s’engagerait à suivre, apr
80 ses effets ? Le Conseil européen et les conseils nationaux de la recherche auraient à appliquer à toute invention nouvelle les c
21 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
81 e suremploi et la surchauffe créent des problèmes nationaux  : un travailleur étranger sur 8 en France, un sur 5 en RFA, un sur 3
82 s d’une part : la puissance collective, mythique, nationale , étatique, prestigieuse et en même temps sécurisante. Parmi ses adept
83 ur de la liberté des personnes, et non des mythes nationaux ou de la volonté de puissance, (ou de sécurité à l’abri de la puissan
84 grosse valise. — Comment ! Vous PDG de la Société nationale des chemins de fer français, vous portez vos bagages ? — Oui, bien sû
85 nférence de presse à Berne qui présentait un plan national d’énergie élaboré par les mouvements écologiques, j’ai été attaqué pa
86 nctions, bien souvent à cheval sur des frontières nationales  : je pourrais en citer une quarantaine de cas, en Grande-Bretagne, Es
22 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
87 u plus sot l’essentielle inutilité d’une guerre «  nationale  » aujourd’hui, et l’abyssale aberration d’une guerre « idéologique »
88 ler.) Dans la critique constantienne de la guerre nationale , née de la Convention plus que de Napoléon (qui n’a guère inventé que
89 ête du Monde. Mais il parlerait de l’indépendance nationale , de l’arrondissement des frontières, des intérêts commerciaux. […] So
23 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe, invention culturelle (1980)
90 nte la voit compromise par la montée des royaumes nationaux déchirant la tunique sans couture du Saint-Empire. Cinq ans plus tôt,
91 tout. C’est l’utopie naissante de la souveraineté nationale absolue. « La tunique sans couture » du monde en paix sous « le divin
92 ur dans ce traité, où le dogme de la souveraineté nationale absolue, constitué sous Philippe le Bel et qui allait prendre sa form
93 péciaux aux problèmes de l’Europe, des frontières nationales , du fédéralisme européen, et de l’anti-Europe des fascistes et des na
94 des sciences de Paris, président de la Commission nationale française pour l’éducation, la science et la culture, Wladimir Porché
95 es, philosophes et juristes, directeurs d’agences nationales de la presse ou de la radio, hommes d’Église et syndicalistes. La Con
24 1980, Articles divers (1978-1981). Lew Kowarski et la responsabilité sociale du scientifique (1980)
96 un peu simplistes, de productivité et de produit national brut comme seules mesures valables du bien-être humain ; la montée de
25 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
97 Tzara, Hans Arp et Hugo Ball. Le régime des États nationaux bourgeois et capitalistes d’une part, le dogme de la culture bourgeoi
26 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
98 e l’économie, de la technique, ou de la « défense nationale  » qui ne sont que les tentatives publicitaires des grandes et moyenne
99 es bien connues. Ainsi quand une grande compagnie nationale comme Électricité de France (EDF) désire augmenter ses ventes, elle l
100 dance à l’égard des gouvernements et des sociétés nationales ou multinationales. (Aller plus loin serait se condamner, je le crain
101 nité ; — information — indépendante des intérêts nationaux ou multinationaux — quant aux besoins véritables des hommes et aux mo
102 par les Casques bleus, non par des fonctionnaires nationaux , je ne penserai pourtant pas avoir absolument perdu mon temps et celu
103 eurs. 60. Michal Shanks (chairman of the British National Consumer Council), The Consumer in Europe, European Cooperation Fund,
27 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe et l’environnement (28 juin 1980)
104 nement (28 juin 1980)bx Aqua Viva, communauté nationale d’action pour la protection des cours d’eau et des lacs, a tenu son a
105 polluantes, mais qui travaillent pour la défense nationale  ? Nos États réagissent comme un malade qui invoquerait l’habeas corpu
106 miques d’une part, aux « nécessités de la défense nationale  » d’autre part. Ce qui nous conduit à la conclusion que les menaces a
107 trophes imminentes, non pas à flatter les vanités nationales , la crise actuelle est sans issue. III Quelles sont alors les
108 ionales, plus petites que la plupart de nos États nationaux , et mieux adaptées aux réalités locales, dont la diversité précisémen
109 lument le recours automatique à la « souveraineté nationale absolue » et au principe sacro-saint de la « non-ingérence », princip
110 ns aux chances de bonheur de chacun, la « défense nationale  » à la paix, l’énergie aux buts du travail qu’elle est censée servir 
28 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
111 Mais en fait, « la droite opinion » est une route nationale où la circulation est uniformément réglée, tandis que le « choix pers
29 1981, Articles divers (1978-1981). Quelques maximes de prospective (1981)
112 : voyez l’économie moderne. Le chaos des monnaies nationales , les faims en Afrique et en Asie (bientôt chez nous ?), le chômage pa
113 sont pas du tout le profit des États, le prestige national , la supériorité en armement d’une partie du monde sur l’autre, ni mêm
30 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
114 entendre, enfin fédération des régions au niveau national puis européen. Nous défendions une conception de la vie avec laquelle
31 1981, Articles divers (1978-1981). Charles Ricq, Les Travailleurs frontaliers en Europe [préface] (1981)
115 année en année, le problème des régions au niveau national et au niveau continental, dans les pays les plus divers de notre Euro
116 , et non pas d’idéologies, encore moins de mythes nationaux . Avant de généraliser ses analyses à tout l’ensemble européen, il est
117 passer outre à l’un des tabous de la souveraineté nationale absolue. C’est en effet à l’initiative du gouvernement de la Républiq
32 1981, Articles divers (1978-1981). La Suisse face au danger de guerre : « Je suis un pessimiste actif » (4 mars 1981)
118 enève, auquel avaient été conviées les compagnies nationales d’électricité. Eh bien, les producteurs du nucléaire ont reçu de leur
119 ris ! Ici, tout le monde s’y met, c’est un devoir national  ! » Eh bien, cette fièvre n’a duré que quatre ans. On a fait des expé
120 Ce n’est tout de même pas le but de notre défense nationale , n’est-ce pas, que d’enrichir un certain nombre de gens, ni même que
33 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre 1981)
121 tique fédéraliste aurait à faire face — au niveau national ou paneuropéen, je lui dis (paraphrasant le mot célèbre de Lénine sur
122 ndance trop étroite soit de puissances politiques nationales , soit de ressources naturelles épuisables que l’on ne contrôle pas (p
123 ntés dès leur apparition pour toutes les défenses nationales du monde. Je n’allonge pas. La cause est entendue et d’autres sont mi
34 1981, Articles divers (1978-1981). Information n’est pas savoir (octobre-décembre 1981)
124 tique fédéraliste aurait à faire face — au niveau national ou paneuropéen, je lui dis (paraphrasant le mot célèbre de Lénine sur
125 ndance trop étroite soit de puissances politiques nationales , soit de ressources naturelles épuisables que l’on ne contrôle pas (p
126 és dès leur apparition pour toutes les « défenses nationales  » du monde. Je n’allonge pas. La cause est entendue, et plusieurs mil
35 1981, Articles divers (1978-1981). L’informatique vue par Denis de Rougemont (2 décembre 1981)
127 auvetage de forêts), domaine aérospatial, défense nationale … L’informatique serait un progrès formidable dans la mesure où elle s