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taphysiques. Ce sont les premiers grands conciles
œcuméniques
du ive au vie siècle, et en particulier Nicée, Constantinople et Ch
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é de la rue du Moulin Vert pour des discussions «
œcuméniques
». À une cinquantaine, croyants de différentes confessions ou agnosti
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e, dans la villa du secrétaire général du Conseil
œcuménique
des Églises, Willem Visser ’t Hooft. De ces rencontres clandestines s
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rope unie et la Chine, et enfin de divers projets
œcuméniques
. Et Kant, auteur de Projet de paix perpétuelle (1795), texte fédérali
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tre : je ne vais pas parler ici d’une « théologie
œcuménique
», synthèse utopique des théologies existantes, ou doctrine nouvelle
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mplicitée par le fait même qu’il existe un effort
œcuménique
. Nous supposons d’ailleurs tous cette doctrine, dès lors que nous pro
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es, il n’est pas de pire menace pour le mouvement
œcuménique
que l’utopie et la tentation d’une unité formelle, humainement vérifi
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les schismes et les oppositions, que le mouvement
œcuménique
se propose de surmonter. C’est dans la mesure exacte où les Églises o
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2. Philosophie de la personne Les positions
œcuméniques
que nous venons d’esquisser enveloppent une doctrine de l’homme. Au c
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’il soit désormais facile de voir qu’à l’attitude
œcuménique
en religion ne peut correspondre que l’organisation fédéraliste en po
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sera surtout la suppression de toute possibilité
œcuménique
, la subversion des valeurs universelles créées par l’évangélisation d
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nt tôt ou tard ; 2° que l’action que le mouvement
œcuménique
peut et doit exercer sur ces processus religieux, préparera le terrai
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sme révolutionnaire. 3. L’organisation du Conseil
œcuménique
se trouve être de fait la seule Internationale en opération, en cette
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a de pair, dans toutes les Églises, avec l’effort
œcuménique
, est en train de recréer un langage commun, un ensemble de communes m
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enaissance liturgique, favorisée par le mouvement
œcuménique
, marque l’avènement d’une attitude personnaliste, au-delà de l’antino
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e nous avons exposé au chapitre 1-3. Le mouvement
œcuménique
est donc seul en mesure de préparer la réconciliation des adversaires