1
s ce sens. C’est, par exemple, les choix. Quelles
options
est-ce qu’on se donne dans la vie ? À quoi doit servir une société, u
2
u l’égalité ? N’importe quoie. Enfin, les grandes
options
qu’on peut avoir. Ça, c’est faire de la politique, c’est-à-dire du pi
3
on ce qui suit : « N’importe laquelle des grandes
options
… » f. Rougemont corrige le journal, qui a imprimé « que ce soit ça q
4
Ce grand combat entre ces deux systèmes, entre l’
option
nucléaire et l’option solaire, peut se symboliser encore dans les die
5
ces deux systèmes, entre l’option nucléaire et l’
option
solaire, peut se symboliser encore dans les dieux qui en sont les rep
6
la Commission de Bruxelles à décider des grandes
options
morales et politiques de l’Europe tout entière. J’en vois la preuve d
7
es, mais agissant dans le cadre d’informations, d’
options
indicatives, et beaucoup plus rarement de directives, formées par des
8
des réunions hebdomadaires, afin de concerter les
options
politiques propres à sauvegarder les mouvants équilibres entre l’homm
9
aître. Je lui ai répondu que la Suisse a fait une
option
inverse de celle de Vichy, en décidant d’abandonner, en cas d’attaque
10
qui est personnel et personnalisant. La première
option
conduit à la guerre, la seconde exige et crée la paix. C’est dire que
11
de la vraie nature des éléments subjectifs de nos
options
, il me paraît nécessaire, plus que jamais, d’essayer de rendre justic
12
ie solaire, éolienne, géothermique, biologique. L’
option
en faveur des surgénérateurs serait en effet irréversible : les surgé