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ire des centrales nucléaires était en vérité « un
pacte
de Faust ». Dans cette déclaration autorisée — s’il en fût —, notre o
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il des centrales nucléaires y était intitulé : Un
pacte
de Faust. On se souvient que le Faust de Goethe promet son âme au dia
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onsabilité dans la Communauté, de foi jurée et de
pacte
fédéral, puis d’internationalisme et d’arbitrage, enfin de fédération
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urer la juste valeur des mots sans lesquels aucun
pacte
n’est possible ». Dans les textes formulant la mission et le programm
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nt », qu’elle s’inscrivait dans la continuité des
pactes
qui ont servi de constitution aux Ligues suisses pendant des siècles.
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es siècles. Il s’agit là d’une erreur. Le premier
Pacte
, celui de 1291 (repris d’un document secret de 1273) commence par ces
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tilisée par les trois « communes » signataires du
Pacte
de 1291, mais ouvrait tous les actes publics de l’époque. Où il n’éta