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égions doivent être définies comme des espaces de
participation
civique où la personne trouve la possibilité de s’épanouir dans ses d
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ou linguistique. Je la définis comme un espace de
participation
civique dont les dimensions peuvent être absolument variables selon l
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le temps. La mienne (de région) est basée sur la
participation
civique avec une certaine fonction à exercer. Je le précise dans mon
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que la Suisse, malgré les larges possibilités de
participation
directe offertes au citoyen, soit touchée par l’abstentionnisme ? Le
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ais, dispose en effet de « larges possibilités de
participation
directe ». Mais il n’est pas toujours tenté d’en faire usage, voilà l
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les se justifieraient pleinement comme espaces de
participation
civique réelle. Ceci, qui est capital, doit nous conduire à éliminer
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iveaux de vie égalisés. Où sera alors le cadre de
participation
civique ? Ceci ne signifie pas — bien entendu — que les inégalités éc
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faire entendre. Et ces formules sont celles de la
participation
au débat politique par excellence, celui qui porte sur la conformité
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d’État. Cette possibilité tient en deux mots : la
participation
civique. Les conditions concrètes d’un tel comportement définissent s
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. En effet, la culture pour un Européen, c’est sa
participation
au trésor commun des œuvres créées depuis des siècles par l’esprit de
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ar l’esprit des Européens. Mais là encore, le mot
participation
a un double sens, d’abord réceptif, puis créateur. La culture, ainsi
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ie des communautés locales et régionales et de la
participation
des citoyens à leur gestion ; c) éviter tout ce qui pollue notre mili
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hème des régions considérées comme des espaces de
participation
civique, condition d’une démocratie réelle. On croyait que c’était du
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terre où les populations réclament des espaces de
participation
civique. L’Italie a appliqué avec vingt ans de retard sa constitution
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ie des communautés locales et régionales et de la
participation
des citoyens à leur gestion. Le quatrième critère nous est devenu fam
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ie des communautés locales et régionales et de la
participation
des citoyens à leur gestion. 4. Le quatrième critère nous est devenu