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es bobards sur nos besoins, juste parce qu’on est
payé
pour le faire. Si on ne construit plus de quoi les utiliser, faut-il
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tiers-monde ; 2° réduire le gaspillage d’énergie
payé
au prix d’agressions irréversibles contre la Nature et contre nos des
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i, en 1932, ignorait protection sociale et congés
payés
. Et pour démontrer que l’expérience était possible nous sommes allés
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s puissent bénéficier de trois semaines de congés
payés
en leur abandonnant nos salaires. Quelques années plus tard, avec le
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es plus tard, avec le Front populaire, les congés
payés
se sont généralisés. Notre groupe a découvert très vite que les démoc
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-mille travailleurs français y sont employés. Ils
paient
leurs impôts en Suisse et cela crée des problèmes pour les municipali
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rmes que nous possédons, nous ne pouvons pas nous
payer
le luxe d’un conflit international qui, à coup sûr, éliminerait le ge
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bien public, et qu’ils sont au contraire prêts à
payer
le privilège de dire librement ce qu’ils pensent. » Lors d’un débat
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anton de Genève qu’une part importante des impôts
payés
à Genève par les quelque 24 000 travailleurs frontaliers venant chaqu
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iller huit à dix heures par jour, nous devons les
payer
sans cesse plus cher (c’est l’inflation). Nous nous condamnons à trav
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un ouvrier américain consacre à gagner de quoi se
payer
sa voiture et l’entretenir, il fait du 5 km à l’heure, qui est la vit
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anton de Genève qu’une part importante des impôts
payés
à Genève par les travailleurs frontaliers se trouve reversée aux comm