1 it jadis de musique flamande ou bourguignonne, de peinture rhénane ou siennoise, ou aujourd’hui de l’École de Paris, désignant p

2 tc. Ni la musique pour elle-même (concert), ni la peinture comme fin en soi (tableau), inventions typiques de l’Europe, n’ont ja

3 sa grande table de travail (en sapin blanc, sans peinture ni vernis). « Voyez-vous, rien ne se perd dans la nature. Ma fille se

4 nt les grandes écoles de musique, de mystique, de peinture , de philosophie. Elles vont traverser toute l’Europe, du sud au nord

5 ès particulièrement de l’histoire des arts, de la peinture et de la musique. Qu’il s’agisse de musique, de peinture, d’architect

6 e et de la musique. Qu’il s’agisse de musique, de peinture , d’architecture, de philosophie ou de science, pour ne rien dire de l

7 de nos nations actuelles. Il n’y a pas plus de «  peinture française » que de « chimie allemande » ou de « mathématiques soviéti

8 poème, essai, roman, théâtre, critique, etc. 16. Peinture , sculpture, céramique, tapisserie. 17. Photographie. 18. Musique, com

9 isme allemand. Le surréalisme, en poésie comme en peinture , aura représenté, avant, pendant puis après la Deuxième Guerre mondia

10 usen, illustrent la même impulsion qui produit la peinture gestuelle et le body art. Et tout cela explose en mai 1968 à Paris :