1 quilibre mi-française mi-suisse, serrée entre les pentes du Jura et le Léman, ne favorise-t-elle pas la pensée philosophique c

2 pagnarde en pierre rose, au tournant d’une rue en pente qui continue entre deux murs de vignes vers le lac — c’est un village

3 , par exemple, qui règle son allure sur celle des pentes de ses vignes ou de ses champs à la montagne. « D’où cette démarche q

4 sité quelquefois de refaire son pas, parce que la pente vous porte en arrière, parce qu’on l’a mal calculé et il faut d’abord

5 que j’ai passés, je me verrais plutôt entre deux pentes , soit sur le chemin de crête, tenté par deux vertiges, soit au fond d

6 nger la rivière jusqu’à sa source, là où les deux pentes se rejoignent — seul moyen de les remonter les deux à la fois !) L’a

7 s effets et leur correspondance ou non avec telle pente générale de l’esprit humain. Si l’informatique mérite vraiment d’être

8 effets et leur correspondance (ou non) avec telle pente générale de l’esprit humain. Si l’informatique mérite vraiment d’être