1 opéenne de l’homme et du monde, en définissant la personne et le dogme de l’Incarnation. Le concept de personne, élaboré en vue

2 sonne et le dogme de l’Incarnation. Le concept de personne , élaboré en vue de rendre compte à la fois de l’unité et de la distin

3 ar son rôle, sa fonction sociale dans l’État). La personne , au sens chrétien, c’est donc l’homme à la fois distinct et relié, à

4 stes. Parce que là où l’homme est conçu comme une personne , non comme une simple cellule prise dans la masse, il tend à former d

5 comme des espaces de participation civique où la personne trouve la possibilité de s’épanouir dans ses dimensions de liberté et

6 a fin suprême de toute société est la liberté des personnes , non la puissance d’une collectivité, il devient clair que la région

7 t la puissance ou est-ce que c’est la liberté des personnes par exemple ? Ça, c’est la question politique fondamentale. Est-ce qu

8 nce collective ou est-ce que c’est la liberté des personnes  ? Ou l’égalité ? N’importe quoie. Enfin, les grandes options qu’on pe

9 mondiale, qu’il était simplement Adolf Hitler, et personne d’autre. Mais voilà : L’aventure a pris fin dans la catastrophe prév

10 Méphisto dans notre affaire ? Inutile de chercher personne . On ne trouvera jamais qu’un système et des sociétés anonymes. Chacun

11 est présent, actif et souverain, non pas dans une personne mais bien dans ses effets, dans le grand mythe collectif de la puissa

12 istes dont j’étais opposaient la conception de la personne . Je la définissais à peu près comme ceci dans l’un de mes premiers ar

13 cité, dans la communauté : on ne devient pas une personne tout seul mais on ne le devient pas non plus si l’on est totalement i

14 ys-Malville cet été, il y avait à peu près 80 000 personnes pour protester contre Superphénix, parmi eux 70 000 « moins de 35 ans

15 ra le réserver strictement à certains usages. Ça, personne ne peut le nier. Or, je ne vois pas qu’on construise une voiture de m

16 qu’on ralentisse la construction des autoroutes. Personne ni au gouvernement, ni dans les partis politiques, ni dans les syndic

17 des raisons à la fois techniques et financières. Personne ne peut dire ce que cela va coûter ! Ce qui vaut pour Superphénix vau

18 es politiciens, les fonctionnaires… Je ne désigne personne nommément, je dénonce seulement la logique du système des États-natio

19 seulement de manière négative. Moi, je ne pousse personne à aller renverser Valéry Giscard d’Estaing ou Raymond Barre, pour met

20 u’une sécularisation de la conversion : seule une personne , à son plus intime, peut subir cette transformation totale. Or c’est

21 e. Je l’ai déjà exprimée dans la Politique de la personne paru en 1934, où j’esquissais le cas d’une société politique fondée

22 r une certaine idée de l’homme que j’appelle la «  personne  » : un individu chargé d’une vocation unique et qui prend conscience

23 ismes. Dès que vous cédez quoi que ce soit sur la personne , tout est perdu : l’homme, le couple, la cité, la société. Et vous ab

24 hérence qui me paraît exister entre le couple, la personne , le fédéralisme7. Dans L’Amour et l’Occident , ouvrage considéré auj

25 car il n’aime pas vraiment ce qu’elle est comme «  personne  ». Or, c’est grave. Tristan vit en quelque sorte un amour totalitaire

26 , qui effrayait les chevaux, les enfants, et dont personne ne voulait, est à l’heure actuelle la première industrie mondiale. Av

27 roisement du pétrole arabe et de l’État d’Israël. Personne n’aurait pu le prévoir, les futurologues le reconnaissent eux-mêmes.

28 t le choix et la responsabilité de l’homme, de la personne  ? L’homme ne peut pas vivre sans prendre son destin en main. Et il a

29 ouvoir… Alors, que me reste-t-il ? L’individu, la personne … Qu’est-ce qui nous empêche de créer la société que nous voulons ? Ri

30 puissance. J’oppose à la puissance la liberté des personnes , l’épanouissement de l’individu. Je crois que nous devons, tout de su

31 crifices ? L’argument ne résiste pas à l’analyse. Personne n’a jamais rien demandé au tiers-monde, ce serait du reste parfaiteme

32 eprésentent doit être fondée sur le respect de la personne , la sécurité, la justice sociale, l’utilisation intégrale des ressour

33 ur l’illustration des droits et des devoirs de la personne humaine, dont malgré toutes ses infidélités, l’Europe demeure aux yeu

34 lesquelles seules le citoyen pourrait devenir une personne à la fois libre et responsable. Mouvement de base, spontané et pacifi

35 s voulions une évolution basée sur la liberté des personnes et non sur la puissance collective. Nous étions communalistes, partis

36 étranger, il m’a été répondu triomphalement que «  personne ne le sait ! » C’était ce que j’attendais de ma question : l’aveu qu’

37 liste et communautaire ». Toute la doctrine de la personne est là, qui veut que l’individu qui assume sa vocation la manifeste —

38 parlent les paysans vaudois. Je ne le crois pas. Personne ne peut écrire réellement comme on parle, à moins de recopier un roul

39 er que la construction définitive sera parfaite ? Personne  ! Si l’usine explosait (« entrait en excursion », disent pudiquement

40 relation à autrui, expérience fondamentale de la personne , est réprimée dans l’État-nation. Pour changer le monde et, en premie

41 politiques et suppose l’engagement civique de la personne dans la communauté, je n’ai jamais adhéré à aucun parti. Cette simple

42 fin que de rendre chaque individu conscient de la personne qu’il peut devenir, à la fois libre d’accomplir sa vocation et respon

43 tional — ou au contraire, libre développement des personnes responsables dans la communauté. Qui décidera ? 3. Qui va faire

44 les responsabilités comme gages de liberté de la personne , et la volonté, je cite : « d’harmoniser la politique économique avec

45 Il a pour fin, tout au contraire, la liberté des personnes et la réalisation de leurs vocations singulières. De là procèdent les

46 nce que deux soient jamais identiques23) mais des personnes en tant que vocations uniques. Accepter l’altérité, c’est accepter no

47 t quatre membres, ce qui ne m’apprend rien sur sa personne — gît la similitude la plus profonde entre les hommes de toute l’Huma

48 statistiquement unique, au régime spirituel de la personne isolée par sa vocation, mais reliée à la communauté par les condition

49 reconnaissance du droit à la différence de chaque personne , c’est pratiquement exiger des Pouvoirs l’adaptation à chaque cas per

50 en société qui favorisent le mieux les fins de la personne sont les formes et les formules de communauté fédéraliste. Car ces fo

51 rnière de l’État séculier, qui est la liberté des personnes . 23. Une chance sur 250 milliards que les mêmes parents aient deux

52 n millénaire sur lequel se détachent l’idée de la personne , la lutte contre le destin, l’acceptation du temps l’affirmation de l

53 à la fois vérifiables et contradictoires selon la personne à qui l’on s’adresse, les réalités que l’on choisit d’observer, et la

54 amour est la fin suprême, l’accomplissement de la personne totale dans le don. Quand on loue notre époque d’avoir enfin « libéré

55 ium… Et surtout, pas assez de pétrole. Donc, plus personne ne devrait oser promettre un développement indéfini dans ce monde fin

56 la France mais ces hommes disent n’importe quoi. Personne de sensé ne peut imaginer l’hypothèse d’une guerre entre la France et

57 mbées les dernières barrières douanières. Presque personne n’y a fait attention. Or c’était précisément l’un des buts que s’étai

58 lée parlementaire des neuf pays de la Communauté, personne ne s’est encore soucié d’informer le peuple européen sur l’enjeu de c

59 u tiers-monde autant d’autos qu’il en demande, et personne n’aura plus de pétrole nulle part d’ici dix ans. Essayez d’installer

60 Cette question me paraît fondamentale, décisive. Personne encore ne s’est risqué à y faire face, du côté de nos gouvernants. C’

61 lée parlementaire des neuf pays de la Communauté, personne ne s’est encore soucié d’informer le peuple européen sur l’enjeu de c

62 uire lui-même autant d’autos qu’il en demande, et personne n’aura plus de pétrole nulle part cinq ans plus tard. Essayez d’insta

63 Cette question me paraît fondamentale, décisive. Personne encore ne s’est risqué à y faire face, du côté de nos gouvernants. C’

64 e ce qu’on trouve de moins cher dans une ville où personne n’en veut plus. (Trop d’entretien.) Les grandes maisons les mettent m

65 formation, de la libre circulation des idées, des personnes et des œuvres, et de la nécessité d’exercer « une action de vigilance

66 de culture créatrice sans le libre dialogue entre personnes et communautés, sans la libre circulation des hommes, des idées et de

67 ure dont la finalité dernière soit la liberté des personnes dans la communauté des responsables. Ces principes paraissent les plu

68 bitraires à la circulation normale des idées, des personnes , et des œuvres ; c’est d’autre part presque automatiquement, favorise

69 que automatiquement, favoriser ceux qui ne gênent personne , ceux qui sont les moins créateurs ou novateurs, ceux qui font le moi

70 mmédiate des obstacles à la libre circulation des personnes , des œuvres, et des instruments de travail dans toute l’étendue de l’

71 d’initiative personnelle, à sa liberté assumée de personne et de citoyen responsable, à la fois autonome et relié à la communaut

72 s’annoncerait incompatible avec la liberté de la personne  ; b) refuser toute innovation qui entraînerait nécessairement ou favo

73 les finalités de la société d’aujourd’hui, de la personne humaine dans la société d’aujourd’hui. L’acteur-auteur comique améric

74 on pas des collectivités ou des nations, mais des personnes , elle suppose, elle implique la responsabilité de l’homme et de la fe

75 ent. Si nous décidons en faveur de la liberté des personnes , et non des mythes nationaux ou de la volonté de puissance, (ou de sé

76 à cette fin, celui qui conduit à l’autonomie des personnes et des groupes. Que signifie autonomie ? Étymologiquement : auto-nomo

77 é, à nos moteurs, de 50 esclaves mécaniques « par personne  ». Question : sont-ils nos esclaves ou nos maîtres ? Nous les voulons

78 essent les libertés démocratiques et le droit des personnes à disposer d’elles-mêmes. » Tant la bourgeoisie industrielle que la t

79 rises, mais surtout des régions et finalement des personnes , sera le grand mot de la fin du siècle et du commencement du prochain

80 ous à la rencontre de l’énergie qui est en chaque personne et qui attend d’être réveillée. « Nos cieux sont gris, me direz-vous.

81 ination. Je me crois dédaigné de tout le monde et personne n’y pense. C’est moi qui ne prends pas ma place, et je crois qu’on me

82 s cette soirée où naît son « amour fou » pour une personne qu’il connaissait depuis près de vingt ans, et jusqu’à la fin des Cen

83 ses amours ; mais la liberté politique mieux que personne de son temps. D’où le malentendu profond entre lui et la classe polit

84 ’âme collective, en vue d’une guerre générale que personne ne veut, paraît-il, que tout prépare et qui éclatera le 1er août 1914

85 commission est la moins nombreuse du congrès (150 personnes au plus, contre 300 et 400 aux deux autres) et c’est normal. Mais ell

86 de Genève a désigné en 1978 une Commission de 64 personnes pour étudier le projet d’une nouvelle constitution fédérale et donner

87 heure où elle se réveille et qui fait sentir à la personne humaine prosternée qu’une personne divine lui parle, la domine par so

88 it sentir à la personne humaine prosternée qu’une personne divine lui parle, la domine par son ascendant et l’étreint de son amo

89 la plus grande catastrophe énergétique du siècle. Personne n’en voit l’issue, ou n’oserait la dire. Nos journaux ne se sont pas

90 propos, évoquer un livre qui a pour titre : Les Personnes du drame . L’avez-vous écrit en Amérique ? Non, il a été publié à New

91 ecrètes. En fait, la valeur que j’attache à ces «  personnes du drame » tient justement au fait que je décris là dans ce livre ce

92 ts dans le temps et l’espace d’une famille, d’une personne et d’une œuvre sont en constant parallélisme et à peu de chose près s

93 ie de l’œcuménisme implique une philosophie de la personne dont l’application est une politique du fédéralisme. 1. Théologie d

94 le modèle même de l’union dans la distinction des personnes  ? La théologie de l’œcuménisme considère que la diversité des vocatio

95 ner le plus tôt possible. 2. Philosophie de la personne Les positions œcuméniques que nous venons d’esquisser enveloppent

96 er les notions d’individu, de collectivité, et de personne par des exemples historiques susceptibles de faire image. L’individu

97 à la fois autonome et en relation. Ainsi, le mot personne avec son sens nouveau, et la réalité sociale qu’il désigne, sont bel

98 re, des créations de l’Église chrétienne. Dans la personne ainsi définie se résout l’éternel conflit entre la liberté individuel

99 sa chance. Mais la liberté et l’engagement de la personne chrétienne se définissent du même coup par la formule : à chacun sa v

100 part la dissidence obstinée, la philosophie de la personne prévient d’une part le collectivisme oppressif, d’autre part l’indivi

101 nt. Mais ici encore, insistons sur ce point : la personne n’est pas un moyen-terme, entre l’individu trop flottant et le soldat

102 aliste en politique. Quant à la philosophie de la personne , elle sera normalement celle du bon citoyen d’une fédération. La devi

103 dres). C’est en effet dans le groupe local que la personne peut se réaliser. Car les tâches civiques y sont à l’échelle de l’ind

104 alitaire, le couple de frères amis que forment la personne et la communauté fédérale. Vouloir le fédéralisme sans accepter l’œcu

105 orité nouvelle. Si les Églises n’y répondent pas, personne d’autre, je le crains, ne répondra. Avant même de se demander si les

106 es termes, « dans la diversité des Églises et des personnes particulières ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisse

107 héologie de l’œcuménisme, et la philosophie de la personne qu’elle implique, sont les seules bases actuellement concevables pour

108 théologie de l’œcuménisme et la philosophie de la personne sont les seules bases actuellement existantes, et sur lesquelles on p

109 de la communauté vivante, celle qui rassemble les personnes , et non pas celle qui font, en une masse informe et grossièrement enc

110 a théologie de l’œcuménisme, la philosophie de la personne et la politique du fédéralisme sont seules en mesure aujourd’hui, de

111 ès, jusqu’au jour où il dit à l’un d’eux : « Mais personne n’est jamais entré ni sorti, depuis des mois que j’attends ici ! À qu

112 i-même »65 Église — fidèle Religion — Foi Cité — personne Orthodoxie désigne couramment en Occident « conformité aux dogmes re

113 e extraverti, on sera porté à privilégier soit la personne , soit la communauté. Il existe au surplus certaines correspondances e

114 , qui conduit l’homme à Dieu, part toujours d’une personne sans précédent. Post-scriptum 1980 Le texte qu’on vient de lire

115 roblèmes immenses qui s’ouvriront alors ? Presque personne n’en a conscience ; moins encore y ont réfléchi. À gauche comme à dro

116 lit de mort, en 1934. Que notre conception de la personne ait pu subsumer des définitions augustiniennes, thomistes, calviniste

117 tes et leurs religions synthétiques, alors que la personne appelle et crée la communauté véritable, seul antidote des totalitari

118 », comme dit saint Paul, mais dans la liberté des personnes responsables. De là sans doute la qualité singulière de notre engagem

119 ement exclus. Nous voulions tous la liberté de la personne , c’est-à-dire qu’elle fût responsable ; et nous tirions de cet axiome

120 re, à l’holocauste nucléaire. Mais revenons à la personne de notre ami. Un dernier trait de son caractère et de son œuvre d’his

121 tionné les moyens d’exterminer les hommes et plus personne ne peut dire si on en tuerait des millions ou des milliards. Kowarski

122 « Ça peut tuer tout le monde ou très peu de gens, personne ne peut rien dire, il n’y a pas de précédent. » Je crois que les homm

123 serait la dernière ; qu’après, il n’y aurait plus personne pour en faire d’autres. En 1979, les États ont dépensé plus de 500 mi

124 tre dignité personnelle. Nous serons au moins des personnes qui auront essayé de faire quelque chose. Et après tout, pour moi, le

125 e que de me battre pour la volonté de liberté des personnes , contre la volonté de puissance des États ? 72. Lew Kowarski, phys

126 ment des contraintes publiques et du contrôle des personnes . Et il est vrai, comme l’écrivait Lénine en 1917, que les révolutions

127 berté et la responsabilité — inséparables — de la personne  ? » 2. Et d’abord, d’où vient l’informatique ? Le premier ordin

128 re, de liberté et de responsabilité accrues de la personne . De là notre problème et le sujet que je souhaite aborder. 3. Ambi

129 onyme de savoir ou de connaissance, que seule une personne peut intégrer. L’information ne nous dit pas ce qui est conforme ou n

130 s de l’esprit au service des fins dernières de la personne , donc de sa liberté d’obéir à sa vocation particulière : f) il faut s

131 ura, en 1899, la première fabrique d’automobiles, personne n’eut l’idée de prévoir ce que serait l’avenir dans l’hypothèse — alo

132 eu probable — d’un succès total de cette machine. Personne n’imagina nos villes éclatées, embouteillées, irrespirables, nos camp

133 t à rejeter le travail à la chaîne, qui réduit la personne à l’état d’instrument, contrairement au précepte fondamental de Kant,

134 oncerait comme incompatible avec la liberté de la personne . Or, l’idée de créer de très grandes unités de production est née du

135 cerveau humain. Mais cela n’est pas utile pour la personne qui interroge, car il lui faudra le même temps pour comprendre réelle

136 de sa solution. Mais dans tous les domaines où la personne humaine est impliquée, par sa biologie, sa psychologie ou son affecti

137 , et non pas de ce qui révélerait l’unicité d’une personne , de ce qui serait donc le plus intéressant à connaître. En bref, la t

138 nateur avec sa prétendue mémoire indépendante des personnes — et du passé ! Au projet Plato, j’opposerai la formule de l’ashram h

139 est incompatible avec la liberté (juridique) des personnes et éviter ce qui conduit au gigantisme (quoique là encore, les illusi

140 gressions psychologiques et culturelles contre la personne , et surtout parce qu’elle rend notre société terriblement vulnérable.

141 ment des contraintes publiques et du contrôle des personnes . Et il est vrai, comme l’écrivait Lénine en 1917, que les révolutions

142 berté et la responsabilité — inséparables — de la personne  ? » 2. Et d’abord, d’où vient-elle ? Le premier ordinateur, l’

143 re, de liberté et de responsabilité accrues de la personne . 3. Ambivalence de la technologie Je ne suis pas et n’ai jamais

144 e du savoir (ou de la connaissance) que seule une personne peut intégrer. L’information ne nous dit pas ce qui est conforme ou n

145 s de l’esprit au service des fins dernières de la personne , donc de sa liberté d’obéir à sa vocation particulière. f. Il faudra

146 ugura en 1899 la première fabrique d’automobiles, personne n’eut l’idée de prévoir ce que serait l’avenir dans cette hypothèse —

147 eu probable — d’un succès total de cette machine. Personne n’imagina nos villes éclatées, embouteillées, irrespirables, nos camp

148 t à rejeter le travail à la chaîne, qui réduit la personne à l’état d’instrument, contrairement au précepte fondamental de Kant,

149 oncerait comme incompatible avec la liberté de la personne . 3. L’idée de créer de très grandes unités de production est née du

150 cerveau humain. Mais cela n’est pas utile pour la personne qui interroge, car il lui faudra le même temps pour comprendre réelle

151 de sa solution. Mais dans tous les domaines où la personne humaine est impliquée, par sa biologie, sa psychologie ou son affecti

152 . Et non pas de ce qui révélerait l’unicité d’une personne , de ce qui serait donc le plus intéressant à connaître. En bref, la t

153 ur avec sa prétendue « mémoire » indépendante des personnes — et du passé ! Au projet Plato j’opposerai la formule de l’ashram hi

154 est incompatible avec la liberté (juridique) des personnes , et éviter ce qui conduit au gigantisme (quoique, là encore, les illu

155 gressions psychologiques et culturelles contre la personne  ; et surtout parce qu’elle rend notre société terriblement vulnérable