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sont soudain rendu compte que l’on s’était livré
pieds
et poings à quelques émirs qui sont parfaitement capables de jeter l’
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répondre. Mais survient le philosophe, qui met le
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dans la porte, et, doucement, dit : « Pardon, je voudrais savoir… » —
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nition de la foi. « Ta parole est une lampe à mes
pieds
, une lumière sur mon sentier. » (Ps. CXIX, 105). Troisième vertu :
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s je fus, peut-être, un des premiers à mettre les
pieds
dans le plat à leur sujet. Dans l’interview, Lew Kowarski expose sa
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d’une famille qui commence par un réfugié venu à
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dans le Pays de Neuchâtel, d’où, en moins de deux siècles, elle va s’
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te en y marchant. « Ta parole est une lampe à mes
pieds
, une lumière sur mon sentier », dit le psalmiste. La lampe n’éclaire
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rovocante à l’époque, alors qu’il avait encore un
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à la Revue des Deux Mondes de M. Doumic, l’autre déjà chez Gallimard.
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ssitôt : Il ne faut peut-être pas prendre cela au
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de la lettre. Je me dis : Patience ! sans doute veut-on éviter de dre
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les jambes de ceux qui ne font plus 500 mètres à
pied
, mais prennent leur voiture ou leur moto. Les élèves des ordinateurs
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mbes de ceux qui ne font plus cinq-cents mètres à
pied
, mais prennent leur voiture ou leur moto. Les élèves des ordinateurs