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son énormité, son prix, son danger qui réclame la
présence
de la police et de l’armée, va dans le sens de l’État centralisateur.
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sécurité de l’Europe paraisse être assurée par la
présence
de quelques divisions américaines en République fédérale d’Allemagne,
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nait pas, Les Signes parmi nous), sa réalisation (
Présence
de la mort) ou ce qui la suivra (Joie dans le ciel). Et le roman n’a
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érature quand vous sortez d’un livre de Ramuz. ⁂
Présence
de la mort figure un des moments extrêmes de l’œuvre de Ramuz, celui
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é, en faisant du Ramuz encore plus pur : et c’est
Présence
de la mort. Tôt après, Paris le découvrait, le publiait, rééditait se
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’homme ac et Besoin de grandeur. ⁂ Pour revenir à
Présence
de la mort, trois remarques encore : sur sa langue, sa vision, et son
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. On l’a souvent comparé à Cézanne. Le lecteur de
Présence
de la mort s’apercevra très vite que tout est vu avant d’être expliqu
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de la vue, voici les signes — et ils annoncent la
présence
incroyable, pourtant vraie, d’une menace invisible. « Il y a eu comme
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ur soi, d’aimer « quand même », c’est le sujet de
Présence
de la mort — c’est aussi l’une des vues les plus profondes que l’on p
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aa. Rougemont Denis de, « [Préface] C. F. Ramuz,
Présence
de la mort », Cahiers de l’Alliance culturelle romande, Genève, sept
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re 1978, p. 32-35. ab. Avec la note suivante : «
Présence
de la mort a paru en 1944 à New York grâce à l’éditeur allemand Kurt
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pour mourir » : la négation, bien sûr, révèle la
présence
de ce qu’elle nie, tandis que le soulignement du pour dit que le lien
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les libéraux. Lorsqu’il apprend par Sébastiani la
présence
de Benjamin Constant à Paris : Il faut le faire arrêter ! s’écrie-t-
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des nations conquises parussent à genoux en leur
présence
. Aujourd’hui, c’est le moral de l’homme qu’on veut prosterner ». Ici
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uestions légèrement anxieuses sur mes facultés de
présence
au monde culturel dans lequel je vis : au seuil de cet article, et su
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s d’un humour déroutant et rapide, et beaucoup de
présence
d’esprit politique. Il m’intriguait. Mais bien que nous ayons vécu en
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e la justesse de pensée d’un auteur, mais de sa «
présence
» à l’écran, je ne déplore pas un instant le sort qui fut le nôtre av