1 elations, pensez aux affirmations péremptoires du président de la République française, à propos de la centrale de Superphénix, r

2 perspective, l’initiative d’un Colcombet, ancien président du Syndicat français de la magistrature, qui demande que les terroris

3 — et par Siemens, multinationale allemande. Et le président est le baron belge Empain. Qu’y a-t-il de français là-dedans ? Reste

4 lus tard, parlant au nom de la France dont il est président du Conseil, devant l’assemblée de la Société des Nations à Genève, Ar

5 e, près de 800 délégués parmi lesquels 16 anciens présidents du Conseil, 48 ministres dont Paul Reynaud, Anthony Eden, Harold Macm

6 possibilité devant plusieurs recteurs suisses et présidents d’université français, se trouve coïncider très exactement, comme le

7 directeur des chemins de fer français et premier président d’Euratom, qu’à mon sens le fédéralisme c’était le personnalisme plus

8 nne, membre de l’Institut, Mark Boegner, Pasteur, président de la Fédération des Églises protestantes de France, Paul Bret, Direc

9 en honoraire de la Faculté des sciences de Paris, président de la Commission nationale française pour l’éducation, la science et

10 ron, Professeur à l’Institut catholique de Paris, président des « Amitiés européennes », Jacques Enoch, Secrétaire de l’Organisat

11 ui le précède. Lors de notre première réunion, le président a fait un tour de table pour connaître les positions des 12 membres q

12 tuel, non dans le monde des princes, empereurs ou présidents de la République sur la terre : aucun rapport. La puissance de Dieu,

13 ui venaient de réoccuper la Rhénanie, en 1936, le président du Conseil français d’alors n’opposa qu’une forte page de rhétorique.

14 ande avec un ingénieur de chez Renault et avec le président du Salon de l’Auto de Genève, et je leur ai demandé ce qu’ils feraien

15 s nous sentons de nouveau des géants », disait le président Reagan aux cosmonautes de la fusée Columbia —, ils ne voient d’abord

16 s nous sentons de nouveau des géants », disait le président Reagan aux cosmonautes de la fusée Columbia —, ils ne voient d’abord