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ent la même chose : la croissance illimitée et le
prestige
national. Ils ont perdu le sens de l’homme au profit d’une prétention
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tager la planète — qui ne cherche qu’à servir son
prestige
et pas du tout le genre humain… Oui. Ce qu’il faut maintenant tenir e
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(produit national brut) que vous transformez en «
prestige
national brutal », le temps des cavernes, où l’on vous accuse de voul
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tler, Staline ou Mussolini bénéficiaient d’un tel
prestige
, d’une telle puissance, c’est parce qu’ils apportaient une réponse —
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lons donner à notre vie : puissance collective et
prestige
de l’État national — ou au contraire, libre développement des personn
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et les autorités américaines finiront par céder :
prestige
de l’écrivain français le plus célèbre aux USA. Avec Pierre Lazareff,
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talinien, bien décidés tous les deux à ajouter le
prestige
du révolutionnaire à celui du converti, dépassent 200 000 exemplaires
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, qui ne sont pas du tout le profit des États, le
prestige
national, la supériorité en armement d’une partie du monde sur l’autr