1 ion. De ce côté-ci du lac, on nous a fait devenir protestants , c’est-à-dire qu’on a voulu remplacer nos verres de vin blancs par de

2 sein d’une fédération, d’éducation et de civisme protestant ne jouent aucun rôle dans son œuvre. Il saisit la réalité de son pays

3 me. La Bible, véritable « Antiquité » des peuples protestants , comme l’observait un jour Ramuz, car elle remplace pour eux la mytho

4 re pâtres catholiques de l’Appenzell et banquiers protestants de Genève n’ont pas empêché l’unification de la France, de l’Allemagn

5 , Pasteur, président de la Fédération des Églises protestantes de France, Paul Bret, Directeur de l’Agence France-Presse, André Geor

6 est en vous, car il y a chez vous un croyant, un protestant , et entre l’amour des évangiles, votre « amour-action » et l’« amour-

7 it Ramuz, n’est-il pas la véritable Antiquité des protestants  ?) Jérémie va d’abord à Genève, qu’on appelle la Rome protestante. Ma

8 érémie va d’abord à Genève, qu’on appelle la Rome protestante . Mais pour des raisons inconnues il ne s’y arrête que peu, poursuit v

9 e mission de propagande française auprès des pays protestants . Un beau jour il est appelé au ministère de l’Intérieur, où M. Steeg

10 critiques que Karl Barth adressait à l’orthodoxie protestante du xviiie siècle : une certaine manière de proclamer le dogme de l’i

11 our les restaurateurs subversifs d’une orthodoxie protestante , aussi paradoxale en soi que dans les polémiques qu’elle nous inspira

12 ace à ces dogmatiques conquérantes catholiques et protestants se rameutent sur leurs origines doctrinales — néo-thomisme de Maritai

13  : ni le modernisme catholique, ni le libéralisme protestant ne pouvaient constituer les noyaux durs d’une résistance à l’hitléris

14 pères » un Dandieu né catholique, un Chevalley né protestant , et finalement Robert Aron né juif. « Spirituel d’abord, économique e