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oute société est la liberté des personnes, non la
puissance
d’une collectivité, il devient clair que la région conduit plus sûrem
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munauté ? Quelle est sa fin ? Est-ce que c’est la
puissance
ou est-ce que c’est la liberté des personnes par exemple ? Ça, c’est
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stion politique fondamentale. Est-ce que c’est la
puissance
collective ou est-ce que c’est la liberté des personnes ? Ou l’égalit
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s ses effets, dans le grand mythe collectif de la
puissance
et de la richesse, dont pas un de nous ne pourrait jurer qu’il échapp
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en dehors des impératifs du profit, du besoin de
puissance
et de visées d’ordre essentiellement quantitatif. Or, une société san
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s arguments sont bons pour ceux qui ont encore la
puissance
industrielle et financière et qui ont décidé qu’il n’est pas question
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Dans ce mythe du progrès défini en fonction de la
puissance
, de la productivité, de la grandeur… C’est cette logique que je répro
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anger de cap. Au lieu de viser à toujours plus de
puissance
collective, à toujours plus de croissance et de richesse, visons à la
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ouce…, etc. Depuis quarante ans, je le redis : la
puissance
, c’est la prise de pouvoir sur autrui, la liberté, c’est la prise de
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centrales nucléaires témoignent d’une société de
puissance
qui vise uniquement au pouvoir de l’État-nation et qui implique une m
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elles usines… Oui, tout cela flatte l’instinct de
puissance
collective abstraite des États. À cette direction extrêmement nette,
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Tel est le monde de l’État, de la richesse, de la
puissance
anonyme et meurtrière… L’autre monde, c’est le monde de l’énergie sol
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qui réponde à d’autres finalités que celle de la
puissance
. J’oppose à la puissance la liberté des personnes, l’épanouissement d
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inalités que celle de la puissance. J’oppose à la
puissance
la liberté des personnes, l’épanouissement de l’individu. Je crois qu
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lini bénéficiaient d’un tel prestige, d’une telle
puissance
, c’est parce qu’ils apportaient une réponse — terrifiante, effroyable
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structure devra être conçue de telle sorte que la
puissance
matérielle de chaque État perde son importance. Les petites nations y
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ue le nombre des habitants ne dit pas tout sur la
puissance
ou le bonheur d’un peuple, mais s’il est vrai que nous ne sommes pas
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basée sur la liberté des personnes et non sur la
puissance
collective. Nous étions communalistes, partisans de la libre entrepri
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est utile de savoir que ceux qui s’opposent à la
puissance
nucléaire n’ont rien à y gagner, sauf pour le bien public, et qu’ils
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s finalités que nous voulons donner à notre vie :
puissance
collective et prestige de l’État national — ou au contraire, libre dé
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alisation. C’est un hommage que l’obsession de la
puissance
rend aux conditions de la liberté. Mais la décentralisation décrétée
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e grand, sans en avoir les douteux « avantages » (
puissance
militaire, moyens de chantage sur les voisins). e) Enfin, nous devron
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», composées de flux, de réseaux, et chiffrées en
puissance
ou en intensité, non pas en km2. La disparité territoriale des région
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s civiques. 4. Le fédéralisme n’a pas pour fin la
puissance
collective, celle des États, qui dicterait comme vertus cardinales fa
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la non-violence, dans le refus des clichés de la
Puissance
, dans l’abandon au règne de l’amour, toujours à venir. Sixième ver
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trésor des symboles de l’âme, de la nostalgie de
puissance
et de la connaissance transcendante, l’Iliade et l’Odyssée, puis l’En
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cédé au gouvernement nommé par le shah. Ainsi une
puissance
religieuse a renversé, par la seule force de son autorité, un souvera
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lame partout les armes nucléaires, symboles de la
puissance
souveraine absolue. Tout conduit donc l’humanité, inéluctablement, à
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ires (bientôt 30 pays les auront), symboles de la
puissance
souveraine absolue. Tout conduit donc l’humanité, inéluctablement, à
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ns, depuis plus de deux-mille ans, le foyer d’une
puissance
d’invention sans égale et qui rayonne sur toute la planète, c’est à l
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là qu’il faut chercher les vrais secrets de notre
puissance
, même matérielle, et donc de notre indépendance. Si maintenant nous v
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rectes, indirectes, combinées… conduisent, par la
puissance
centuple des moyens utilisés et des dangers qui en résultent, au beso
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motivés, en dernière analyse, par une volonté de
puissance
personnelle ou collective (primer, commander, devenir riche, ou être
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tés culturelles les plus diverses : la volonté de
puissance
qui est collective, collectivisante, et le désir de liberté-responsab
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continent, et une dépendance trop étroite soit de
puissances
politiques, soit de ressources incontrôlables. Post-scriptum To
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es ont le choix entre deux grandes finalités : la
puissance
et la liberté. J’entends d’une part : la puissance collective, mythiq
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uissance et la liberté. J’entends d’une part : la
puissance
collective, mythique, nationale, étatique, prestigieuse et en même te
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ulent être gouvernés, sécurisés, et ils aiment la
puissance
comme un toit, comme un père, non pas comme une obligation de régner.
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e humain (surtout dans sa partie occidentale), la
puissance
ou la liberté, le collectif ou le personnel, alors nous sommes amenés
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, et non des mythes nationaux ou de la volonté de
puissance
, (ou de sécurité à l’abri de la puissance), alors nous choisirons évi
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onté de puissance, (ou de sécurité à l’abri de la
puissance
), alors nous choisirons évidemment le modèle qui correspond à cette f
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tion la plus poussée, cependant que la volonté de
puissance
correspond à la centralisation la plus rigide. Faut-il vraiment perdr
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cuteurs restant fidèle à sa passion maîtresse, la
puissance
ou la liberté. « La nation exigera la liberté ? Elle en aura. » Voilà
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», pourrait enfin se replacer au premier rang des
puissances
de paix, comme l’avait suggéré deux ans plus tôt la dernière phrase d
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prononcer. Or le Seigneur Jésus est le Dieu sans
puissance
sur la terre, le Dieu qui a subi la puissance de l’État (l’Empire rom
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ans puissance sur la terre, le Dieu qui a subi la
puissance
de l’État (l’Empire romain) jusqu’à la mort. Le Dieu qui n’a jamais v
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t. Le Dieu qui n’a jamais voulu manifester aucune
puissance
au sens de ce Monde-ci, bien au contraire ! Reportons-nous aux tentat
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rt : elles reviennent toutes à la tentation de la
Puissance
. (« Change ces pierres en pain ! Ou : si tu te prosternes devant moi,
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: si tu te prosternes devant moi, je te donnerai
puissance
sur tous les royaumes de la terre. Ou encore : jette-toi dans le vide
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sur la Croix. Jésus a repoussé la tentation de la
puissance
parce qu’il n’en avait pas et n’en devait pas avoir dans « ce monde »
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ière signification indiquerait qu’il s’agit d’une
puissance
dans le monde spirituel, non dans le monde des princes, empereurs ou
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de la République sur la terre : aucun rapport. La
puissance
de Dieu, évidemment totale, agit dans le monde de l’Esprit, dans la t
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, votre Tout-Puissant ? Il n’a visiblement pas la
puissance
de donner la victoire à chacune des armées qui se réclament de lui :
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’est par un son doux et subtil qu’il manifeste sa
puissance
, par la « voix du silence » qui ne s’impose pas par la force mais qui
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fin du siècle, l’Iran devait devenir la cinquième
puissance
industrielle du monde. Ce procédé péremptoire de civilisation a été r
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ter aussi bien sur des idéologies messianiques de
puissance
, et les besoins tendent vers l’infini, que sur des conduites d’efface
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nt nous faire prendre leurs désirs (de profit, de
puissance
, de mise au pas de la société) pour nos besoins, voire nos fatalités.
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début du XIXe siècle, s’annoncent déjà comme les
puissances
qui par la pensée autant que par les armes vont dominer l’Europe mode
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raintes qui le rassurent, et où l’État reprend sa
puissance
. C’est Rome alors qui nous donnera le symbole éternel de la réaction
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e la sorte, à l’équilibre méfiant et statique des
puissances
affrontées, il substitue l’émulation vivante des valeurs originales.
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on, nous ne verrons l’œcuménisme se réaliser avec
puissance
que dans l’épreuve missionnaire universelle, qu’il doit affronter mai
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qu’un peu plus tard il n’y aura pas choc avec les
puissances
du tiers-monde. Parce que, là aussi, nous avons tout disposé, avec un
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, pour moi, le but de la société, ce n’est pas la
puissance
collective, c’est la liberté. Et quel meilleur emploi pourrais-je en
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té de liberté des personnes, contre la volonté de
puissance
des États ? 72. Lew Kowarski, physicien français de renommée mondi
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irituel plutôt qu’à un point de vue de volonté de
puissance
ou de besoin de sécurité à tout prix, s’il atteint la liberté spiritu
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va mettre bien sûr au service de ses passions de
puissance
sur autrui et de destruction, si l’on n’augmente pas en même temps le
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industrie par une dépendance trop étroite soit de
puissances
politiques nationales, soit de ressources naturelles épuisables que l
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de tout esprit de résistance aux états-majors des
puissances
stato-nationales ou industrielles, commerciales ou bancaires qui aura
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va mettre bien sûr au service de ses passions de
puissance
sur autrui et de destruction, si l’on n’augmente pas en même temps le
70
industrie par une dépendance trop étroite soit de
puissances
politiques nationales, soit de ressources naturelles épuisables que l
71
de tout esprit de résistance aux états-majors des
puissances
stato-nationales ou industrielles, commerciales ou bancaires, qui aur
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rit (critique) de résistance aux états-majors des
puissances
stato-nationales ou industrielles, commerciales ou bancaires qui aura