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e n’est donc pas un vague idéalisme, mais le seul
réalisme
digne aujourd’hui de ce nom ; et enfin, qu’elle n’est pas seulement c
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térêts à très court terme, c’est-à-dire dans le «
réalisme
» aux yeux des classes politiciennes. ⁂ Prenons pour point de départ
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r à Paris, il s’était patiemment fait un style où
réalisme
et poésie se mêlaient indistinctement. Seul, ignoré ou dénigré par la
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Charles Ricq, avec la rigueur, la patience et le
réalisme
acharné qui conviennent seuls au traitement d’une formule aussi neuve
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ècle et de la Croissance selon le xxe siècle. Le
réalisme
véritable, dans les années 1980, va consister à se laisser guider par
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ec les buts généraux, finaux, de la Société. Le «
réalisme
» nous conduit à la guerre, mais la survie du genre humain dépendra d
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arer intouchables, sacrés, éternels… Le véritable
réalisme
consisterait à se laisser guider par le relief des choses et non par
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les limites, comme fondement de la réalité et du
réalisme
moderne, l’idéologie de la croissance indéfinie dans le monde fini ét
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w et il en évalue l’importance avec un impeccable
réalisme
: En ce début de septembre 1973, j’annonçais à court terme l’imminen
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De la première est issu en tout et pour tout « le
réalisme
socialiste », c’est-à-dire le cliché bourgeois rendu obligatoire pour
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tout dans le tiers-monde… pour le moment). À ce «
réalisme
» de clichés, ignorant de la nature de l’homme, c’est-à-dire de l’élé
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éens n’arrivent pas très vite à comprendre que le
réalisme
consiste à prévenir les écocatastrophes imminentes, non pas à flatter
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Charles Ricq, avec la rigueur, la patience et le
réalisme
acharné qui conviennent seuls au traitement d’une formule aussi neuve
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que ? La pire des utopies est celle du prétendu «
réalisme
» qui mesure les chances de survie d’un pays en termes de budget mili