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i prouve la nécessité absolue du développement du
réseau
routier ? Celui-ci ne se contente-t-il pas de répondre à certains gro
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grotesque. Considérez-vous par conséquent que le
réseau
routier est suffisant dans son état actuel ? J’en suis convaincu. D’a
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ue de soumettre au référendum facultatif tous les
réseaux
non encore construits ou mis en chantier le 1er août 1973 ? Absolumen
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impose, puisque ce fut précisément l’ensemble des
réseaux
de la Résistance à l’hitlérisme et au fascisme qui fournit à l’idée e
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s sujets passifs. Elle a repris l’idée romaine du
réseau
d’institutions centralisées encadrant toujours plus étroitement toujo
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des « régions abstraites », composées de flux, de
réseaux
, et chiffrées en puissance ou en intensité, non pas en km2. La dispar
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on publique : police, information et mass médias,
réseaux
administratifs et enseignement aux trois degrés. 2. Mis au défi de s’
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ans. Essayez d’installer dans le tiers-monde des
réseaux
téléphoniques analogues aux nôtres, et le cuivre manquera dans les tr
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i dense par sa population, ses constructions, ses
réseaux
de communications) et bornons-nous à ce que l’aide que nous pourrions
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tard. Essayez d’installer dans le tiers-monde des
réseaux
téléphoniques analogues aux nôtres, et le cuivre manquera dans les tr
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iens n’auront plus qu’une source d’eau pour leurs
réseaux
: le Léman. Ils sont donc concernés au même titre que les gens de Tho
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derniers se trouvant progressivement intégrés au
réseau
des premiers. Ceci facilitera, sans aucun doute, les communications —
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s hommes adaptés depuis une ou deux décennies aux
réseaux
d’informations qui leur dictent leur conduite, sauront-ils encore se
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s encore se débrouiller s’il y a défaillances des
réseaux
? De même qu’ils ne savent plus calculer sans calculette, ils ne se r
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nce centrale ou générale réduisait au silence les
réseaux
d’information, l’homme se trouverait incapable de refaire l’industrie
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, ceux-ci se trouvant progressivement intégrés au
réseau
de ceux-là. Ce qui facilitera sans doute les communications — mais de
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s hommes adaptés depuis une ou deux décennies aux
réseaux
d’informations qui leur dictent leur conduite sauront-ils encore se d
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se débrouiller s’il y a des défaillances dans les
réseaux
? De même qu’ils ne savent plus calculer sans calculette, ils ne se r
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nce centrale ou générale réduisait au silence les
réseaux
d’information, l’homme se trouverait incapable de refaire l’industrie
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s hommes adaptés depuis une ou deux décennies aux
réseaux
d’informations qui leur dictent leur conduite, sauraient encore se dé
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t encore se débrouiller en cas de défaillance des
réseaux
. Il suffit d’apprécier leur degré de dépendance vis-à-vis des calcula
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humains, ces derniers de plus en plus intégrés au
réseau
des premiers. La communication en sera certes facilitée, mais elle se